NOM ET PRENOMS ■ Raphaël Cole ; Anderson DATE DE NAISSANCE ET AGE ■ 20 octobre 1983 ; 27 ans GROUPE ■ The anarchists UNE CITATION QUELCONQUE ■ PIRES CRAINTES ■ Mes pires craintes ? Vous voulez vraiment le savoir ? Bien. Très bien. J'ai peur de devoir vivre éternellement. Étrange, n'est-ce pas ?! EMPLOIS ■ Je glande. Passe de petits bouleaux en petits bouleaux. Mais je gagne assez pour me payer mes doses et me loyer de mon appart' miteux, alors tout va bien. TRAITS DE CARACTERE ■ Entêté - Jaloux - Froid - Insouciant - rancunier - Créatif - loyal - intelligent - Franc - attachant FAMILLE ■ Une mère adoptive que je n'ai pas vu depuis que j'ai quitté ma ville ... « natale », un père inexistant dont je n'ai jamais entendu parler, une véritable mère que je ne connais absolument pas, un frère jumeau rencontré il y a peu dans de drôles de circonstances. Génial.
JUST MORE PIECES OF YOUR STORY
COMMENT ÊTES-VOUS DÉBARQUÉS À BRISBANE ? ■ En avion. Non, sérieusement. J'viens d'Angleterre et j'ai eu disons ... quelques soucis là-bas. Soucis qui ont fait que je me suis retrouvé ici. Je voulais tout quitter, changer, oublier, recommencer ma vie. Ca n'a pas vraiment marché, mais bon. COMMENT VOUS PERCEVEZ LA VILLE DE BRISBANE APRÈS LES ASSAUTS DES GANGS DE RUES?? ■ La ville en elle-même n'a pas changé pour moi. Par contre, je devrais faire un peu plus attention à mes fesses après ce que l'autre Kaitlyn est allé balancer à certains types pas très ... fréquentables. UNE CHOSE QUE VOUS N'AVEZ JAMAIS RÉVÉLÉ À QUICONQUE? ■ Que je suis totalement accroc à la drogue. C'est bidon, parce que toutes les personnes qui me connaissent le savent bien. Il suffit de me voir lorsque je suis en manque. En fait non, il suffit de me voir à n'importe quel moment. Mais j'ai honte et je ne l'ai jamais dit à personne. AVEZ-VOUS DES MANIES, TICS OU AUTRES ? ■ Ouais, je suis toujours en train de me faire craquer les doigts. Ne me demandez pas pourquoi. Je sais pas, c'est comme ça.
SHOW US THE REAL YOU!
CELEBRITE PRISE ■ Jared Leto SCENARIO OU PERSO INVENTE ■ Personnage inventé. NIVEAU? ( BON MOYEN EXCELLENT AUCUN ) ■ J'me débrouille x) COMMENT T'ES TU RETROUVE SUR SOF? ■ LAUUURAAAAAAAAAAAAAAA CODE DANS LE RÈGLEMENT? ■ok/
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Raphaël C. Anderson
RAPHAËL — « You jump, I jump. Right ? »
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BEHIND YOUR FAKE FACE. âge du personnage ▬: Vingt-sept ans. quartier ▬: my bad relationships ▬:
Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 2:49
« Une ligne blanche. Une petite ligne, d'apparence insignifiante. De la poudre. Comment une si petite chose peut-elle causer de si grandes catastrophes ?! Comment peut-on en être réduit à ne vivre que pour ces substances ? Comment une vie peut-elle être détruite aussi rapidement ? Comment peut-on avancer dans la lumière puis tomber dans l'ombre avec autant d'aisance ? Comment une âme peut-elle se perdre en avançant pourtant sur une route qui, d'apparence ne semblait pas dangereuse ? Bordel de merde ! Pourquoi la vie est-elle si injuste ? Pourquoi certains sont-ils aimés, pendant que d'autres sont rejetés ? Pourquoi certains ont-ils la chance de façonner leurs destins alors que d'autres ne peuvent que le subir. S'il y a une force divine là haut dans le ciel. Oui, si cette force soit-disant extraordinaire existe vraiment, je tiens à lui dire, à lui crier, à lui hurler qu'elle n'est qu'une enfoiré.e Ouais, exactement. Une enfoirée. Parce que pendant que certains vivent comme ils le souhaitent, moi je trime comme un con. » Tels étaient les mots écrits à l'encre noire sur une feuille quadrillée retrouvée totalement froissée dans la chambre d'internat du jeune Raphaël Cole Anderson. Raphaël Cole Anderson ... Ou le destin brisé d'un jeune homme qui n'a jamais été ordinaire.
Mais revenons en arrière voulez-vous. Remontons le temps. Fermez les yeux. Concentrez-vous. Laissez-vous projeter dans le passé houleux de ce jeune homme. Voyez plutôt :
Imaginez-vous le froid d'un soir d'hiver. Imaginez-vous le paysage urbanisé d'une petite ville du nord de l'Angleterre. Imaginez-vous des bruits de pas brisant le silence qui s'était installé quelques instants auparavant dans une petite rue déserte. Bien. Je peux commencer à vous conter cette histoire. Dans cette rue que je viens de vous décrire, se trouvait une femme, seul être rappelant que la vie n'était pas encore totalement disparue de cette ruelle. Elle était belle, cette femme. Très belle même. Rayon lumineux qui avançait à pas lents sur le bitume froid. Ses longs cheveux noirs, légèrement ondulés tombaient en cascade dans son dos. Elle avait de magnifiques yeux clairs, un mélange parfait de bleu et de gris. Ses traits fins ne faisaient que renforcer sa beauté. Mais dans son regard brillait une lueur de tristesse. De désespoir. Quelque chose qui indiquait qu'elle allait devoir être confronté à un choix. Pourtant, elle ne pleurait pas. Pas encore. Son regard ne cessait de changer de direction. A droite. Puis à gauche. Dans ses bras, se trouvaient deux enfants. Des jumeaux. L'un à droite. L'autre à gauche. La femme ne semblait pas pouvoir décrocher son attention des deux petits qu'elle tenait dans les bras. Et pourtant, elle allait devoir se séparer d'un d'entre eux. Quelle torture. Peut-on vraiment abandonner un de ses fils ? Pis, peut-on vraiment choisir entre deux êtres qui forment notre chaire. « Je reviendrai, pour t'aimer de nouveau. » dit-elle avant de fondre en larmes, puis de reprendre sa route. Les deux enfant dans les bras, elle marchait. Soudain, elle s'arrêta, devant la façade abimée d'un immeuble autrefois prisé. A l'aide de son épaule, elle réussit à ouvrir la porte. Sans réfléchir, la femme monta les escaliers et déambula dans les corridors sombres seulement éclairés d'une faible lumière qui émanait d'une toute petite lampe. La jeune femme ne semblait pas hésiter un instant. C'était comme si elle avait toujours su qu'elle devrait se résoudre à faire ce choix un jour. Que la vie peut être cruelle ... Lentement, la femme se stoppa devant une porte en bois, qui semblait dater d'au moins dix ans. Elle se débrouilla pour tenir ses deux enfants sur un seul bras, puis, sans gène, elle frappa, attendant désespérément une réponse. Des pas se firent entendre, puis une femme ouvrit lentement la porte afin de s'assurer qu'elle connaissait la personne qui avait frappé. Ses cheveux blonds en pagaille lui donnaient un air sauvage. « Hannah ? Je peux savoir ce que tu fais ici à une heure pareille ? » demanda la jeune femme en sortant de son appartement. L'autre femme, la brune, ne pu s'empêcher de baisser la tête, honteuse de ce qu'elle allait devoir demander à sa comparse. « Jane. Tu ... un jour tu m'as promis que tu m'aiderais, quoi qu'il arrive. J'ai besoin de ton aide. » répondit-elle en prenant un des enfants qu'elle tenait dans les bras. Dans un geste lent, elle le mis dans les bras de son amie. « Je ne peux pas garder les deux. Je n'ai pas l'argent. Garde-le. S'il te plait. Je n'ai confiance qu'en toi Jane. Je ne t'ai jamais rien demandé. Mais aujourd'hui, j'ai besoin de ton aide. » confia la jeune femme avant de s'effondrer contre le mur du couloir, un enfant dans les bras, en pleurs. « Raphaël. Il s'appelle Raphaël. Raphaël Cole Anderson. » parvint-elle malgré tout à prononcer entre deux sanglots avant de s'éloigner de de ce maudit endroit, sans jamais se retourner.
« Maman. Pourquoi il est parti papa. Il ne voulait pas me connaître ? » demanda un enfant qui ne devait avoir que trois ou quatre ans, les yeux brillants de curiosité. « Papa ... est parti ... pour son travail Raphaël. » menti Jane en baissant les yeux. Elle ne pouvait supporter de plonger son regard dans celui du rejetons de sa meilleure amie. Il lui ressemblait tant ... Il avait exactement les mêmes yeux clairs, le même regard qui ne pouvait qu'hypnotiser toute personne le croisant. Son visage même ressemblait grandement à celui de sa génitrice. Sa génitrice ... cette si chère amie qu'avait eut Jane. Amie qu'elle n'avait plus rencontré depuis bien des années. Depuis cette fameuse fois où elle s'était vu recevoir la garde de ce fils que la belle brune ne pouvait garder. Depuis ce jour là, Jane n'avait plus eu aucune nouvelle de sa comparse de jeunesse. Plus rien. Mais le temps passe et la vie continue, quoi qu'il arrive.
Le temps passe ... Cette entité, que l'on ne peut nommer ainsi, -mais je me le permet quand même- si précieuse. Le temps passe, les gens vieillissent. Les enfants perdent leur innocence légendaire, leur curiosité parfois très étonnante pour devenir des adolescent souvent révoltés par tout et n'importe quoi. Des adolescent souvent ... très ... raffinés ... « Bordel de merde tu commences à me les casser là, si tu vois ce que je veux dire. » ... comme vous le prouve Raphaël ici. Mais il n'y a rien de très important à raconter quant à l'adolescence de ce cher Anderson. Passons, voulez-vous.
« Raphaël ! Ne me dis pas que tu es encore trop bu ?! » s'emporta Jane en voyant arriver son fils adoptif totalement sous l'emprise de l'alcool, une fois encore. « Je t'emmerde. T'es pas ma mère de toute façon » répondit-il en s'emportant à son tour. « Tu avais l'intention de me le cacher longtemps ? Manque de bol, j'ai des potes plutôt bien informés. »
FLASHBACK. Deux jeunes gens se trouvaient à l'arrière d'un bâtiment à l'allure peu accueillante. Lui, Raphaël Cole Anderson. Elle, Mary Wisloth. Deux très bons amis, et ce depuis bien longtemps. Deux personnes finalement très proches, presque identiques. Deux enfants abandonnés, chacun à leur façon. Certes. Mais abandonnés. Deux jeunes adultes d'une vingtaines d'années ne tenant que grâce à l'alcool, ou la drogue, leurs seules sources de réconforts. « Putain, je vais encore me faire saigner par ma mère si elle me voit rentrer comme ça. » avait prononcé Raphaël en préparant un nouveau rail. « Tu parles, elle a rien à te dire cette conne. » avait répondu sa jeune amie. Surpris, ce dernier avait regardé son interlocutrice avec un regard accusateur. « Alors c'est vrai, t'es le seul pas au courant ? C'est pas ta mère Jane. Elle est sympa, mais c'est pas ta mère. » Comme si ces quelques phrases venaient de le faire remonter à la surface, à le sortir de l'ombre, Cole s'était levé d'un bon en titubant. le sol semblait tourner autours de lui et il eut très vite l'impression de se perdre, de ne pas être dans le monde qu'il connaissait. Il eut envie de hurler au monde qu'il le savait, qu'il en était certain, que la vie n'était qu'une enfoirée. Il eut envi de crier son désespoir, mais aucun son ne parvint à sortir de sa bouche, pourtant entrouverte. FIN DU FLASHBACK
« Je ... mais ... euh ... » tenta de répondre Jane. Mais elle ne parvint à construire de plaidoirie. Son monde s'effondrait, une nouvelle fois. Sa vie allait-elle être constituée exclusivement d'échecs ? « Ta fatigue pas. Je me casse. » Des paroles en l'air pour certains. Mais Raphaël était tout à fait sérieux. D'ailleurs, il ne mis pas longtemps à préparer ses affaires et à sortir de cet appartement dans lequel il se sentait déjà étouffé ; laissant derrière lui une femme perdue, décomposée.
Raphaël Cole Anderson, vingt-trois ans, sans famille. Raphaël Cole Anderson, où un homme poussé à se jeter dans un enfer dont il ignorait même le nom quelques temps auparavant. Une âme perdu au milieu de millions de fous, un jeune homme ayant perdu tout sens de la réalité. Une personne ayant oublié ce qu'était la joie et le bonheur. Un être ne marchant sur un fil entre la vie et la mort. Une humain seulement accroché à la vie grâce à la drogue.
« Je me souviens encore de la façon dont je l'ai rencontré. Je venais d'arriver dans la ville. Ouais, en fait, après ma dispute avec ma pseudo-mère, je me suis démerdé pour être pris dans un pub. Non, pas en tant que serveur, mais pour mettre un peu d'ambiance si vous voyez ce que je veux dire. Ouais, c'est ça, en tant que musicien. Oh vous savez, moi vous me filez une gratte, un endroit pour chanter et tout va bien. J'ai bossé là-bas pendant un moment. Longtemps en fait. Je ne gagnais pas beaucoup, mais je m'arrangeais. J'ai économisé pour venir ici, à Brisbane. Et c'est là que je l'ai rencontré elle. J'avais quoi, vingt-cinq ans. Elle, neuf de moins. Mais on a quand même sympathisé. Au début, elle m'a paru tout simplement ... idiote avec ses blousons en cuir et ses clopes au bec. Je pensais qu'elle n'était rien d'autre qu'un gamine immature qui voulait faire comme les autres. Mais ce n'était pas le cas. A Brisbane, comme dans mon ancienne ville -Newcastle-, j'ai trouvé un job dans un style de bar. Le même style qu'avant. Je ne vous fait pas de dessin. Elle est venu un soir. Elle était seule. C'était pas la première fois que je la voyais. Par contre, c'était la première fois que je lui ai parlé. Elle était seule à une table, juste à côté de là où j'étais. Elle semblait ne vouloir rien d'autre que se bourrer la gueule. Moi, j'étais un peu en manque aussi faut dire. J'ai chopé quelques bouteilles au passage -que j'ai remboursé après bien sûr- et je lui ai proposé de venir dehors avec moi. Elle a accepté. On a bu, on s'est shooté. Et entre les deux, on a parlé. Beaucoup parlé. Finalement, elle était comme moi. Une pauvre imbécile naïve lâchée dans un monde de tarés. Une nana qui avait cru que se bourrer la gueule l'aiderait à se sentir mieux. Exactement comme moi. Quelqu'un qui était passé à autre chose que de simples joints si vous. Encore une fois : comme moi. Finalement, on s'est revu souvent, on est devenu de bons potes. Jusqu'au jour où elle m'a foutu dans une merde inimaginable ! »
« Kaitlyn ? » Que faisait-elle là, dans l'appartement de son ami, assise à même le sol ? Surpris de la trouver chez lui, Raphaël ne su que dire. Il s'avança donc prudemment vers la concernée. « Bordel de merde tu pouvais pas m'attendre, c'est pas un truc pour les débutants que t'as pris là ! » cria le jeune homme lorsqu'il aperçu les divers sachets de poudre étalés sur le sol. « Et en plus de ça tu me bousilles ma réserve. Merde à la fin, tu fais chier ! Tu sais combien ça m'a couté tout ça ? » Malgré son acharnement, Anderson n'obtint aucune réaction de la part de la jeune femme qui se contenta de se retourner et de sourire bêtement. La pauvre était déjà totalement hors de la réalité. Raphaël soupira fortement, de façon à montrer à son invité surprise qu'il était très agacé. Une fois près de la jeune femme, il la pris dans ses bras pour aller l'asseoir dans ce qui lui servait de canapé, puis vint s'installer à côté d'elle. Le silence pris place dans la pièce. Un silence ... glaçant. Presque inquiétant. Aucun des deux ne se sentaient de prononcer ne serait-ce qu'une seule parole. Un seul mot. Surement parce que les mots auraient gâché l'instant magique qui se préparait. Kaitlyn se tourna et gratifia Raphaël d'un sourire trop naturel pour l'état dans lequel elle se trouvait. Pour le jeune Anderson, tout ne semblait être que mensonge ; que mise en scène. Perdu dans ses pensés, il ne se rendit pas compte que son amie s'était rapidement approchée de lui. Il ne se rendit pas compte de la main qui s'était doucement posée sur sa joue. Il fut sorti de son mutisme seulement lorsqu'il sentit de douces lèvres venir se poser contre les siennes, lentement. Un baiser. C'était un baiser que venait de lui voler la jeune Kaitlyn O'Connell. Sur le moment, Raphaël n'avait pas réfléchi. Il avait tous simplement répondu à ce baiser, bien qu'il savait pertinemment qu'il ne devait pas. Puis, la main de la jeune femme était descendu, s'était dangereusement approché d'un point qu'elle n'aurait jamais du atteindre. « Putain Kait' qu'est ce que tu fous ? Attends, j'ai neuf ans de plus que toi, t'es défoncée, ça va pas le faire. » dit Raphaël pour stopper toute avancé. « Quoi ? Je te plais pas » répondit-elle. *Et merde* furent les seules pensées du jeune homme avant de finalement abandonner corps et âmes à Kaitlyn.
« Raphaël ? Raphaël ? ho. Raph ! Putain mais bouge ! »[/color] cria Kaitlyn en entrant dans l'appartement de son ami. Ce dernier n'ayant pas répondu lorsqu'elle avait frappé à la porte, la jeune femme s'était permise d'entrer « au cas où ». Et cette fois-ci, elle avait bien fait. Et pour cause : son très bon ami se trouvait allongé dans une position assez étrange sur son sofa après avoir consommé un peu trop de substance illicites. Kaitlyn s'approcha prudemment du jeune homme qui ne semblait plus vraiment conscient.
Pauvre âme errante. Pauvre petit humain insignifiant. Tu es seul. Seul sur cette terre. Privé de tout. Libre de rien. La liberté t'emprisonne. La joie te rend triste. Parce que tu ne la connais plus. Le bonheur t'insupporte. Parce que tu ne sais plus ce que cela signifie « être heureux ». Tu es jaloux. Oui, c'est bien ça. Tu envies toutes ces personnes qui mènent une vie parfaite. Pauvre imbécile. Es-tu si idiot et naïf ? Penses-tu vraiment qu'ils ne connaissent pas la douleur eux aussi ? Lorsque tu marches, les autres te voient ramper. Lorsque tu parles, ils t'entendent agoniser. Lorsqu'ils croisent ton regard, ils ne voient rien d'autre que le désespoir. Un sentiment profond de manque. Une sensation interne de vide. Tu penses que la terre n'existe plus sous tes pieds. Tu crois que personnes ne te comprends. Alors, tu te cache. Tu te crées un masque. Tu te fais passer pour quelqu'un d'insensible. Le fil qui te maintient en vie se nomme « drogue ». Certains pensent que tu es fou. Tu ne prends même pas la peine de leurs répondre. Mais finalement, tu l'es peut-être. Fou. Qu'est ce que la folie ? Un trouble de l'esprit, un dérèglement mental. Tu es seul. Personne n'est là pour t'aider. Pour te conseiller. Te dire « Endors-toi mon ami, nous te réveillerons lorsque tout sera terminé ». Écris ton dernier vers, ô poète. Créer ta dernière partition, ô musicien. Chante ta dernière chanson, ô artiste. Peins ta dernière toile, ô peintre. Sculpte ta dernière œuvre, ô sculpteur. Monte une dernière fois sous ton chapiteau, ô funambule. Marche une dernière fois, ô petit humain. La vie n'est pas terminée. Tu dois continuer à avancer. Comme l'ont fait ceux avant toi et comme le feront ceux après toi. Marche, sans te retourner. Hurle ton désespoir au monde s'il le faut. Mais ne tombe pas dans des abimes plus profondes que l'enfer. Le diable lui-même ne pourrait rien pour toi. Tu n'est pas un pion de l'échiquier qu'est la vie. Non, tu n'est pas un insignifiant petit pion. Tu es celui qui les dirige. Parce que tu dois diriger ta vie. Alors réveilles-toi. Chante ton dernier refrain, ô rockeur. Enfile une dernière fois ton blouson, ô bikeur. Vis une dernière fois, tout simplement.
« Bordel de merde, qu'est ce qui t'a pris Raph ? T'es pourtant pas un débutant ! » demanda Kaitlyn sur un ton calme après avoir lutté pendant de longues minutes pour réussir à mener son ami dans sa salle de bain, afin de tenter de le « réveiller » un peu en l'aspergeant d'eau froide. « Pourquoi t'as fait ça ? » Au regard accusateur que venait de lui lancer Raphaël, la jeune femme su qu'elle n'aurait pas du poser cette question. Pourtant, Anderson répondit tout de même. « Je l'ai trouvé. Mon jumeau. Je l'ai retrouvé. »
Dernière édition par Raphaël C. Anderson le Mer 21 Juil - 21:21, édité 23 fois
Kaitlyn P. O'Connell
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Tout le monde va nous adorer avec notre lien de la mort qui tue Pour reprendre tes mots () "J'suis déjà en froid avec un type parce que j'me suis fait sa copine qui se trouve être une ancienne pote qui m'a dénoncé à des types d'un gang qui veulent ma peau." Génial
ET TU NOUS FAIS UNE PUTAIN D'HISTOIRE HEIN ? COMME TU DW *et tu te tiens hein, j'ai pas envie qu'on dise que j'ai ramené une dépravée comme moi *
ON VA RECOMMENCER A COMPLOTER SUR LE FLOODDDDD COMME SUR MIDNIGHT AVANT QUAND ON VOULAIT LA FOURRURE DE JACOB ET DES AUTRES *c'est suchi qui va être contente tiens ptdrrr*
Raphaël C. Anderson
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 3:02
BORDEL DE CULLLLLLLLLLLLLL VAS-Y ON S'MARI ICI, TOUT DE SUITE. Je t'aime associiéééééééeeee
Woééé, samamanenstringdebain Jared est tout simplement orgasmiqueee Rahhh, t'as vu comment j'ai géré pour nous trouver un lien trop de la mort qui tue. Attends, je vais être le membre le plus recherché du forum. MAIS J'MEN FOU, J'MEN TAMPONNE LA FESSE GAUCHE AVEC LE GROS ORTEIL DU PIED DROIT. *J'suis souple hein ?!*
J'ai hésité à reprendre le titre « Rendez-nous Kurt, on vous donne Justin » mais je me suis dit que ça allait faire beaucoup.
Woééé t'inquiète, je vais faire une histoire, mais genre t'auras jamais vu ça d'ta vie. Genre, ça va être comme sur DW : je vais faire 150 lignes de blabla pour dire : « mon personnage est taré » BAM.
JE ME TIENS ? GENREEEEE MAIS HOOO TU TE PRENDS POUR QUI ? Je te défonce la tronche à coup de Vuvuzela moi
OUUAIIIIS ON VA (reuh)POLLUER LE FLOOOODDDDDDDDDDDDDDDDD
Kaitlyn P. O'Connell
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 3:07
*appele Jack the ripper en prêtre*
MARIONS NOUSSSSSSS
Tout le monde va te rechercher à cause de qui, de moi *ouais j'avoue, quelle souplesse chérie *
mdrrrrrr BIBER VEUT DIRE CASTOR EN ALLEMAND
j'ai hâte
C'EST CA OUAIS *lance une bombe attomique sur Jeanne* Tu peux te relever mon amour ? j'y suis allée un peu fort sur le coup
OUAISSSSSSSSSSSS ET ON VA POLLUER TA FICHE EN PLUS
Raphaël C. Anderson
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 3:16
VAS-Y LAURA FESSE DE CUL. Ca sonne bien heinnn
Rahh ouais, c'est encore toi qui fou la merde x) A cause de toi, tout le monde va vouloir me saigner. Attends, SAW c'est rien à côté de ce qui va m'arriver. WOEEE DU SANNNGGGGGGGGGG
Au fait Laura : on baise ? *je sors*
YEAHHH VA FALLOIR RECHEFLIR A NOTRE PREMIERE VICTIME SUR LE FORUM
Espèce d'enfoirée. LES BOMBES ATOMIQUES c'est pas sur moi qu'il faut les lancer !
Ouais, mais on s'en branle de polluer ma fiche. D'un parce que c'est MA fiche justement, et de deux, t'es admin
Kaitlyn P. O'Connell
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 3:19
OUAIS JEANNE FESSE DE CUL
QUOI ? NOTRE NOM DE FAMILLE VOUS GÊNE ?
en privée voyons chérie
CELUI QUI S'INSCRIT AVEC TAYLOR LAUTNER
Désolé, j'ai mal visée poupée
ptdrrr Allez, bref, je vais me coucher, à demain assossié
Raphaël C. Anderson
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 3:23
Attends, samamanestringdebain, il gère trop notre nom de famille. LE PREMIER QUI DIT LE CONTRAIRE, je lui charcute les doigts en petits morceaux pour les donner à bouffer au chihuahua de Paris Hilton
GENNNREEEE. Depuis quand t'es pudique Laura fesse de cul ? Fais pas la chaste, on connait tous ta vraie nature
OUAIS VAS-Y TROUVE-NOUS UN TAYLOR. Qu'on s'amuse un peu
A. Lukà O'Connell
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 6:37
OMG Jared Tu me permets d'être gay dit? (aa) Sans déconner sauterelle, arrête de flooder tu devrais montrer l'exemple tsss
Trève de plaisanteries, soit le bienvenue parmi nous!
Raphaël C. Anderson
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 13:39
C'est pas contre toi, mais disons que RPatz ... Puis attends, j'suis déjà mariée moi, ça va pas le faire
Kaitlyn P. O'Connell
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 13:50
Un peu de flood ne tue pas
Ah ouais, désolé Suchi mais ma femme ici présente ( ) a comme une... Haine contre R Patz MAIS CONTRE TAYLOR LAUTNER AUSSI Même que là où on s'est rencontré, sur un fo' Twilight, () j'étais Alice... ELLE ETAIT CAÏUSSSS Et en fait ben... On a fait genre un complot pour prendre les fourrures des loups garou dont Jacob niark et je sais à quel point tu le hais suchi
Au fait j't'ai même pas dit bonne chance pour ta fiche chérie
*là tout les gens qui vont lire ça vont se faire :: OU EST-CE QU'ON A DÉBARQUÉ ? *
Raphaël C. Anderson
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 13:55
YOOOOOOO MA FEMME. Tu veux pas venir sur MSN ? Ho t'sais quoi ? J'ai eu une trop bonne idée pour ma fiche Genre mon perso va être totalement shotté ça va être marrant.
QUOI ? ON MET L'AMBIANCE
Chiotte à la fin.
D'ABORD, J'SUIS MËME PAS FOLLE
N. Jude Harrisson
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 14:51
MDRRRRR !!!! Sont OUF LES GENS ICI ! (C'est pour cela qu'on les aime)
Bon, bienvenue sur le forum !!!!!!
Et Lukà... Hum, pas de gay attitude hein x) Bref, sur ce bon courage pour ta fichounette, Hâte de lire tout cela, la musique déjà j'aime x)
Raphaël C. Anderson
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 14:53
YEAHHHHHHH VASSS-Y ON DANSE TOUS LA POLKA EN STRING DE BAINNNNNNN *Laura, y'a pas le smiley du lapin qui danse. Chiotte x)*
Bref, merci
Kaitlyn P. O'Connell
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes » Lun 19 Juil - 23:38
Mon amour, ma femme, mon bombe sexuelle, poupée, ma bête de sexe
JE TE VALIDE AVEC GRAND PLAISIRRRR Ta présentation est une pure merveille Va vite faire ta relationship et ton sujet topic et toutes les autres demandes et bon RP
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Sujet: Re: RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes »
RAPHAËL ◊ « No one knows what it's like. To be the bad man. To be the sad man. Behind blue eyes »