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 When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}

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Raphaël C. Anderson
Raphaël C. Anderson

RAPHAËL — « You jump, I jump. Right ? »


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MessageSujet: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeMer 11 Aoû - 19:22

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© Bedshaped - Misery Angel - Ally Bee

« I go to see the place once more. Just like a thousand nights before.I climb the stage again this night, 'cause the place seems still alive. When the smoke is going down »


Baylee était proche … si proche de lui. Raphaël sentait son corps contre le sien, il sentait une main de la jeune femme dans son dos, l'autre dans ses cheveux. La sensation de chaleur qui avait commencé à l'envahir se faisait de plus en plus intense, comme si elle ne souhaitait qu'une chose : conquérir le reste du corps de celui dans lequel elle était entrée. Baylee ne répondit pas aux paroles de son interlocuteur, mais elle parut calmée. C'était assez étrange, mais quelques mots avaient réussi à la rassurer. Elle ne doutait plus, parce qu'elle savait qu'il ne l'abandonnerait pas. Raphaël ne comprenait pas vraiment pourquoi elle lui avait parlé de cette façon, pourquoi elle lui avait dit ces paroles là. Cependant, il ne voulait pas qu'elle angoisse à nouveau et fit le choix de ne rien demander. Leurs regards se croisaient. Ils se fixaient. Les iris bleus de Raphaël étaient plongés dans les magnifiques yeux de son amie pendant qu'ils continuaient à danser. Ou du moins, à bouger lentement en suivant le doux rythme de la musique.

Soudain, cédant à la tentation, le jeune homme posa lentement ses lèvres contre celles de Baylee qui frissonna lors de ce contacte. Toujours très lentement, Raphaël passa ses bras autours du corps de la psychologue pour l'entourer totalement. C'est ce moment que choisie Baylee Iliana Cromwell pour répondre au baiser qui lui avait été donné. La jeune femme gênée qu'elle avait laissé paraître au début de la soirée n'était plus là. C'était comme si … comme si elle s'était métamorphosée. L'embarras avait laissé place à quelque chose qui ressemblait énormément à de l'envie. Sa main, posée sur la peau de son ancien patient, puis remonta pour venir caresser doucement le torse de ce dernier. Le baiser qu'elle lui rendait était empli de douceur. Délicieux. Ils se moquaient totalement du monde qui se trouvait autours d'eux, à tel point que Raphaël oublia presque qu'ils n'étaient pas seuls. S'il avait pu, il aurait fait de ce moment une éternité. Il aurait fait en sorte que le temps ne défile plus. Ce délectable moment lui paru bien trop court. Il aurait tant souhaité que cela dure plus longtemps. Une nouvelle fois, ce fut Baylee qui le tira de ses plus profonds songes. Elle se mit à marcher, entrainant Raphaël avec lui, tout en continuant à l'embrasser. Ne voulant pas décoller les lèvres des siennes, ce dernier marcha à reculons jusqu'à ce qu'il sente le canapé -sur lequel ils étaient assis quelques secondes plus- buter contre ses jambes. La psychologue le poussa sur le meuble, le forçant à s'asseoir. Un sourire amusé se dessina sur les lèvres du jeune homme qui se laissa totalement faire. Baylee vint se mettre à califourchon sur lui, ce qui le surpris beaucoup. Que faisait-elle ? Elle savait pertinemment qu'ils ne pouvaient pas ignorer les autres à ce point. Pourtant, il n'avait pas envie de la repousser. Il se contenta de lui lancer un regard légèrement sombre, pour tenter de lui faire comprendre qu'il vaudrait mieux qu'ils aillent autre part. D'ailleurs, même s'il avait voulu prononcer ne serait-ce qu'un mot, la jeune femme lui aurait interdit. Et pour cause : quelques secondes après s'être positionnée, elle vint l'embrasser une nouvelle fois, avec beaucoup plus de sensualité. Ses mains caressaient son torse avec plus de fougue. Soudain, elle se recula. Tout se passa très rapidement. Ses yeux restèrent fermés quelques secondes de plus , pourtant Raphaël jura qu'elle le regardait toujours avec envie. « On va chez toi ? » murmura-t-elle sur un ton sensuel. De nouveau, un sourire amusé vint prendre place sur le visage du jeune homme. « Très bien. » dit-il en lui caressant une joue du bout des doigts, dans un geste doux.

C'est main dans la main que les deux jeunes gens sortirent du lieu dans lequel ils avaient passé le début de la soirée. Ils n'étaient restés que très peu de temps au “Family night club”. Malgré le fait qu'utiliser les transports en commun aurait été plus rapide pour atteindre l'appartement de Raphaël, ils partirent à pied. Ce dernier jugea que l'air frais ne pourrait leurs faire que du bien. De plus, il leurs faudrait très peu de temps pour atteindre leur destination s'ils daignaient rapidement. Ce qu'ils firent.

Une fois arrivés devant l'immeuble à la façade abimée par le temps dans lequel se trouvait l'appartement qu'ils recherchaient, les deux jeunes gens ralentirent le pas. Raphaël enleva le bras qu'il avait passé derrière les hanches de son amie pendant le trajet. Rapidement, ils entrèrent puis empruntèrent les escaliers pour monter à l'étage. Quelques minutes plus tard, ils se trouvèrent tout deux dans le séjour de l'appartement du jeune homme. Ce dernier grimaça lorsqu'il remarqua à quel point la pièce était en désordre. « Désolé pour le bordel. N'y fais pas trop attention » prononça-t-il en riant. Néanmoins, son sourire disparu très vite quand il aperçu un certain sachet posé sur un coin de la table basse en verre qui se trouvait au fond de la pièce. En essayant d'être naturel, il avança dans cette direction, posa son manteau sur le porte manteau positionné non loin de là et attrapa au vol ce qu'il voulait cacher. Baylee savait pour sa consommation. Certes. Mais ce n'était pas une raison. « Tu veux quelque chose en particulier ? » demanda-t-il en montrant du regard les différentes bouteilles d'alcool posées sur une sorte de bar.


Dernière édition par Raphaël C. Anderson le Jeu 12 Aoû - 13:55, édité 1 fois
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeJeu 12 Aoû - 13:12

Smell the Drugs ;
Leave somewhere else with him...

When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 2z50mwy When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 11rxav4 When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 1z2d3kl When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Oti8on



MUSIQUE


J’étais folle, complètement idiote surement, si certains me voyait en ce moment même ils me diraient que je suis méconnaissable mais je m’en fichais royalement car, la de suite j’étais très bien dans les bras de Raphaël. Moi-même de toute façon je ne me reconnaissais pas je devais l’avouer. La musique se faisait plus insistante devant plus rapide laissant place à l’envie de se défouler et non de danser un bon slow. Je m’en moquais, j’étais assise sur les genoux de Raphaël et je pouvais sentir quelques regards sur nous, du moins ceux des vigiles je suppose. Ce pourquoi je voulu partir et rapidement. Chez lui était une bonne chose. J’avais trop peur de le ramener chez moi à vrai dire … Alors que j’attendais sa réponse je le regardais droit dans les yeux et je sentis ses doigts sur ma joues tandis que son regard se plongea dans mes iris. Je souriais à mon tour tenant fermement mon sac a main et ma petite veste avec laquelle j’étais venu au cas ou il fasse froid pour rentrer. Je déposais un billet rapidement sur la table pour payer le tout et parti main dans la main en dehors du Club pour aller chez Raphaël. Je ne savais pas ou il habitait et découvrir son chez soi me faisait quelque chose. Le temps dehors était tout bonnement parfait, le bras de Raphaël autour de mes épaules me réchauffait suffisamment pour que je n’ai pas froid. Les bruits de mes talons aiguilles retentissait dans le silence de la rue plongeait à moitié dans le noir. Seuls quelques lampadaires nous éclairaient par ci par là. Je le suivais sans aucun soucis, il n’avait pas l’air de vivre bien loin tout comme moi. Seulement il tourna de l’autre côté me montrant en avance qu’il vivait dans un des quartiers les plus pauvre de Brisbane. Je souriais doucement et me colla un peu plus à lui, j’étais vraiment bien. Ses bras m’étaient d’un réconfort, j’avais l’impression de ne plus souffrir de ne plus avoir ce grand vide en moi. Je ne comprenais pas comment il pouvait faire ça sur moi. Je le regardais, scrutant son visage et souriait doucement en me mordant la lèvre. J’avais envie de lui dire qu’il était beau qu’il me fascinait mais pourquoi ? Je ne me sentais pas le courage de le faire. Je ne voulais pas passer pour une imbécile. Je n’étais pas comme ça, je ne serais jamais de la sorte avec les garçons, même s’il venait d’avoir un aperçu de ce que j’étais avec ls filles, je me voyais mal lui faire des avances. Pourtant c’est ce que je venais de faire. Mince j’étais monté sur lui et je lui avais carrément proposé d’aller chez lui. Allez chez lui signifie beaucoup de chose …

Mais je m’en fichais, Raphaël produisait en moi du bien être. Alors pourquoi ce priver ? La nuit totalement tombé nous marchions encore quand il se stoppa devant un immeuble. Je le suivais sans faire de bruit, lui devant moi je regardais l’endroit qui avait l’air un peu vieux. Il n’avait pas trop les moyens et je le comprenais parfaitement. Je montais les escaliers le suivant sans aucune difficulté je faisais beaucoup de sport pour me défouler, d’ailleurs lorsque je me mettais en petite tenue on pouvait voir mes cuisses assez dure musclé par le roller et le vélo d’appartement. J’avais un ventre légèrement dur mais je n’aimais pas le montrer. On y voyait encore les traces de ciseau et de couteau que je m’étais infligé lorsque je n’étais vraiment pas bien. Je me stoppais doucement dans l’escalier dans mes pensées. Je n’aimais pas montrer mon corps, il était tellement souillé. En général je le fais dans le noir, je n’ose pas montrer toutes ces cicatrices qui marque mon passé qui marque une période de moi assez sombre. Je déglutissais doucement me tenant à la rambarde et monta à nouveau pour le rejoindre et rentra dans son appartement. Je fermais la porte derrière moi et me figea sur place en voyant l’état de son logis. J’écarquillais doucement les yeux et rigola de nervosité. « Ne t’inquiète pas, Je ne vais pas m’enfuir pour si peu ! » rigolais-je doucement en regardant un peu partout dans la petite pièce. Je regardais vers la table basse et vu ce que je devais voir. Un sachet de cocaïne, j’en déduisais du moins puisque je ne connaissais pas non plus ce genre de drogue. A une époque je fumais beaucoup de joint mais rien de bien grave comme Raphaël. Je le vis partir vers la bas et prendre le sachet, il ne voulait pas que je vois cela surement. Je souriais doucement en plongeant mon regard dans le sien jusqu’à ce qu’il me propose de quoi boire.

Je le regardais et me déchaussa pour être un peu plus à l’aise laissant mes chaussure vers la porte d’entré et me dirigea vers le bar ou se trouvait multitude de bouteille. Il avait donc l’habitude de boire ? Je me pinçais les lèvres et me baissa regardant ce qu’il avait. Je pris deux verres et sorti une bouteille de téquila et posa le tout sur la table basse et regarda dans la cuisine et ouvrit le frigo comme si j’étais chez moi, j’attrapais deux citron un couteau et pris le sel le posant sur la table basse et lui fit un clin d’œil. « Téquila paf ? Et hum… » Dis-je en regardant sa main. Je m’avançais vers lui glissant mes mains sur sa taille sans le quitter du regard. J’embrassais doucement ses lèvres et attrapa la poche qu’il tenait quelques seconde plus tôt. « Et un peu de ça. J’aimerai découvrir l’effet que ça fait. J’aimerais mieux te comprendre, savoir ce que ça fait de se drogue avec ça. J’ai déjà fumé mais jamais sniffé. » Murmurais-je doucement. Tenant le paquet je le posais sur la table basse et recula doucement. J’enlevais ma chemise pour rester en débardeur me sentant mieux ainsi et la posa sur le dossier du canapé. Je frottais doucement mes bras, c’était la première fois que je découvrais mes poignets de la sorte. Je portais toujours une chemise à carreau pour camoufler mes cicatrices. Je me tournais vers lui un sourire aux lèvres le regard pétillant. Il était tellement beau, son regard son visage, sa barbe. J’étais sous l’effet de Raphaël il n’y avait aucun soucis pour cela. Je me mordais doucement la lèvre inférieure et m’avança vers lui glissant mes bras sur sa nuque tout en posant ma tête sur son torse. J’inhalais doucement son odeur tout en fermant les yeux, moi je connaissais tout sur lui, j’avais eu le dossier de ses anciens psychologue, je savais son âge sa situation … Mais lui que connaissait-il de moi ? Rien. Souriant nerveusement je soupirais longuement

« Tu me donnes quel âge ? Tu ne sais rien de moi. J’espère que l’âge ne te pose aucun souci ? Je… Embrasse-moi » Dis-je en relevant la tête tout en plongeant mon regard dans le sien. Je le regardais d’une façon provocatrice. J’étais la Baylee normale, sauf que lui c’était un homme. Je serrais doucement ms mains sur sa nuque, j’avais qu’une peur, qu’il recule pour ne pas m’embrasser, me montrer qu’en fait je ne suis rien pour lui. Mais si tel était le cas il ne m’aurait pas embrassé tout à l’heure il ne m’aurait pas tenu la main de la sorte. Je m’attachais quelques peu à lui, pas de l’amour non loin de là, mais, Raphaël me produisait ce bien être indescriptible qui me disait d’être naturel avec lui. On souffrait tout les deux, on était passé par des moments durs affreux. J’ai failli mourir tellement de fois … Pour ça par je n’en savais rien mais lorsqu’on se drogue il suffit d’une dose trop forte pour faire une overdose… Je ne comptais plus les fois ou je m’étais retrouver dans une chambre d’hôpital pour me voir toujours vivante alors que j’avais tenté de m’ouvrir les veines ou que j’avais avalé trop de cachets dangereux. C’était certes du passé mais toujours en moi. Je passais mes mains dans ses cheveux courts légèrement coiffé que j’aimais, il était si beau ainsi. Il avait son charme à lui. Je me collais un peu plus à lui, je voulais passer la meilleure soirée de ma vie. Je voulais enfin être libre ne serait ce que pour ce soir. Je voulais qu’il me fasse planer, qu’il me donne du rêve. Qu’il fasse de moi la nouvelle Baylee qu’il m’aide à me reconstruire, comme moi je vais faire pour lui. Je ne voulais plus le voir ainsi, j’étais devenu bien trop proche de lui ce soir pour le laisser sans rien faire. J’étais prête à tout. Absolument tout pour l’aider. Raphaël faisait maintenant parti de ma vie.
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Raphaël C. Anderson
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeJeu 12 Aoû - 15:45



« War, children, it's just a shot away. It's just a shot away. War, children, it's just a shot away. It's just a shot away. »
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© Misery Angel - Mem0rial_FoX - Misery Angel

Le jeune homme vit très bien l'expression qui s'installa sur le visage de Baylee lorsque cette dernière entra dans la pièce principale de l'appartement. Il laissa échapper un petit rire, amusé par la situation. « Ne t'inquiète pas, je ne vais pas m'enfuir pour si peu » dit-elle en riant nerveusement. « Qui te dis que je te laisserai partir de toute façon ? » demanda-t-il en lui adressant un sourire radieux, de façon à lui montrer qu'il plaisantait.

Parfait, elle n'a rien vu. Pensa-t-il après avoir récupéré le sachet de cocaïne qui trainait au milieu de nombreux débris -tels que des papiers ainsi que des paquet de toutes sortes de gâteaux, des verres et bien d'autres objets pas toujours identifiables- sur la table basse. Lorsqu'il s'avança de nouveau vers Baylee, elle plongea de nouveau son regard dans le sien. Un frisson parcouru son échine. Ses yeux … Il avait tout simplement l'illusion d'être transpercé à cet instant précis. C'étai comme si elle pouvait lire en lire comme dans un livre ouvert. Du moins, elle lui donnait cette impression. Elle coupa ce lointain contacte en cessant de le toiser du regard puis se dirigea vers le bar pour examiner les nombreuses bouteilles avant de se décider pour une téquila. Elle avança ensuite vers le frigidaire, dans lequel elle se servit. Cette façon de faire fit sourire Raphaël. « Téquila paf ? Et hum … » dit-elle en lui adressant un clin d'oeil auquel il répondit par le même geste avant de la voir s'approcher. Elle posa ses mains sur la taille du jeune homme qui n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit. En effet, il sentit très rapidement les lèvres de son amie sur les sienne. Cependant, pendant qu'il s'apprêtait à lui rendre son baiser, Baylee se débrouilla pour attraper ce qu'il tenait dans sa main. Merde. Se dit-il pour lui-même.

Elle l'avait donc vu finalement. Raphaël releva la tête pour la regarder en lui adressant un sourire désolé, tel un gamin d'une dizaine d'année pris en flagrant délit. Mais rien ne se passa comme il l'avait prévu. Lui qui s'attendait à recevoir une remontrance de la part de sa psychologue … reçut une demande un peu particulière. « Et un peu de ça. J'aimerai découvrir l'effet que ça fait. J'aimerais mieux te comprendre, savoir ce que ça fait de se droguer avec ça. J'ai déjà fumé mais jamais sniffé. » murmura-t-elle sur un ton pourtant très sérieux. Raphaël ne sut pas vraiment comment réagir. Il se figea, tout d'abord surpris de recevoir une telle demande de la part de Baylee. Elle défit ensuite sa chemise pour se mettre en débardeur, puis se retourna vers son ami, un sourire pétillant sur les lèvres. « Euh … Baylee, ok pour la téquila, mais pour … euh … pour le reste … » Il fit nerveusement craquer les os de ses doigts en réfléchissant à la tournure qu'il allait pouvoir donner à sa phrase. « Pour le reste … euh … Je pense pas que ce soit une bonne idée. » dit-il avec sincérité. Il n'était pas vraiment contre ce que lui demandait Baylee, mais savait parfaitement qu'accepter aurait été une connerie. Lui, souffrait maintenant à cause de cette merde, jamais ô grand jamais il se serait permis de tenter quelqu'un à essayer. Et surtout pas une personne qu'il appréciait autant que Baylee. “J'aimerai mieux te comprendre” avait-elle dit. Raphaël ferma les yeux pendant une courte durée qui ne devait représenter que quelques minuscules secondes. Comment pouvait-il la convaincre qu'elle n'aurait pas besoin de ça pour le comprendre ? « Ecoute Baylee, pour l'effet, tu te sens bien un tout petit moment, puis plus rien » mentit-il avec une facilité déconcertante. « Et tu n'as pas besoin de cette merde pour me comprendre. » Il accompagna sa réplique d'un sourire chaleureux.

La jeune femme avança de nouveau vers Raphaël qui lui adressa un sourire. Comme quand ils étaient dans le night club, elle vint appuyer sa tête contre le torse de son ami qui en profita pour l'entourer de ses bras. « Tu me donnes quel âge ? Tu ne sais rien de moi. J'espère que l'âge ne te pose aucun soucis ? Je … Embrasse-moi. » Ignorant totalement ses questions, Raphaël ne se fit pas prier pour réaliser sa demande. Il approcha lentement son visage de celui de la psychologue, réduisant ainsi encore plus la faible distance qui les séparait. Une sensation de bien être l'envahit lorsqu'il posa ses lèvres sur celles de Baylee, d'une façon plus sensuelle que lors des précédentes fois. Elle passa une nouvelle fois une de ses mains dans les cheveux du jeune homme.



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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeJeu 12 Aoû - 18:02

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MUSIQUE



Le temps défilait lentement, je l’espérais de toute manière. Fermant les yeux je me délectais du moment présent. Je ne voulais en aucun cas ouvrir les yeux et me dire que je devais dès à présent partir car il était tant. Non je voulais stoppais l’horloge je voulais que la nuit dure toute une éternité. Je voulais rester la dans les bras de Raphaël pour toujours. Chaud et doux comme un agneau ses bras me faisaient un bien fou. Il était attentif et surtout attentionné envers moi. Chose que je ne connaissais pas jusqu’à maintenant venant d’un homme. Je n’aurais jamais cru les hommes capables de ce genre de chose. Une femme était connu pour être tendre, attentive à l’écoute, mais, les hommes ? On dit d’eux qu’ils sont macho, orgueilleux et j’en passe. Mais en fait qu’est ce que j’en savais ? Je ne pouvais pas dire mon propre opinion puisque je ne les connaissais pas du tout en fait. Je venais de m’en rendre compte. Je ne connaissais pas les hommes, comme s’ils n’avaient jamais fait parti de ma vie. Je me pinçais doucement les lèvres tout en regardant Raphaël et rigola jaune lorsqu’il m’annonça qu’il ne me laisserait pas partir. Je passais ma main dans mes cheveux et baissa légèrement la tête. « De toute façon je suis nulle pour les fuites. Je n’ai jamais pu échapper aux hommes… » Murmurais-je doucement. D’un côté je me confiais à lui mais d’un autre je réalisais que la aussi, les seuls hommes que je connaissais, hormis lui, m’avait fait subir du mal. Alors n’était-ce pas les connaitre ? Je n’en savais rien mais pour ce qui était de la fuite je n’avais pas été des plus malignes pour cela. Mais être enfermé dans la même pièce que Raphaël ne me gênait aucunement, il pourrait nous enfermer à clé que je ne bougerais pas le petit orteil. Pourquoi me ferait-il du mal ? Je pouvais garder les yeux fermés sans aucun souci avec lui. Je le regardais un demi sourire aux lèvres et me gratta le poignet, ou plutôt les nombreuses cicatrices boursoufflé dû aux nombreux coups de lame que je m’étais infligé. Je m’ouvrais les veines, ouvrant les anciennes cicatrices me fichant des conséquences. Cela devait faire cinq mois que j’avais arrêté de me les tailler. Depuis que j’exerçais mon métier de psychologue a vrai dire. Parfois je regardais la lame dans ma chambre posé sur la table de nuit et l’envie d’y sauter dessus me démangeais de l’intérieur, je voulais sentir la lame sur mon corps, ce soulagement lorsque la lame vous coupe la peau. Le sang qui perle et qui commence à goutteler le long de vos mains. La peau qui s’ouvre. Un soulagement un bien être comme si cela apaisait votre souffrance. Alors que nous le savions tous, s’ouvrir les veines faisait mal, mais c’était tellement dérisoire face à la souffrance que j’avais à l’intérieur de mon corps que ça ne pouvait me faire que du bien. Puis ce bruit lorsque la lame passe d’un simple coup rapide sur la peau. Il suffit de la poser en travers de façon à bien taillader la peau. Puis on s’assoit par terre contre le mur on penche la tête en arrière un sourire aux lèves et on éclate en sanglot telle une idiote en se disant que cette fois c’est la bonne, cette fois on va partir dans l’autre monde, on va rejoindre les gens que l’on aimait malgré tout ce qu’ils ont pu faire de mal. Oui c’était ça le soulagement de ce tailler les veines.

La voix de Raphaël me sorti de mes songes une nouvelle fois. Je clignais doucement des yeux comme si j’avais été loin pendant un long moment. Je le regardais, il avait l’air si mal à l’aise de ma proposition. Il essayait même de me dissuader d’en prendre. Il ne connaissait pas encore Baylee. J’étais maligne quand il le fallait et je savais très bien négocier. Mais surtout c’était pour lui. Raphaël… Je tenais lui et je voulais des ce soir, changer sa vie pour toujours… Je souriais doucement et me laissa embrasser alors que je le lui avais demandé peu de temps avant mes songes. Lorsque ses lèvres rencontrèrent les miennes je frissonnais de toute mon échine. Mes mains se raccrochèrent a ses épaules. Sur la pointe des pieds je glissais ma main dans ses cheveux pour rapprocher un peu plus son visage sur le mien. Je me sentais partir, ce désir et ce plaisir qui émanait de moi me rendait folle je perdais la raison. Je me collais un peu plus contre lui les yeux fermaient je profitais pleinement de ce pur moment de bonheur. Mon souffle coupé et hiératique, mes oreilles qui bourdonnaient, mon cœur qui battait la chamade à ne plus en finir … Je pouvais entendre le sien a l’unissons du mien. Un sourire se logea alors sur mes lèvres. Il avait accepté ma demande. Sans même répondre à ma demande, non il avait préféré m’embrasser que de savoir mon âge. Nous avions tout de même cinq ans d’écart, ce qui pour moi n’était rien mais, je connaissais certaines personne à qui ça dérangeait. Je soufflais doucement sur le visage de cet homme à l’allure de beau gosse. Ce garçon qui me plaisait au fond de moi, son regard perçant et énigmatique. Ma main caressait du bout des doigts sa joue mal rasé que j’adorais tandis qu’un rire nerveux sorti de ma bouche. Je déposais plusieurs fois ms lèvres sur les siennes puis finit par y glisser ma langue pour caresser la sienne. Lorsque je fis ça j’en tremblais légèrement sous le plaisir ardant que ça me produisait. L’heure s’était arrêté je l’espérais de tout cœur. On n’avait pas besoin de parler on s’attirer l’un à l’autre. Si je n’avais pas été de la sorte peut être que nous aurions vécut ce moment bien plus tôt ? Je n’en savais rien à vrai dire. Nous ne bougions pas restant figé la au milieu du salon à s’embrasser tel deux amoureux qui venait de se dire oui. Mes mains quant à elle bougeaient. Elles aimaient toucher le corps de ce dernier qui était tout bonnement splendide et parfait. Elles allaient de son visage à son dos puis son torse. Sa chemise fluette et fine me rendait folle. Elle était sorti de son jean puisque tout à l’heure au night Club j’avais pris le soin de la défaire légèrement pour toucher sa peau. Rien que de repenser au contact de mes mains sur sa peau chaude et douce mes doigts eurent des fourmis aux bouts des doigts.

Curieuse à nouveau j’entrepris donc de défaire les boutons de son haut et de lui faire glisser sa chemise le long de ses bas. Mon cœur tambourinait ma cage thoracique je n’allais pas tarder à mourir sous l’effet. Je n’entendais plus rien tant mon cœur faisait du bruit. Le tissu glissant sur la peau de Raphaël était mon seul objectif. Il était là, il tombait doucement me laissant languir de ce moment fatidique. Je l’entendais alors tomber par terre. Il était maintenant torse nu. J’arrêtais doucement de l’embrasser et me recula d’un tout petit pas. Je tenais à peine debout. Mes yeux rivés sur son torse me firent l’effet d’une bombe. Depuis quand n’avais-je pas vu d’homme sans t-shirt ? Hormis ceux à la télévision ? Je préférais ne pas passer mon temps à compter… Je posais mes mains dessus tout en me mordant la lèvre inférieur et tâtonna quelques peu pour découvrir le corps de l’homme. Je le regardais comme quelque chose de nouveau. Il devait se dire que j’étais folle. Ce qui était surement mon cas à vrai dire … Douce à souhait sa peau était tel un petit bébé. Mes mains parcoururent son torse entier tandis que mes yeux eux parcouraient son corps en entier. On aurait dit un enfant en train de découvrir son nouveau jouet. Je rigolais nerveusement et me rapprocha doucement de lui tout en fermant les yeux. Une fois blotti dans ses bras je soupirais d’aise et me mit à embrasser son torse. J’étais tellement bien la. Je ne voulais plus partir d’ici ni même de ses bras. « Tu es le premier… » Dis-je tout bêtement. Le premier de quoi allait-il se dire ? Mais je ne préférais pas le dire je ne voulais pas passer pour une demeuré. Ce que j’étais pourtant. J’attrapais ses mains entrelaçant nos doigts, il était le premier a qui je tenais la main, bon sang il était l premier pour tout ! Ce soir j’innovais vraiment tout ! Je rigolais nerveusement et l’attira vers le canapé ou je m’assis tout en soufflant doucement le laissant s’installer à côté de moi. Je me mis sur les genoux face à lui et posa une main sur sa cuisses et l’autre sur son torse tout en plongeant mon regard dans ses yeux hypnotisant. J’entrouvrais la bouche et la referma pour ne pas boguer. « Raphaël, s’il te plait, je sais que tu n’as pas envie que je me drogue, n’importe qu’elle personne tenant à une personne ne le souhaite. » dis-je en plissant les sourcils à ma phrase. Comme si je savais qu’il tenait à moi alors que la je n’en savais rien…

« Ecoute, je veux t’aider, je n’aime pas voir sur ton visage cette expression lorsqu’on en parle ou tout simplement qu’on sait que le sujet est dans l’air. Je veux tester une fois avant de te restreindre. » Annonçais-je doucement pour qu’il comprenne de quoi je parlais. Je déglutissais légèrement et caressa son bras dénudé. « Raphaël, je suis prête à t’aider, tu n’as pas besoin d’aller dans un hôpital, je serais la, tous les jours. Tu as besoin de moi. Laisse-moi cette chance de t’aider. J’aurais tant aimé qu’on m’aide quand j’en avais besoin mais, personne ne se mettait à ma place personne ne me comprenait. C’est pourquoi je veux t’aider ! Laisse-moi entrer dans ta vie. » Demandais-je cette fois d’une voix douce. Je le regardais avec attention les yeux triste mais aussi envieux de voir une réponse positive de sa part. J’attrapais rapidement le sachet blanc de cocaïne et le regarda. Je pouvais voir Raphaël qui lui était surement perdu par mes dires. J’inspirais doucement et monta sur lui. Une fois assise à califourchon sur lui je lui montrais le paquet de façon a ce qu’il voit la quantité qu’il y avait. Lui le savait, moi je n’y connaissais strictement rien. « Est-ce ton dernier paquet dans cette demeure ? Si oui alors cela sera ta dernière consommation. Dès aujourd’hui c’est moi qui achèterais ta drogue. Je vais te diminuer les doses petit à petit jusqu’à ce que tu n’en prennes plus. Et même si tu ne veux pas tant pis. Je resterais la les fesses assise sur tes cuisses telle une sangsue ! Ta vie me concerne ! » Dis-je en le regardant droit dans les yeux. Je jetais le paquet sur la table et souffla un coup pour détendre l’atmosphère. Mes mains posaient sur ses épaules je collais mon front contre le sien. Je ne voulais pas qu’il me rejette loin de là mais surtout je ne voulais pas qu’il croit que je me rapproche de lui que pour cela. Non loin de là, mes baisers étaient sincère et je n’utilisais pas de mon charme pour faire ça.

Je l’embrassais une nouvelle fois doucement sensuellement, collant mon buste contre le sien je perdais à nouveau pied. Ma langue caressait ses lèvres pour lui dire de me laisser faire de me laisser entrer. Je voulais à nouveau ressentir le plaisir de nos baisers. Il était si doux et si attentionné. J’inhalais son odeur comme si cela m’était vital pour vivre. « Ce que nous faisons ne concerne pas ce que je viens de te dire, j’aime être proche de toi, j’aime t’embrasser sentir ton corps contre le mien je suis sincère avec toi. N’imagine pas que je fais tout pour t’embrouiller ou quoi que se soit Raphaël. » Dis-je entre deux baiser sur ses lèvres. Son souffle heurtait le mien avec frénésie. « Tu me changes, tu fais de moi une nouvelle femme. Je ne suis plus ta psychologue, je suis ton amie. Ce que tu voudras, mais dès aujourd’hui je ne te veux plus dans mon cabinet, je te veux chez moi, ou moi chez toi pour parler. Raphaël… Je… » Dis-je sans finir ma phrase. Je rigolais nerveusement en glissant mes doigts dans sa chevelure. Il ne pouvait pas savoir ce qu’il produisait sur moi. Il venait de me changer pour toujours. Lui et moi ? Ce n’était qu’un début d’une longue et prometteuse amitié. J’en étais sûre et certaine. Je connaissais tout de lui, mais, lui rien de moi il était peut être temps que je lui dise.
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Raphaël C. Anderson
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeJeu 12 Aoû - 21:24

Musique
« Maybe we're victims of fate. Remember when we'd celebrate. We'd drink and get high until late. And now we're all alone »
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Le silence. Il venait de prendre place dans la pièce. Et pour cause, Baylee et Raphaël profitaient du moment présent. Penser au passé aurait été une erreur. Réfléchir au futur n'aurait fait que gâcher le magnifique instant qu'ils étaient en train de partager. Blottis l'un contre l'autre, les deux jeunes gens se laissaient lentement emporter dans une sorte d'euphorie qui était si agréable qu'aucun des deux ne souhaitait qu'elle cesse. Les bras autours de son amie, Raphaël ne pensait à personne d'autre qu'elle. Ce soir là, elle venait de lui faire ressentir un sentiment qu'il n'avait que très rarement connu avant : la confiance. « De toute façon, je suis nulle pour les fuites. Je n'ai jamais pu échapper aux hommes … » prononça Baylee après de longues minutes pendant lesquelles aucun bruits n'avaient osé s'immiscer entre les elle et lui. La psychologue avait parlé doucement. En réalité, elle avait murmuré ses paroles d'une façon qui sembla tout de suite anormale aux yeux de Raphaël. Il comprit que ces quelques mots n'avaient pas qu'un seul sens. Indirectement, elle venait de lui révéler quelque chose qui l'avait marqué. Sans le savoir ? peut-être bien. Surement même. Cependant, elle l'avait dit. Le jeune homme resserra l'étreinte qu'il avait sur Baylee en la collant un peu plus contre lui. Un geste de la part de cette dernière attira l'attention de Raphaël. Son regard scruta le poignet de la psychologue, aujourd'hui devenue amie. Il était couvert de cicatrices, symboles de la souffrance qu'elle avait du endurer. Son regard ne la quitta pas pendant de très longues minutes durant lesquelles le silence reprit sa place. Baylee paraissait plongée dans ses pensées les plus intimes, les plus lointaines, mais pourtant, les plus gravées.

Elle daigna montrer signe de vie seulement lorsque Raphaël lui expliqua que ce qu'elle lui demandait n'était pas une bonne idée. En réalité, il était totalement contre, et s'interdisait même de penser à lui accorder cette requête là. Un certain malaise avait prit possession de son corps et il hochait machinalement la tête en signe de désaccord. Mais tout fut coupé par ce baiser qu'elle lui demanda. Il lui donna avec plaisir. Lorsque leurs lèvres se rencontrèrent, tout sembla tout à coup très différent. Pendant quelques instants, Raphaël se remémora qu'il ne la connaissait que depuis peu de temps. Bien évidemment, elle avait était sa psychologue. Certes. Cependant, il ne la comprenait réellement que depuis ce soir là. Mais Baylee choisit cette instant pour passer sa main dans les cheveux du jeune homme qui abandonna toutes interrogations pour se laisser entièrement emporter par le désir qui se faisait de plus en plus grand au fil des minutes. Le cœur de Raphaël se mit à battre de plus en plus rapidement, il avait l'impression de partir dans un autre monde. Un lieu où plus rien n'avait d'importance à part celle qu'il était en train d'embrasser. Un endroit où le temps n'existait plus, où rien ni personne pourrait faire en sorte de gâcher le moment qu'il partageait avec son ancienne psychologue. Ce monde, tout droit sorti de l'imagination et de l'esprit de Raphaël paraissait pourtant étrangement réel.

Ce dernier sentit les doigts fins de Baylee lui caresser la joue, ce qui le ramena à la réalité. Il venait de franchir la fine frontière entre l'irréel et le réel. Cependant, très peu de choses différentiaient ces deux mondes. Et s'il y avait des différences, il s'en moquait totalement. Et pour cause : quel que soit l'univers dans lequel ses pensées le plongeait, il était toujours près de son amie, en train de l'embrasser avec sensualité et envie. Très rapidement, Baylee se décida à recommencer ce qu'elle avait entreprit de commencer au night club. Ses mains douces s'approchèrent de la chemise de Raphaël. Elle défit les boutons du vulgaire vêtement qui ne semblait n'être plus qu'un accessoire gênant. Lorsqu'il fut totalement défait, la jeune femme se dépêcha de la faire tomber. Lui, l'aida à l'enlever entièrement. Quelques secondes plus tard, il se retrouva torse nu. Baylee arrêta de l'embrasser, puis recula doucement ce qui fit sourire Raphaël, qui ne s'attendait pas vraiment à une réaction comme celle-ci. En effet, elle semblait … désorientée. Ce qui était assez étrange de la part de quelqu'un qui avait elle-même provoqué ce qu'elle voyait.

Cependant, cet état de surprise ne dura pas, puisque la jeune femme s'approcha de nouveau de Raphaël, puis posa ses mains sur son torse. Un frisson parcouru le corps entier de ce dernier. Il releva doucement la tête pour plonger son regard dans celui de son amie qui paraissait perdue. C'était comme si elle n'avait jamais vu, ni même imaginé ce qu'elle voyait à cet instant. Lorsqu'elle avança pour venir se blottir contre lui, Raphaël l'accueillit avec plaisir. Il l'entoura de ses bras pour la coller contre son torse, maintenant nu. « Tu est le premier ... » souffla-t-elle. Cette révélation intrigua le jeune homme, mais il ne lui fit pas remarquer, jugeant que ce n'était vraiment pas le moment de le faire. Soudain, Baylee prit de nouveau les commandes pour les emmener tout les deux vers le canapé, sur lequel elle s'assit tout en s'approchant de Raphaël. « Raphaël, s'il te plait, je sais que tu n'as pas envie de que je me drogue, n'importe quelle personne tenant à une personne ne le souhaite. » dit-elle avec beaucoup d'assurance. Son interlocuteur ferma les yeux pendant quelques secondes puis soupira longuement, tout en réfléchissant à ce qu'il allait bien pouvoir dire pour la convaincre. « Baylee. S'il te plait … ne … » il ne parvint pas à terminer sa phrase. “N'insiste pas” voulut-il dire. Mais plus aucun son voulait sortir de sa bouche. « Ecoute, je veux t'aider, je n'aime pas voir sur ton visage cette expression lorsqu'on en parle ou tout simplement qu'on sait que le sujet est dans l'air. Je veux tester une fois avant de te restreindre. » Le concerné écarquilla les yeux. Pendant quelques secondes, il hésita à lui demander de répéter ses dernières paroles. Sa dernière phrase surtout. “tester” ; “avant de te restreindre”. Ces mots se mirent à résonner dans l'esprit de Raphaël. Une sensation de malaise se propagea très rapidement dans son corps. Il se recula instinctivement de Baylee. Sa bouche s'ouvrait puis se refermait sans cesse. Il voulait parler, mais ne parvenait pas à trouver les mots. « Raphaël, je suis prête à t'aider, tu n'as pas besoin d'aller dans un hôpital, je serai là, tous les jours. Tu as besoin de moi. Laisse-moi cette chance de t'aider. J'aurais tant aimé qu'on m'aide quand j'en avais besoin mais, personne ne se mettait à ma place, personne ne me comprenait. C'est pourquoi je veux t'aider ! Laisse-moi entrer dans ta vie. » Raphaël eut l'illusion de n'être qu'un pion sur un échiquier qui avait été totalement créer contre son grès. D'un côté, il appréciait la demande de Baylee. Elle lui montrait qu'elle s'inquiétait pour lui, ce qui lui fit énormément plaisir, mais il était en même temps entièrement effrayé à l'idée de changer. Il voulait, bien entendu, ne plus avoir honte de lui-même. Il voulait ne plus avoir à se dire qu'il n'était qu'un crétin, un imbécile, un faible, un lâche, à chaque fois qu'il regardait les sachets qui trainaient dans son appartement. Mais il ne se sentait pas prêt à changer. Plusieurs sentiments se combattaient à l'intérieur même de son être. Il ne savait pas vraiment comment répondre à ce qu'elle disait. « Euh … je … » tenta-t-il de dire, en vain. La voix de Baylee était douce, et il vit très bien qu'elle ne cherchait qu'à l'aider. Mais la seule idée de … « Est-ce ton dernier paquet dans cette demeure ? Si oui alors cela sera ta dernière consommation. Dès aujourd'hui c'est moi qui achèterais ta drogue. Je vais te diminuer les doses petits à petit jusqu'à ce que tu n'en prennes plus. Et même si tu ne veux pas tant pis. Je resterai là, les fesses assises sur tes cuisses telle une sangsue ! Ta vie me concerne ! » Raphaël fut très touché par les paroles de son amie. Mais il était pourtant crispé. Il avait l'impression qu'un trou béant venait de s'ouvrir au plus profond de son être. Le regard qu'elle lui accordait, le ton qu'elle utilisait … le torturait. Sans s'en rendre compte, ou du moins sans le vouloir, elle le torturait. [color=indianred]« C'est gentil, mais c'est beaucoup plus compliqué que ça Baylee. »[/colo] prononça-t-il sur un ton assuré, ce qui le surprit lui-même. Sa voix n'avait même pas tremblée. Pourtant, son corps, lui, était tremblant.

Ils s'embrassèrent de nouveau. Mais Raphaël était bien trop occupée à tenter de réfléchir. Ses baisers étaient beaucoup moins appuyés que précédemment. Il semblait être parti pour d'autres horizons. Les phrases qu'elle prononça ensuite pour lui dire que ce qu'ils faisaient n'avait rien à voir avec ce qu'elle venait de lui dire ne firent aucun effet au jeune homme qui ne les avait que très vaguement entendu. « Tu me changes, tu fais de moi une nouvelle femme. Je ne suis plus ta psychologue, je suis ton amie. Ce que tu voudras, mais dès aujourd'hui, je ne te veux plus dans mon cabinet, je te veux chez moi, ou moi chez toi pour parler. Raphaël … je … » Elle avait raison. Une nouvelle fois. Ils n'étaient plus patient et psychologue. Ils étaient maintenant amis. Et des amis se devaient de se soutenir. Raphaël s'approcha du visage de Baylee dans le but de l'embrasser une nouvelle fois. Ses lèvres se posèrent doucement sur celle de la jeune femme, mais il s'arrêta très rapidement, en se reculant. « Ouais, c'est mon dernier » dit-il en montrant de la tête le sachet de cocaïne qu'elle tenait fermement entre ses doigts. « Je sais que tu veux m'aider, et j'apprécie. Vraiment. Mais … c'est beaucoup plus compliqué que … » commença-t-il à dire. « Je … je ne sais pas … si … je ne sais pas si je pourrai y arriver. Et, je suis désolé, mais même pour tester, je ... je peux pas ... te faire toucher à cette merde. » dit-il en fermant les yeux et sur un ton saccadé.
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeJeu 12 Aoû - 22:46

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Sa peau, oui la douceur de sa peau mais aussi la chaleur qui en émanait me rendait totalement hystérique. Je n’étais pas folle j’étais bien plus. Je ne pouvais pas le nier ; il faisait sur moi un effet complètement nouveau bien plus puissant que les femmes. Pas de toute j’étais plus attirés par les hommes que par les femmes mais, Raphaël était le premier garçon alors tout se multipliait je pense. J’avais envie de l’embrasser j’avais envie de plus je voulais qu’il fasse comme si nous nous connaissions depuis plusieurs jours, je ne voulais plus de gêne entre nous. Je voulais être une femme une vraie !! Mince j’en avais marre d’avoir constamment peur de me méfier je ne pas être moi et d’être quelqu’un d’autre. Depuis que j’étais avec lui je changeais petit à petit. Il avait réussi a une seule seconde à rentrer dans ma bulle et l’enlever sans aucun soucis. Je voulais le remercier pour cela. Mais il ne comprendrait pas pourquoi. Il ne savait rien de moi. J’avais envie de lui dire mais, à quoi bon ? Pourquoi mettre une mauvaise ambiance dans cette soirée ? Je venais de la gâcher alors je n’allais pas remuer le couteau dans la plaie plus longtemps… J’avais fait assez de conneries pour ce soir… Assise la je ne savais plus quoi faire ni même que penser. Il faut dire qu’avec ce que je venais de dire il y avait de quoi. Je voulais tellement être présente servir pour lui. Il était important pour moi, je savais ce qu’il ressentait quand il parlait de la drogue ou bien même la tête qu’il faisait je l’avais très vite comprit quand nous étions arrivés chez lui et qu’il avait vu le sachet de cette substance blanchâtre qui n’est autre que de la cocaïne… Je ne comprenais même pas pourquoi on avait crée ce genre de merde. Qui avait eu l’idée de faire une sorte de poudre qui puisse détruire la vie des gens ? Si seulement je le savais je pourrais le tuer sur place. Je n’étais pas du genre impulsive ou bien même méchante, il m’était très rare de m’énerver mais bordel je ne veux plus voir Raphaël souffrir pour ce genre de chose. Je fermais doucement les yeux posant mes mains sur le torse de celui-ci de façon a ne pas m’énerver, je ne voulais pas crier contre lui mais contre la personne qui lui avait fait connaitre les drogues. Fumer un joint, j’aurais préféré qu’il fasse cela que de sniffer ce genre de chose. Mais malheureusement je ne pouvais pas choisir la vie de mes amis, je n’avais pas déjà choisi la mienne alors ceux des autres … Je rigolais nerveusement et posa mon front contre le sien préférant laisser le silence s’installer que de continuer la discussion sur la drogue. Je voyais bien à son visage a son expression qu’il était très mal à l’aise.

Je le connaissais pratiquement par cœur, après tout je l’avais en patient et maintenant c’était un ami. Proche ? Je pouvais dire oui. Nous nous embrassions après tout. Ses lèvres me manquaient je résistais pour ne pas l’embrasser la de suite. Je ne me reconnaissais plus à vrai dire. Ou était passé l’ancienne Baylee ? Elle était partie depuis un petit moment maintenant. Mais je savais que ce n’était pas éternel. Non elle était partie juste le temps de la soirée. Une fois sorti de cet immeuble elle serait de retour pour mon plus grand malheur. Je gardais les yeux fermaient retenant mes larmes, je ne voulais pas retrouver l’ancienne Baylee. Je serrais la mâchoire pour ne rien dire et ne faire aucun gémissement de douleur que j’avais en ce moment même dans ma poitrine. Raphaël avait l’air perturbé. Il essayait de parler et je m’en voulais atrocement car c’est moi qui l’avais rendu ainsi. J’inspirais doucement relevant la tête et plongea mon regard dans le sien tout en caressant sa joue du bout de mes doigts. J’avais envie de lui dire de ne pas réfléchir de ne plus rien dire et d’oublier tout ce que je venais de dire. Ne serait-ce que pour la soirée. Je ne voulais plus parler de cela je voulais passer à autre chose je voulais le découvrir en entier je voulais apprendre à me connaitre à ces côtés je voulais connaitre plus en profondeur mon nouveau moi et surtout la façon d’être de Raphaël. En dehors du cabinet je ne le connaissais pas et c’était tout aussi nouveau pour moi que pour lui. C’était compliqué bien plus compliqué que cela. Je voyais bien qu’il ne voulait pas que je goutte à la drogue il ne voulait vraiment pas. Tenait-il à moi ? J’en rougissais sous le coup si tel était le cas qu’est ce que cela voulait dire ? J’étais maintenant à mon tour perdu. Je me grattais le cuir chevelu sous l’effet de l’hébétement et détourna le regard quelques instant du sien. Je ne savais plus quoi faire ni quoi dire. Fermant les yeux je préférais oublier cette conversation et déposa à nouveau mes lèvres avec douceur et sensualité sur les siennes. Je caressais son torse toujours nu, il avait eu l’air d’apprécier que je lui enlève ce bout de tissu, pour preuve il m’avait carrément aidé à l’enlever. Cependant lorsque je l’embrassais je pouvais voir qu’il n’était pas aussi attentionné que tout à l’heure. Il avait l’air dans ses pensées il n’était plus avec moi à ce moment précis. Je voulais tant me faire pardonner pour ce que je venais de créer je sentais le malaise que je venais de créer. Je déglutissais légèrement prenant sur moi pour ne pas fondre en larme. J’étais stupide et bête d’avoir fait cela. Je voyais bien qu’il n’avait pas l’air bien. Cependant il arrêta le baiser que nous étions en train d’échanger.

Sa phrase me fit l’effet d’une bombe en moi, mon cœur eut un raté et mon sang ne fit qu’un tour dans tout mon corps. Je souriais doucement caressant son visage puis son torse musclé et dur comme du béton. Je regardais le sachet de drogue et le jeta loin de nous. Il atterrit au coin d’une pièce et j’embrassais doucement a nouveau Raphaël. Mon souffle se coupa sous le coup. Mon cœur eut des frissons de désir. Mon corps quand a lui trembla fortement. Mes mains dans ses cheveux comme à son habitude me rendaient folle. Je stoppais rapidement notre baiser essoufflait comme une simple idiote. « Raphaël, je suis désolée d’avoir parlé de ça, oublions tout ça pour ce soir. C’est notre nuit, notre première nuit ensemble. Je veux tellement découvrir. Toi, moi. Je sais pas ce qui se passe, je ne veux même pas savoir, ni même réfléchir. Je crois que… » Dis-je doucement en posant ma main sur cœur et la sienne sur le mien. Je faisais abstraction au fait qu’il touchait ma poitrine en même temps. Je sentis tout de même mes joues rosir légèrement mais rien de bien méchant. « Je crois que je t’apprécie plus que nécessaire et je ne veux pas que ça s’arrête. » Murmurais-je en me rapprochant doucement de lui sans le quitter du regard. Je souriais doucement et déposa doucement mes lèvres sur les siennes quelques secondes profitant de ce moment et recula doucement. J’attrapais sans difficulté la bouteille et les deux verres, je les remplissais du liquide et les posa sur le canapé sans les faire tomber. Je ne bougeais plus trop pour ne pas les faire tomber je ne voulais pas passer ma nuit à laver le canapé. J’attrapais le couteau et coupa deux rondelle de citron et au lieu de devoir croquer dedans je mis le jus dans le verre. Je fis de même avec le sel et donna le verre à Raphaël. « A nous ? » annonçais-je heureuse. Je bus mon verre cul sec et fronça les sourcils et les lèvres puis secoua doucement ma tête en rigolant légèrement. Je posais le verre sur la petite table en bois et me leva de sur Raphaël. Je le regardais doucement et tourna autour de moi-même pour trouver de quoi mettre de la musique dans l’appartement. La sono en vue je m’avançais doucement et mis en marche le CD qui était déjà dedans. Le son commençait a sortir donnant les premières notes. Je n’avais même pas besoin d’attendre plus pour savoir ce que c’était. Un sourire au bout des lèvres je fermais les yeux, heureuse de voir qu’il écoutait de la bonne musique.

« Simple plan est un très bon groupe. Tu as bon gout. » J’écoutais le son et le monta doucement puis le rejoignit face à lui. Je me postais debout devant lui sans bouger. Je voulais savoir si j’avais réellement changé je voulais voir si j’étais capable d’une chose que je faisais constamment avec les filles. J’inspirais fortement baissant légèrement la tête et gratta ma joue pour chercher les mots. Je ne savais pas quelle réaction il allait avoir. Mais bon sang il fallait que je test mes limites plus que nécessaire. Tant pis si je dois le regretter plus tard. Je passais ma langue sur mes lèvres et releva doucement la tête et lui fit un regard aguicheur déhanchant doucement mon bassin prenant appuis sur une seule jambe. Je le regardais sans siller et lui fit un sourire ravageur. « Il me semble qu’à vue d’œil nous ne sommes pas à égalité. J’ai plus de vêtements que toi. Et si… tu remédiais à cela ? » Dis-je d’un ton amusée et sensuel pour le provoquer. Je posais mes mains sur mes hanches et le regarda de haut en bas. Je n’aimais pas la distance que nous avions prise, enfin que j’avais prise pour être plus vrai. C’est moi qui m’était levé et parti et non lui. Je souriais doucement et détacha mes cheveux qui était tenu par une pince à cheveux. Je la posais doucement sur la table et arrangea mes cheveux les laissant virevolter sur ma tête. Etant bouclé naturellement j’avais tout de même du mal à les dompter. J’inspirais doucement et ne le quitta pas du regard pour autant. Je me mordais doucement la lèvre inférieur comme à mon habitude et attendit qu’il vienne faire ce que j’espérais au plus profond de mon être. M’enlever mon débardeur et plus suivant son envie. J’étais prête. Je lutais contre moi-même. J’en avais envie je le voulais. Je voulais sentir sa peau sur la mienne. Je le voulais lui. Nous avions pour cela toute la nuit et elle ne faisait que commencer …

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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeVen 13 Aoû - 1:55


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Tout ceci était bien étrange. Tout se passait si vite. Quelques heures plus tôt, elle n'était que la psychologue qu'il avait invité à rencontrer hors de l'hôpital. Maintenant, elle se trouvait dans ses bras et ils s'embrassaient avec envie. Ils avaient réussi à trouver une personne de confiance en se rencontrant. Raphaël voyant en Baylee quelqu'un de proche. Premièrement, parce que son statut de psychologue -ou du moins, ancienne psychologue puisqu'elle souhaitait que leur situation change, et lui aussi- lui avait donné des informations que personne d'autre ne connaissait. Ensuite, parce que maintenant qu'il la voyait hors de l'enceinte de l'hôpital, il apercevait une jeune femme sincère, qui voulait l'aider. Ils n'avaient pas besoin de se parler pour se comprendre. Plonger le regard dans celui de Baylee suffisait à Raphaël de comprendre ce qu'elle ressentait. Et inversement.

Alors qu'ils étaient blottis l'un contre l'autre, Baylee sembla se perdre dans une sorte de profond chagrin. Elle tentait de retenir ses larmes, et il ne fallut pas longtemps à son ami pour le remarquer. Ce dernier étant encore perturbé par les dernières paroles de la jeune femme, il hésita avant de faire quoi que ce soit. Ses mains étaient encore tremblantes. Cependant, il réussit tout de même à se calmer pour remettre la psychologue en confiance. « Quelque chose ne va pas ? » demanda-t-il en utilisant un ton calme, tout en essayant de ne pas faire trembler sa voix. Bien évidemment que quelque chose n'allait pas. Il le voyait très bien, mais se contenta de lui poser cette question, anodine. Du moins en apparence. Raphaël s'approcha de nouveau de Baylee pour la serrer contre lui, dans l'espoir de la calmer et de voir ses larmes qui étaient prêtes à couleur le long de son visage rebrousser leur chemin. Mais l'état dans lequel les quelques phrases qu'elle avait prononcé quelques minutes plus tôt l'empêchait de réfléchir, le faisait douter. C'était comme s'il venait de perdre la confiance qu'il avait habituellement enfoui au plus profond de lui-même.

Raphaël fut soulagé de voir qu'elle n'abordait plus le sujet tabou qu'était la drogue qu'il consommait. Il lui adressa un regard dans lequel il tenta de faire retranscrire tout le soulagement qu'elle lui procurait en agissant ainsi. Aucun des deux ne su vraiment comme réagir suite à ce qu'avaient provoqué les paroles de Baylee. Cette dernière trouva de nouveau une solution qui convenait parfaitement au jeune homme. Elle ferma les yeux et l'embrassa une nouvelle fois avec beaucoup de douceur et de sensualité, pendant qu'une de ses mains descendit sur le torse nu de Raphaël. Elle s'arrêta pourtant très vite pour jeter le sachet de cocaïne, qu'elle avait encore près d'elle, au bout de la pièce. Le propriétaire des lieux le regarda s'envoler rapidement dans le séjour puis atterrir dans le coin opposé. Un sourire amusé se dessina sur son visage. Savait-elle simplement que si elle avait été une autre personne, il n'aurait pu s'empêcher de se mettre en colère et de hurler qu'elle était totalement folle, ou toutes autres insultes ressemblantes ? Apparemment non. Le naturel de cette femme continuait à impressionner Raphaël qui attendit qu'elle se retourne pour l'embrasser. « Raphaël, je suis désolée d'avoir parlé de ça, oublions tout ça pour ce soir. C'est notre nuit,notre première nuit ensemble. Je veux tellement découvrir. Toi, moi. Je sais pas ce qui se passe, je ne veux même pas savoir, ni même réfléchir. Je crois que … » dit-elle sur un ton calme, mais sans pour autant parvenir à terminer sa phrase. Elle porta la main de son interlocuteur jusqu'à son coeur puis vint poser la sienne sur celui de ce dernier qui frissonna suite à ce contacte. Bien que torse nu, Raphaël eut l'impression d'être envahit par une chaleur incontrôlable qui se dispersait dans toutes les parties de son corps, n'en omettant aucune. « Je crois que je t'apprécie plus que nécessaire et je ne veux pas que ça s'arrête. » murmura-t-elle en l'embrassant. Son magnifique regard plongé dans celui du jeune homme donna l'illusion à Raphaël d'être perdu au milieu d'un océan d'une beauté extraordinaire. Mais que c'était agréable.

Sans bouger de place, Baylee se tourna pour attraper la bouteille qu'elle avait choisi lorsqu'elle était arrivé dans l'appartement. Après quelques secondes de préparation, elle tendit un verre à Raphaël. « A nous ? » demanda-t-elle en souriant « A nous ! » répéta le jeune Anderson avant d'imiter son invitée qui venait de boire son verre cul sec. Elle se leva ensuite rapidement puis inspecta la pièce. Elle ne mis que très peu de temps pour repérer ce qu'elle recherchait : la sono. Elle avança, avec beaucoup de grâce en direction de l'appareil puis le mit en marche. Les premières notes de la chanson qui était programmée pour démarrer se firent entendre au bout de quelques secondes. « Simple plan est un très bon groupe. Tu as bon goût. » dit-elle au bout de quelques instants. Raphaël acquiesça d'un signe de tête significatif puis se resservit un second de téquila. Il en profita pour remplir aussi le verre de son invitée avant d'avaler d'une seule traite le liquide que contenait le sien. Lorsqu'il releva la tête, Baylee se dirigeait de nouveau vers lui d'une façon étonnante. Ou du moins, il ne l'avait jamais vu aussi … déterminée et amusée à la fois.

« Il me semble qu'à vu d'œil nous ne sommes pas à égalité. J'ai plus de vêtement que toi. Et si … tu remédiais à cela ? » demanda-t-elle en utilisant un ton sensuel et amusé en même temps. Raphaël laissa échapper un rire, amusé par la situation. Il se leva lentement, faisant exprès de la faire attendre, puisqu'elle semblait tout de même impatiente. Il avança vers elle, réduisant ainsi la distance qui les séparait à chaque pas, et ce tout en gardant son regard rivé dans le sien et un petit sourire sur le coin des lèvres. « Mon dieu rendez-moi la Baylee patiente que j'ai connu lors de mes consultation avant que celle que j'ai en face de moi décide de me violer sur place » répondit-il avec ironie tout en s'approchant de plus en plus de la jeune femme, jusqu'à arriver à quelques centimètres d'elle. Il laissa courir lentement ses doigts le long du ventre plat de Baylee, puis sur ses hanches pour enfin venir passer ses bras derrière son dos. Il la plaqua avec douceur contre lui pour l'embrasser avec passion et envie pendant que ses mains descendirent vers son ventre pour soulever son t-shirt avec lenteur. « Je crois que je vais avoir besoin d'aide » souffla-t-il au creux de l'oreille de la jeune femme, toujours un sourire malicieux aux lèvres.

HJ : Ahaha; qu'est ce que j'aime faire durer le suspens
*sors*
=D
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeVen 13 Aoû - 3:02

M.U.S.I.Q.U.E
Don't leave me. Don't abandon me.
I prefer to Die that to be alone

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La note, douce comme à son habitude nous poursuivait depuis le début de la soirée. Une soirée exceptionnelle qui j’espère n’était pas prête de se terminer. J’aurais voulu qu’en ce moment le temps ne fusse que futile et non quelque chose d’important. On ne s’en rendait pas compte mais, le temps filait sous nos doigts il nous devançait se marrer de nous il nous regardait en se délectant de voir notre détresse de le voir partir au loin. Il m’avait souvent nargué me disant que de toute façon pour ma part le temps n’était que secondaire puisque ma vie n’avait pas besoin d’être vécut en entière. De toute façon vu comment je déprimais et comment je menais ma vie on ne peut pas dire que le temps soit primaire pour moi. Mais la n’était pas la question. Fermant doucement les yeux je profitais pleinement de ce moment de pure bonheur auprès d’un homme qui, je devais l’avouer m’était inconnu il y a plus de six mois. Je le voyais toutes les semaines depuis cinq mois, je lui parlais pendant plus d’une heure d’affilé, je faisais en sorte de l’écouter de le faire se sentir mieux. J’avais appris à le connaitre à l’adorer comme il était. Etais-je trop impliquée avec mes patients ? La réponse était claire précise et évidente. C’était un oui avec un o majuscule… Surtout que Raphaël était pour l’instant le seul de mes patients de la sorte. Il provoquait en moi ce désir ardant de le protéger de m’occuper de lui de lui dire d’être rassurer que maintenant je suis dans sa vie et que je n’en partirais plus. Je n’avais même pas le courage d’imaginer ce que serait maintenant une vie sans lui. Bon sang ! Cela ne fait que quelques heures que l’on se parle hors contexte d’hôpital et je m’étais déjà attaché à lui tel un doryphore acharné. J’avais peur de l’étouffer j’avais peur qu’il me freine alors que je n’essayais qu’une seule et unique chose. Être enfin moi-même, être la Baylee que j’aurais dû être si mes parents n’étaient pas partis de Brisbane à ma naissance. Je me voyais épanouit, je me voyais souriante heureuse, compatissante, un peu folle sur les bords, joyeuse à en donner aux gens qui eux sont triste. Je me voyais profiter de la vie à pleine dent. Je ne me voyais pas déprimée de la sorte. Parfois il suffit d’un simple petit changement pour changer votre façon d’être votre avenir. Moi il m’a fallut trois chose pour me changer… Mais ce que je voyais très vite et que je compris sans même me poser la question. C’était le fait que si je n’avais pas subit tous ces malheurs, je n’aurais jamais voulu devenir psychologue et je n’aurais sûrement jamais connu Raphaël… J’aurais perdu une connaissance qui ne pouvait pas se permettre d’être perdu ! Mince c’était Raphaël … Il était unique et même s’il avait des problèmes de drogues je l’appréciais comme il était.

Ce fut sa voix qui me fit revenir à la raison. Relevant la tête doucement je plongeais mon regard dans le sien et inspira doucement. Je n’arrivais pas à croire qu’il me faisait cette effet la. Ses yeux bleu unique, bleu intense me faisaient trembler de la tête aux pieds. Je me mordais à nouveau la lèvre inférieur et me gratta la joue. « Ne t’inquiète pas, je vais bien, juste… Les pensées… Désolée. » murmurais-je doucement en me rapprochant de lui pour l’embrasser une dernière fois avant de mettre la musique. Ce qui fut rapide. Mais quand je pense à ce que je venais de faire je me foutrais bien une paire de gifle bien forte. Voir même un coup de batte de base-ball sur la tronche. Rien que d’y penser une douleur fulgurante me vint sur le visage et je me touchais celui-ci du bout des doigts comme pour me soulager d’un effet tout bonnement placebo… Je clignais légèrement des yeux et regarda Raphaël remplir deux autres verres puis boire le sien. Un sourire dessinait sur mes lèvres j’attrapais le mien et le bus d’une gorgé et posa sèchement le verre sur la table ce qui produisit un son matte. Je m’essuyais doucement la bouche avec sensualité et me lécha légèrement le doigt pour ne pas gaspiller la téquila. Je le regardais du coin de l’œil et passa ma langue sur mes lèvres en entendant encore dans ma tête le « A nous ! » qu’il avait lancé lorsque j’avais trinqué pour nous. Il avait dit comme moi. Bon sang je me torturais toute seule en pensant à lui et surtout en voyant que je changeais à ses côté. Il faisait sur moi un effet bénéfique il n’y avait pas à redire ! Les bras ballant le long de mon corps Je le regardais pour m’amusée mais surtout pour le provoquer plus que nécessaire. Je voulais lui montrer que Baylee pouvait littéralement changer en dehors du contexte de psychologue. Bien que je doive l’avouer je n’étais pas experte en la matière enfin avec les garçons… Car avec les filles il fallait dire que j’aimais les draguer et leur faire du rentre dedans comme avec Jude. Je déglutissais doucement sans le quitter du regard. Il avait l’air tout aussi amusé que moi de la situation et j’adorais ! Au moins il ne se forçait pas à faire quoi que se soit. Je n’aurais pas supporté de toute manière. Je le vis alors se lever et mon cœur eu un raté car ce qui voulait dire qu’il venait faire ce que j’avais donc demandé. Mais ce qui m’horripilait le plus c’est que monsieur faisait bien exprès de faire tout avec lenteur tel un petit escargot. J’étais de nature très patiente, vraiment. Je ne râlais jamais lorsqu’il fallait attendre. Et puis lorsqu’on est psychologue on se doit un temps soit peu de l’être sinon on peut tout de suite changer de métier … Mais là, non ça m’était impossible. C’était carrément au dessus de mes forces. J’étais excitée, j’étais envieuse de la situation. Je voulais continuer de me découvrir, je voulais voir si oui ou non j’étais capable de ne plus être dépressive et méfiante des hommes. Raphaël n’étais pas un homme avec qui je jouais non bien au contraire.

Ce que je ressentais était totalement franc et sincère, mon cœur battait en ce moment pour lui l’air de me dire si tu pars je te fais encore plus souffrir… Non, non, je devais passer ma nuit avec lui. Franchir le cap, sauter le pont comme dirais certaines personnes. Aujourd’hui était le bon j’en étais persuadé. J’inspirais alors lentement mais assez longtemps pour remplir mes poumons d’oxygène. Son sourire en coin me fit fondre je failli m’évanouir je me sentais totalement partir, l’adrénaline qui coulait dans mon corps faisait de moi une femme faible je devais l’avouer. Mais pas faible dans n’importe quel sens. Non j’étais entièrement voué à Raphaël. Je ferais tout ce qu’il me demande j’en étais consciente, était-ce normale ? Etait-ce ça la confiance ? Je n’y connaissais rien et j’étais perdu comme toujours. Il était tout près de moi il arrivait à son but j’avais tellement envie de faire le pas qui nous séparé mais j’étais beaucoup plus forte ! je le laissais venir à moi. Sa voix suave et grave retentit dans la pièce coupant la musique qui raisonnait dans la pièce seule depuis un moment. J’adorais sa phrase jusqu’à ce qu’il prononce le mot. Je me figeais sur place. Je me sentis pâlir d’une force surhumaine. Ma bouche s’entrouvris et je baissais la tête le souffle coupé par la peur et les souvenirs. Je ne bougeais pas trop abasourdi par ce qu’il venait de dire. Je ne pourrais jamais… je savais que c’était qu’une expression complètement débile mais, je ne m’y étais pas attendu et il m’avait totalement pris au dépourvu. J’essayais de parler mais, aucun son ne sorti de ma bouche. Je parlais dans le vide laissant échapper quelques bruits incompréhensible. Je fermais fortement les yeux a m’en créer des étoiles dans le noir tellement je forçais. Je serrais doucement les poings me hurlant de ne pas y penser pas maintenant je ne devais pas tout gâcher. Ce n’était pas de sa faute il n’y pouvait rien, il ne pouvait pas savoir bordel ! J’avais envie d’hurler de crier de frapper dans tous les murs de la maison de hurler que j’en avais marre de mon passé que je ne voulais plus avoir ce passé lourd qui m’envahissait et qui me bouffait un peu plus chaque jours que dieu me donnait à vivre. Je retenais mes larmes et souffla doucement quand je sentis sa bouche sur la mienne. J’ouvrais les yeux étonnée car je ne m’y attendais pas. Je mis quelques secondes à m’en remettre et je chassais enfin les mauvais souvenirs.

Je posais ma main sur sa joue et l’embrassa avec passion et envie. Le désir se faisait de plus en plus intense tel que j’en avais mal dans le bas ventre tant je ne voulais qu’une chose. Lui. Son corps tout entier. Je le voulais pour moi toute seule. J’étais possessive moi maintenant ? Dieu que je ne me connaissais plus… C’était plus frustrant qu’autre chose. Je collais mon corps contre le sien au même moment ou il me plaquait contre lui avec douceur. Je gémissais doucement et l’embrassa avec plus d’ardeur. Je me lâchais un peu plus que tout à l’heure. Mon autre main posait sur son torse je lui mordillais la lèvre inférieur quand il passa sa main sur mon corps pour me toucher. Je n’étais pas habitué venant d’un homme. Il était le premier. Je me laissais faire sans bouger. Je découvrais des sens tout à fait nouveaux, c’était si différents des femmes. Lorsqu’il passa sa main sous mon haut mon souffle s’arrêta et je retins alors ma respiration attendant le moment fatidique. Notre baiser s’arrêta la pour mon plus grand malheur et sa voix retentit au creux de mon oreilles. Je m’accrochais à ses épaules tout en reculant doucement la tête pour le regarder droit dans les yeux et lui fit un sourire heureux et taquin. « Demande moi ce que tu veux, tes désirs sont des ordres… » Lançais-je sensuellement sans réfléchir à mes dires. Au diable les coutumes bonjour le sexe l’envie et le plaisir. Je glissais alors ma main sous mon haut caressant la sienne et m’enleva délicatement sans le quitter du regard mon débardeur. Je me retrouvais donc en soutiens gorge noir en dentelle devant lui. Je ne bougeais toujours pas laissant tomber le bout de tissu par terre. Je pris alors une bouffée d’air pour me donner de la force et commença à dégrafer le bout de tissu qui cacher l’essentiel. Baissant les bretelles je laissais tomber alors pour la première fois devant une personne ce qui cachait la partie qui à ms yeux était la plus belle. Ma poitrine. Aucune personne ne l’avait vue, je faisais toujours tout dans le noir. Je rougissais légèrement et me plaqua doucement contre lui sentant sa peau contre la mienne se qui me procura une sensation de bien être. La chair de poule s’empara de mon corps et je fermai les yeux pour l’embrasser à nouveaux. Je plongeais dans les méandres du plaisir avec lui. Raphaël.
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Raphaël C. Anderson
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RAPHAËL — « You jump, I jump. Right ? »


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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeVen 13 Aoû - 17:15


« When evening falls, she'll run to me. Like whispered dreams, your eyes can't see. Soft and warm, she'll touch my face. A bed of straw, against the lace »

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Baylee. Raphaël. Raphaël. Baylee. Deux noms. Deux personnes. Deux caractères. Deux êtres très différents l'un de l'autre, mais pourtant assez semblables au plus profond d'eux même. Raphaël avait souvent rêvé d'une autre vie, où tout serait beaucoup plus simple. Une vie dans lequel tout changerait, tout serait bien différent. Mais en cet instant, il regrettait d'avoir pensé une chose pareille ne serait-ce qu'une seule fois. Et ce, parce qu'il voyait que toutes ses conneries l'avaient mené à rencontrer une personne extraordinaire qu'il n'aurait surement jamais connu s'il n'était pas allé la voir en tant que patient. Pourtant, il se souvenait encore de sa propre réaction le jour où il avait décidé de changer de psychologue, en espérant que cette fois là soit la bonne. Comme à son habitude, il avait râlé contre lui-même en s'insultant de “crétin”, “d'imbécile”, ou de tout autres mots synonymes. Pathétique. Oui, pathétique. Et il le savait. Il était le premier à trouver ses réactions ridicules, mais ne faisait pourtant rien pour les modifier. “A quoi bon ?” se demandait-il souvent. Baylee, il ne la connaissait que depuis peu de temps. Cinq mois en réalité. Cinq petits mois d'apparence insignifiants qui étaient pourtant en train de le changer. Totalement. Mais il ne la voyait aussi bien que depuis quelques heures. Depuis qu'elle n'était plus sa psychologue, mais son amie. La nuance était claire. D'ailleurs, il avait l'impression de la comprendre. Il ne savait que très peu de chose sur elle, voir même absolument rien. Pourtant, le jeune homme se surprenait à comprendre ce qu'elle ressentait. Ou du moins, à en avoir l'illusion. Son regard. C'était souvent dans son regard qu'il voyait briller des fragments de lueurs qui trahissaient -ou traduisaient, question de point de vue- ses sentiments.

« Ne t'inquiète pas, je vais bien, juste … Les pensées … Désolée. » répondit-t-elle lorsque Raphaël lui demanda si quelque chose n'allait pas. Ce dernier lui adressa un regard chaleureux ainsi qu'un petit sourire. S'il avait choisi de parler, il lui aurait dit qu'elle n'avait pas à s'excuser et qu'il ne fallait pas qu'elle s'inquiète. Mais parler à cet instant là aurait gâché le moment qu'ils vivaient. Certaines fois, avec certaines personnes, un regard suffit à faire comprendre un message. Il en était ainsi avec Baylee. Il ne lui avait pas adressé la parole pour lui répondre, et pourtant, il était certain qu'elle avait compris ce qu'il voulait lui dire. Elle se leva ensuite pour aller mettre de la musique avant de faire remarquer qu'elle avait plus de vêtements que lui. C'est avec un sourire amusé au coin des lèvres, son regard plongé dans celui de la jeune femme mais surtout avec beaucoup d'assurance que Raphaël se leva à son puis marcha d'un pas lent. La faire languir l'amusait, il fallait l'avouer.

Il la vit pâlir lorsqu'il prononça ironiquement une certaine phrase. Surpris, il s'arrêta pendant quelques minuscules secondes avant de reprendre son chemin. Mais lorsqu'il regarda de nouveau son invitée, il aperçu très bien le tin blanchâtre qui avait pris part sur son visage et elle tentait de prendre la parole. Voyant qu'elle était mal, il accéléra le pas pour réduire le plus rapidement possible la distance -qui lui paraissait être énorme- qui les séparait. Raphaël profita de l'instant où elle ferma les yeux, surement pour tenter de se battre contre les larmes qui tentaient de se frayer un chemin dans le but couler sur son visage, pour venir poser délicatement ses lèvres sur les siennes. Sa technique fonctionna parfaitement puisqu'il ne fallut que quelques secondes à Baylee pour ouvrir de nouveau les yeux. Son regard bleuté vint se poser dans celui de Raphaël, qui continuait à l'embrasser avec passion. Le corps tout entier de ce dernier fut parcouru par un frisson qu'il associa à l'envie qui montait en flèche au plus profond de lui même. Cette sensation de désir, qui se faisait plus grande au fil des secondes qui passaient, se fit ressentir dans leur baiser. Il traduisait l'envie que ressentaient les deux jeunes gens.



Raphaël sentit la main de son amie se poser doucement sur sa joue pendant qu'il s'activait à passer ses mains le long de corps de cette dernière qui se laissait totalement faire. Elle semblait même quelque peu surprise ce qui étonna Raphaël. Mais, encore une fois, il ne prit pas le temps d'ouvrir la bouche pour dire quoi que ce soit. De toute façon, il était bien trop occuper à embrasser la psychologue. Le jeune homme laissait glisser ses doigts le longs des hanches et du dos de Baylee. Puis, il les laissa se déplacer vers le ventre de cette dernière. Ses mains passèrent lentement sous son haut. Il sentit que son amie se crispait légèrement. Du moins, pendant les quelques premières secondes. « Demande moi ce que tu veux, tes désirs sont des ordres … » dit-elle avec une once d'ironie dans la voix, mais toujours d'une façon très sensuelle avant de prendre les choses en main. Dans un geste rapide, elle souleva son haut puis l'enleva totalement. Son débardeur atterrit très rapidement au sol. Baylee se trouvait maintenant en soutient gorge. Comme s'il souhaitait l'encourager à continuer, Raphaël se recula de quelques centimètres pour pouvoir lui adresser un sourire radieux. Il vit les pommettes de son amie rougirent pendant qu'elle terminait de dégrafer le dernier bout de tissus qui cachait sa poitrine. Voyant qu'elle était légèrement embarrassé, Raphaël se concentra pour ne fixer que son regard, d'un bleu pur. « Ne rougis pas … » murmura-t-il doucement à l'oreille de son amie avant qu'elle s'approche de lui pour se plaquer contre son corps. Il sentit sa peau contre la sienne, sa poitrine venir se poser contre son torse. Il l'entoura de ses bras pour la coller entièrement contre lui puis l'entraina doucement vers le canapé. Il avançait avec une lenteur qui aurait pu paraître irréelle. Cependant, Raphaël s'arrêta, laissa de nouveau glisser ses doigts sur la peau douce et chaude de Baylee. Puis il vint déposer de légers baisers sur l'épaule de cette dernière. Tout semblait trop beau. Il avait l'impression d'être plongé dans un rêve dont les commandes lui échappait totalement, ce qui ne le dérangeait en aucun cas. « Si tu veux vraiment essayer, je te montrerai. » murmura-t-il à son amie en parlant bien entendu de la demande qu'elle lui avait fait un peu plus tôt, concernant la drogue. « … après. » Ce simple mot fut prononcé tel un souffle. Cinq lettres qui avaient été presque inaudibles.

Mais le désir était en train de les emporter tout deux. Sans qu'il s'en rende vraiment compte, ses mains descendirent pour venir se poser au bas de son dos. Il ne voyait plus qu'elle. N'entendait plus qu'elle. La musique qui résonnait pourtant encore en fond sonore n'existait plus à ses yeux. Elle dirigeait ses pensées. Elle dirigeait ses actes. Baylee.
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeVen 13 Aoû - 19:38

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« Demande moi ce que tu veux, tes désirs sont des ordres. » Ma voix raisonnait dans ma tête, ce que je venais de lui dire n’était que le reflet de ce que j’espérais devenir. Il ne faut plus que je me voile la face… J’étais une fille sensible mais tout aussi coquine qu’autre chose. Il suffisait de me voir lorsque je couchais avec une fille, autant je pouvais être gentille, douce avenante, autant je peux être sauvage possessive et violente lors des mes ébats. Je jouais en quelque sorte un double jeu assez bizarre je dois l’avouer. Comment était-ce possible ? Même moi je ne me comprenais pas, je ne me reconnaissais plus. J’étais différente je changeais. C’était le moment. La musique tout aussi douce changeait ne se préoccupant pas de nous, elle avançait au même rythme que le temps. Ici il n’y avait pas d’horloge avec cet affreux tic tac qui vous dit bien que le temps avance pendant que vous, vous vous ennuyez sur votre lit ou bien même votre canapé. Elle raisonnait dans ma tête pendant que j’étais là à embrasser l’homme que je tenais dans mes bras. Je n’aurais même jamais cru faire ça de ma vie. Comment peut-on prévoir qu’en fait tourner la page d’un lourd passé c’était tout aussi facile avec lui ? Serait-il la constamment pour moi quand j’en aurais besoin ? Mon seul et unique défauts je devais le reconnaitre c’était mon attachement rapide pour les gens… Je ne pouvais pas le nier en quelques seconde je m’attachais à eux telle une sangsue qui ne se décolle plus de vous. J’avais tellement peur de perdre les gens que j’appréciais. J’avais tant perdu que maintenant j’avais peur de m’attacher. Parfois je m’éloignais des gens pour ne pas souffrir. Je portais la poisse on ne peut pas dire que j’avais de la chance. Mais lui … Raphaël … Maintenant que j’étais proche de lui je ne me voyais pas passer devant lui sans le regarder sans même m’arrêter pour l’embrasser ou tout simplement lui dire bonjour. Ne plus lui parler serait me déchirer le cœur et ça j’en étais plus que consciente. C’était affreux ce genre de sentiments. Mais quand on a un passé comme le mien, je pense que c’est tout ce que l’on peut faire pour vivre. Les yeux fermés j’écoutais la musique défiler tout en caressant son corps si parfait si beau. Son torse musclé et fin sa peau fine. Mon cœur tambourinait comme pas permis pendant que mon souffle devenait de moins en moins régulier sous l’effet qu’il produisait sur moi. Je pourrais me vouer corps et âme pour lui alors que je ne le connaissais pas. Je pourrais tout faire pour lui. Il était en quelque sorte mon ange gardien, celui qui venait de réveiller en moi la vrai Baylee. Il détenait en quelque sorte mon cœur. Il venait de le réanimer et je ne saurais jamais le remercier pour cela. Il ne pourrait pas décemment comprendre pourquoi je tiens à lui pourquoi il est le premier à tout. J’aimerais tant lui dire, lui conter tout mon passé mais, la ce n’était pas le moment, nous avions bien mieux à faire que d’écouter mon passa horrible et de tuer l’ambiance en pleurant ou en s’apitoyant sur mon sort. Non je ne voulais pas être le centre d’intérêt je n’aimais pas l’être, c’est surement pourquoi je n’étais pratiquement jamais allé voir un psychologue ou bien même ces groupes anonymes que l’on me recommandait pour parler de ma vie.

Non ce n’était pas pour moi je n’avais pas envie de me confier à qui que se soit. Si je devais le faire pour une première fois, alors ça serait Raphaël. Je glissais ma langue dans sa bouche caressant la sienne avec douceur et volupté tout en agrippant doucement ces cheveux pour plaquer nos visage l’un contre l’autre. Titubant légèrement je reculais doucement. J’aimais nos moment depuis le début, depuis son arrivé dans le night Club. Il m’avait envouté même plus que cela il m’avait hypnotisé il pouvait faire de moi un vrai pantin. J’en étais cruellement consciente. Mon cœur se serra légèrement en repensant à son ancienne phrase, il ne pouvait pas savoir mais, je voulais être sincère avec lui je voulais qu’il sache tout de moi et je me confierais à lui. Le premier. Il serait le premier sur cette terre à savoir pourquoi je fais tout ça a savoir pourquoi ma vie est ainsi et pas autrement. La musique douce et belle retentissait dans mes oreilles et me berçait en même temps que les caresses douces et frivoles de Raphaël. Je le tenais dans mes bras, sa taille aussi fine que la mienne était tout bonnement parfaite. Je ne pouvais pas le nier sur ce côté la. Il était bien trop beau, bien trop foutue pour moi. Je ne le méritais même pas. Je ne savais pas ce qu’on était même en ce moment c’est pour dire. Je pouvais voir loger sur le visage de cet homme si magnifiquement beau un sourire en coin et des yeux qui pétillaient, surement heureux de me contempler. Alors que je venais de me blottir dans ses bras avec convictions et envie je pouvais entendre le son de sa voix raisonner dans mes oreilles. Ne pas rougir. Comment ne pas faire dans ce genre de situation qu’il me le dise car moi je ne sais pas comment faire. Il était le premier à me voir, a voir mon corps mes cicatrices qui voulaient en dire long sur mon passé et sur ma vie tout court. Je fermais doucement les yeux serrant ms bras autour de son torse avec une force que je ne me connaissais pas. Je lâchais légèrement prise pour ne pas lui faire de mal, bien que je doute lui en faire. Je rigolais doucement et me laissa emporter par ses mouvements marchant vers le canapé je profitais de ce doux baiser qu’il était en train de me donner. Je me stoppais doucement et posa mes mains sur ses jours pour mieux l’embrasser puis me recula doucement. Je sentais ses mains sur mon corps et frissonna doucement pendant qu’il cajolait mon épaule. Je penchais doucement la tête en arrière sous l’effet et serra les poings avec force. Je ne comprenais plus rien j’étais ailleurs j’étais dans un autre monde. Dans notre monde. Nous n’avions pas besoin de prendre une quelconque drogue pour être a part. Non j’en étais sûre notre lien, notre rapprochement suffisait à nous droguer mutuellement. Je ne comprenais pas, non en fait si je comprenais parfaitement Raphaël et ce qu’il venait de faire. Il ne me quittait pas une seule seconde du regard. Alors que je lui offrais surement l’une des plus belles vue qu’il puisse voir. Pourquoi ne baissait-il pas les yeux vers mes seins ? Je n’étais pas de nature à me jeter des fleurs mais, si j’étais stupide et dépressive il y avait bien quelque chose que je savais sur moi. Ma poitrine était parfaite.

J’entrouvrais la bouche lorsque ses lèvres rencontrèrent encore mon épaule puis je le sentis sincère et plus présent dans ce moment de bonheur. Alors qe je nageais non que je me noyais en plein euphorie j’entendis l’apollon me proposer de la drogue mais plus tard. J’ouvrais doucement les yeux et me recula doucement de lui me fichant de ma tenu. Je le regardais droit dans les yeux tout en posant mes mains sur ses épaules. Je voulais qu’à travers mon regard il voit qu’il n’était pas obligé d’accepter qu’il avait le droit de refuser. Il était maitre de la décision. J’étais soumise à lui. Je n’aurais jamais cru un jour pouvoir penser cela. Moi soumise à un homme… Il fallait que je note ça sur un calendrier. Raphaël faisait de moi une fille fabuleuse et je m’en rendais compte à chaque secondes qui passait. Mais sa voix douce et sensuel me rendait folle il avait l’air en pleine transe. Je le regardais et glissa les mains vers les siennes entrelaçant nos doigts et serra ses mains des miennes toute petite et fine. Je baissais le regard faible devant lui ne pouvant plus tenir et le regarda de haut en bas. Son corps m’appelait. Il était la face à moi me disant de venir à lui ce que je voulais faire je ne pouvais pas le refuser. Je me mordais la lèvre pesant le pour et le contre je n’avais rien sur moi aucune protection mais, il faut dire que je n’avais pas l’habitude de me protéger … Je n’en avais pas besoin. Je n’en aurais même jamais surement besoin. Il fallait que j’arrête de penser au bien il fallait que je devienne la vraie Baylee celle que j’aurais dû être des le début. J’inspirais doucement et lâcha ses mains avec lenteur. « Après… Tu feras de moi ce que tu veux… » Murmurais-je en laissant ma phrase en suspense. Je reculais un peu plus sans le quitter du regard. J’avais qu’une envie c’était de le déshabiller je descendre mes mains plus bas de découvrir l’homme de savoir ce que c’était. Je voulais tout découvrir avec lui. J’étais tellement bien. J’étais dans une utopie complète. Je passais mes mains dans mes cheveux et avança vers lui telle une pauvre indécise. Sans même demander quoi que se soit ni même un regard pour ses yeux je posais mes mains sur la ceinture qui tenait le pantalon qu’il portait. Je ne respirais plus me figeant légèrement et tira dessus défaisant la boucle. Je tirais sur la ceinture la faisant sortir des cingles et la laissa tomber par terre. Je déglutissais un peu plus et commença à défaire son pantalon enlevant un à un les boutons puis la braguette et tira doucement dessus pour le faire tomber.

Lorsque je le vit en boxer je me mis a rougir encore plus. Une première. Il fallait que je mémorise tout cet instant dans ma tête. Ces cuisses tout aussi musclé que son torse étaient sublime. Je le regardais maintenant en boxer. Je poussais d’un coup de pieds le pantalon loin de nous comme si ce n’était qu’un passé qu’on ne voulait plus. Je posais ma main sur ma bouche mordillant mon doigts je ne savais pas quoi faire j’étais perdu. Je ne connaissais rien, je ne savais pas quoi faire pour l’exciter ou tout simplement le faire frissonner. C’était tellement plus simple avec une fille. Je connaissais le corps de la femme par cœur je savais qu’il suffisait de lui caresser la poitrine ou tout simplement son entre jambe pour lui faire plaisir et lui faire ressentir mes envies. Mais avec un garçon… J’essayais de me remémorer les peu de films que j’avais vu ou il y avait eu quelques scène de sexe mais, à vrai dire j’évitais ce genre de films. Je me pinçais la lèvre et glissa ma main sur son torse. Je le touchais du bout des doigts pour lui faire ressentir les frissons. Je descendais doucement un peu plus bac à chaque fois. J’arrivais bientôt vers son caleçon. Mon cœur battait plus vite que la normale, je n’entendais même plus la musique tant mon cœur occuper toute la place. Je rivais mon regard vers le sien pour me donner de l’assurance. J’avalais ma salive et m’avança un peu plus vers lui. Alors que ms doigts commencèrent à toucher le bout de tissus j’heurtais quelque chose de nouveau. Dure tel un mur je rougissais encore plus ne baissant pas le regard pour montrer ma faiblesse. Je laissais ma main la sans plus bouger quelques seconde. Je me mis à l’embrasser plus par envie que par stresse. J’inhalais son odeur et commença a le caressais plus en profondeur de façon à lui donner un peu de plaisir. Je ne savais pas si je faisais bien si je ne lui faisais pas mal. Je mordillais ses lèvres les léchant par la suite du bout de ma langue. Un frisson parcouru mon corps et je glissais cette fois ma main dans le tissu empoignant son attribue de ma main. C’était chaud tout comme pour les filles mais c’était tellement différent. J’avais tellement envie. Je l’embrassais avec plus de ferveur laissant ma main sur son entrejambe que j’appréciais de plus en plus. Le temps défilait mais je ne m’en lassais pas, je découvrais avec lui le plaisir charnel avec un homme. C’était tellement nouveau. Je le poussais légèrement vers le canapé mais ce n’est pas de ça que j’avais envie ce n’est pas d’un canapé non c’était d’un lit que j’avais envie. De ma main libre je griffais légèrement son torse et me stoppa à contre cœur de l’embrasser.

« Amène-moi… Porte-moi dans ta chambre… » Murmurais-je sur ses lèvres en faisant quelques mouvements pour inaugurer des caresses. J’inspirais fortement en gémissant doucement « j’ai… envie de toi. » murmurais-je cette fois en rougissant comme une tomate. Je fermais les yeux pour ne plus voir ses yeux me traquer. Dieu tout puissant je divaguais, même à une fille je n’avais jamais dit de parole aussi franche, il faut dire qu’en général je préférais l’occuper que parler. Je me secouais doucement la tête et rigola nerveuse tout en posant ma tête sur son torse. Je l’embrassais sur cette parti du corps heureuse comme jamais. Je pouvais sentir son cœur battre dans son corps je lui produisais donc du plaisir ? Je relevais la tête et le regarda avec une sensation bizarre. J’entrouvrais la bouche pour parler et me ravisa comme une idiote. Je clignais des yeux et passa ma langue sur mes lèvres. « Que suis-je là pour toi ? Je … Je ne connais pas ce sentiment qui nait en moi. Tu me rends folle, je ne me connais plus. Raphaël, j’ai l’impression que si la tu partais, je ne m’en relèverais pas. Raphaël… » Dis-je en insistant sur ce prénom qui me rendait heureuse. « Plais-moi, montre moi comment ça se fait… tourmente-moi, tu es l’unique, le seule à me faire ça. » murmurais-je en m’avançant vers lui. Je parlais bien évidemment du sexe que pouvait me procurer un homme. Je le regardais encore et toujours le défiant du regard sans le lâcher comme pour dire qu’il était mien. Oui à ce moment précis il était mien je ne voulais plus le lâcher, de la soirée il était à moi je me l’appropriais et je me fichais des conséquences, j’étais habituée à souffrir, alors, si c’était pour découvrir ma façon d’être lorsque je n’avais plus peur … Je préférais faire cela. Mais je devais avouer je m’attachais à lui et je ne pourrais plus le regarder comme avant. Je ne pourrais plus faire ma vie sans lui dedans. Il n’y avait que lui et moi. Moi et lui. Raphaël et Baylee. Je m’avançais une nouvelle fois vers lui touchant son buste avec ma poitrine je ne pouvais pas être plus proche. Sur la pointe des pieds je me surélever et déposa mes lèvres sur son visage commençant à l’embrasser dessus aimant ce doux contact que j’avais. Il était maintenant… tout pour moi.



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Raphaël C. Anderson
Raphaël C. Anderson

RAPHAËL — « You jump, I jump. Right ? »


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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeDim 15 Aoû - 23:19


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Comment tout cela avait-il pu arriver ? Comment peut-on être autant aveuglé par une lumière qui semble réelle à nos yeux mais que les autres ne peuvent voir. Comment peut-on entendre autant de paroles se bousculer dans nos têtes ? Comment peut-on apercevoir autant de chose que l'on n'aurait jamais vu dans d'autres circonstances ? Comment Raphaël pouvait-il avoir l'impression de si bien connaître Baylee alors qu'ils ne s'étaient rencontrés que quelques mois auparavant. Elle savait, de par sa profession, beaucoup de choses sur lui. Cependant, ce n'était pas réciproque. Mais à cet instant précis, il s'en moquait. Parce qu'il lui suffisait de regarder la jeune femme pour apercevoir ses sentiments, ses sensations. Il suffisait de plonger son regard dans le sien pour comprendre ce qu'elle se disait, intérieurement. Raphaël ne se retrouvait plus dans son comportement. Habituellement, il ne s'attachait que très rarement à une personne. Et se faire mettait beaucoup de temps. Étant de nature très méfiant, il préférait ne pas trop se sentir proche d'une personne, de peur de se rendre compte que ce n'était qu'une infâme tromperie. Un coup bas, monté par des imbéciles pour le blesser. Était-ce une réaction immature ? Indigne d'un homme tel que lui ? Peut-être bien.

Il paraît qu'il suffit d'être bien, avec n'importe qui, n'importe où et à n'importe quel moment pour se sentir vivant. Il paraît, que certaines fois, il suffit d'effleurer une personne pour être envahit par une sensation que l'on nomme le désir. Mais ces conteurs parlent-ils de ces êtres spéciaux qui vous change totalement en quelques instants ? Ces personnes qui vous emportent dans un autre monde rien qu'en vous murmurant une parole, rien qu'en plongeant leurs regard dans le votre, rien qu'en vous touchant. Ils n'ont qu'à poser une main sur votre épaule en vous disant que tout ira bien, qu'ils sont là, pour vous redonner le sourire. Ils n'ont qu'à prononcer une parole pour vous redonner de l'espoir. Mais ces observations sont-elle applicables à n'importe qui ? Non, répondrons la plupart des êtres humains. Mais il faut continuer de rêver.

Baylee provoquait en Raphaël cette envie d'aller plus loin, de la sentir près de lui. Mais aussi, et tout simplement, de mieux la connaître. Elle lui était totalement inconnue. Pourtant, elle avait réussi à l'envouter, à l'hypnotiser. La douce musique qui sortait des enceintes dans la pièces n'était qu'un détail dans cette scène qui ressemblait plus à une œuvre d'art, à un moment se passant dans un autre monde qu'à un instant réel. Tout semblait avoir été multiplié : l'envie, le bonheur, le désir. Raphaël avait l'impression étrange de pouvoir maîtriser le temps. C'était comme si les secondes, les minutes et les heures lui appartenait. Il apercevait et sentait les gestes de Baylee comme dans une sorte de ralenti. Quelque chose qui lui permettait de ressentir ses sentiments d'une façon différente, mais ô combien agréable. Ses pensées, produites par son esprit, se mélangeait de façon irréelle à la réalité. Le temps ne pouvait plus se moquer d'eux, leurs montrer qu'il était le maître. Aujourd'hui, il n'était qu'un prisonnier enchainé au plus profond de l'âme de Raphaël. Il n'y aurait plus de “tic tac” incessant montrant que les minutes lui filaient entre les doigts. Il n'y aurait plus de sentiment d'être dans l'obligation de s'arrêter. Il n'y aurait plus de tout ça. En ce jour, en cet instant, il n'y aurait que Baylee, Raphaël et une éternité bien trop irréelle.

Baylee parut d'abord embarrassée lorsqu'elle se retrouva à moitié nue devant le jeune homme. Ne souhaitant pas la mettre plus mal alaise, il ne fit pas de remarques sur les cicatrices qui couraient sur son corps, n'enlevant rien à sa beauté. Il l'invita plutôt à se blottir contre lui quelques instants, ce qu'elle fit sans hésiter. Il sentit le corps chaud de son amie venir contre le sien. Puis les bras de la psychologue qui vinrent s'enrouler autours du torse de Raphaël, comme si elle souhaitait lui demander intérieurement de ne pas l'abandonner, de ne pas la laisser partir.

Ils étaient dans leur monde. Un nouveau lieu où personne ne pourrait les déranger. Un endroit où ils étaient les maîtres, où rien n'était de trop, où rien manquait. Il n'avait besoin de rien d'autre que d'elle. Elle ne souhaitait rien d'autre que lui. Deux destins parsemés d'embuches. Deux êtres au passé douloureux, bercés d'illusions, de mirages, de cauchemars et d'espérance. Une incapacité à contrôler leurs vies. Ou du moins, une impression d'impuissance grandissante. Deux personnes, deux chemins, deux destinés, mais qui empruntent ensemble le même sentier interdit, pour avancer vers un but incertain, inconnu.

« Après … tu feras de moi ce que tu veux » dit-elle dans un souffle. Un murmure presque inaudible en apparence, que Raphaël comprit malgré tout très bien. Parce qu'elle l'invité, ouvertement. D'ailleurs, Baylee ne perdit pas de temps pour tirer sur la ceinture qu'il portait. Elle se retrouva rapidement propulsée sur le sol. Et fut suivi par son pantalon. Ses mains remontèrent sur le torse du jeune homme … pour mieux redescendre ensuite. Son regard se riva dans les yeux bleus de Raphaël, dont le cœur battait plus rapidement après chaque secondes qui passaient. Ce moment, où sa main se posa doucement sur le caleçon du jeune homme, ils l'avaient attendu. Son corps fut parcouru par un frisson lorsqu'elle glissa sa main dans le tissu. What a wicked game you play, to make me feel this way

« Amène-moi … Porte-moi dans ta chambre ... » demanda-t-elle avant de continuer sa phrase « J'ai … envie de toi » Cette affirmation ne sur pas Raphaël, étant donné la situation dans laquelle ils se trouvaient tout deux. Son coeur battait de plus en plus rapidement « Que suis-je là pour toi ? Je … je ne connais pas ce sentiment qui nait en moi. Tu me rends folle, je ne me connais plus. Raphaël, j'ai l'impression que si là tu partais, je ne m'en relèverai pas. Raphaël … » L'intonation qu'elle utilisa pour prononcer son prénom était différente du ton du reste de la phrase. Elle se voulait, insistante. « Plais-moi, montre moi comment ça se fait … tourmente-moi, tu es l'unique, le seul à me faire ça. » Raphaël réfléchit pendant quelques minutes. Qu'était-elle pour lui ? Que ressentait-il vraiment, à cet instant précis, hormis une incontrôlable envie de répondre à ses demandes ? Un sentiment bien trop difficile à expliquer. Quelque chose qu'il ressentait au plus profond de lui-même. Une sensation indescriptible. « Je ne partirai pas, Baylee. » répondit-il alors simplement, en attrapant Baylee de façon à ce qu'elle se retrouve entièrement dans ses bras puis la mena dans sa chambre. La pièce n'était pas bien grande et dépourvue de toute décoration. Raphaël la déposa sur son lit en l'allongeant sur le dos, puis vint se positionner au dessus d'elle. Ses lèvres cherchent celles de la jeune femme pour lui donner une baiser sensuel, ce qui ne fit qu'accentuer le sentiment de désir qui lui brulait les entrailles. Puis il entreprit de défaire le jeans de la psychologue. Il commença à descendre le long du corps de cette dernière, déposant de légers baisers sur chaque parcelle de son corps qu'il visitait ; sur son épaule, entre ses seins, sur son ventre avant d'enfin arriver face au vêtement devenu dérangeant au goût des deux personnes. Il défit les boutons qui retenaient l'habit puis le fit glisser le long des jambes de sa propriétaire.

Il paraît qu'il y a deux sortes d'hommes : ceux qui arrivent à faire passer les doutes et les craintes des demoiselles en détresses dans ces moments de plaisirs. Ceux là sont des anges, venus du paradis pour assouvir leurs désirs les plus profonds. Et puis il y a les autres, jugés parfois trop vite, parce qu'ils ont précipité les choses ne serait-ce qu'une seule fois. Ceux qui sont ensuite critiqués, nommés de “pervers” ou “d'ordures”. Ceux qui ne pensent qu'au plaisir personnel. What a wicked thing to do , to make me dream of you

Lentement, il revient sur la demoiselle, ses lèvres ne peuvent s'empêcher de chercher celles de cette dernière pour leurs donner un baiser digne de ce nom. Un de ces petits gestes qui participaient à les envoyer dans ce monde, si étrange, si réel où ils régnaient. Tout deux.

L'une de ses mains se mit à caresser l'une des cuisses de Baylee sur toute sa longueur, créant de confuses vagues qu'il laissait s'échouer contre sa douce peau. L'autre se plaça très rapidement dans sa chevelure dorée. Son cœur cognait encore plus fort. Ils étaient si proches qu'ils semblaient respirer le même air, partager la vie même vie.

Des images lui revenaient en tête. Comme ce moment dans le night club, où il avait senti pour la première fois ses doigts sur sa peau. Puis la réalité le rattrapa. Une réalité bien trop belle. Un réalité dont il n'aurait pu se plaindre. Le passé se mêlait au présent. Le présent se mêlait au passé. Ils communiquaient, silencieusement. Son cœur continuait à battre fortement dans sa poitrine, comme s'il n'attendait qu'une chose : sortir de ce corps, de cette protection pourtant mortelle pour profiter lui aussi de ce si bel instant. Son âme ne demandait qu'à être mélangée à celle de la demoiselle. A entrer dans une sorte d'utopie.

Ses doigts se promenèrent avec une précision bien réelle sur le corps de Baylee. Il déposa un baiser à la commissure de ses lèvres. Puis un autre sur sa joue. Son souffle chaud se déposa sur son cou. Sa main descendit de nouveau, pour approcher dangereusement de son entre-jambes, qu'il voulait s'approprier. Baylee. Il la voulait sous toutes ses formes. Innocente, timide, candide, mais audacieuse et vicieuse à la fois. Il voulait voir la vrai femme qui se cachait sous ce masque. Parce qu'il n'était pas dupe, et avait bien senti qu'une personne autre était masqué par ce visage d'ange. Il cherchait ce point, où l'abandon entre ses bras serait total. Comme il pouvait modifier le temps, Raphaël eut l'impression de modifier la fatigue, les lois naturelles de la vie. Oh Baylee. Il voulait se perdre entièrement contre son corps, se sentir partir entre ses bras. Son corps se gravait contre le sien, comme s'ils étaient attirés tels des aimants, sans pouvoir reculer.

Tout en l'embrassant, il glissa sa main sous le tissu qui cachait l'intimité de Baylee. Il cherchait à remplir sa part du contrat : faire naître ce désir qui ne cherchait qu'à s'exprimer, qu'à s'amplifier. What a wicked thing to sayn, you never felt this way .What a wicked thing to do,to make me dream of you.
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeLun 16 Aoû - 1:13

M.U.S.I.Q.U.E
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When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 2z50mwy When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 11rxav4 When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 1z2d3kl When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Oti8on





Ce moment, unique en son genre, je ne pouvais pas le nier me rendait totalement heureuse. Je ne pouvais pas faire comme s’il n’était pas bien ou quoi que se soit. Non je ne pourrais même jamais l’oublier. Je savais pertinemment que ma vie, dès à présent aller changer pour toujours, elle allait prendre un autre tournant que je n’avais jamais envisagé. Pourquoi ? Que m’arrivait-il ? N’avais-je pas fait une réelle croix sur les hommes ? Ne m’étais-je pas promis il y a de cela maintenant huit ans que je ne me consacrerais qu’aux filles ? Parole en l’air ? Une première. Mais combien de filles qui ont subit ce que j’ai subit on su refaire surface ? On su fermer ce trou béant dans leur poitrine, remonter ce trou noir qu’est le néant qui vous mange un peu plus chaque jours ? Moi j’avais touché le fond du gouffre depuis bien trop longtemps, je n’avais jamais eu de chance j’attirais beaucoup plus la poisse qu’autre chose. Mais, là comment qualifier ce que j’étais en train de vivre ? J’étais totalement perdu je ne connaissais en rien ce sentiment nouveau qui faisait battre mon cœur. Même si je devais y réfléchir je ne pensais pas le trouver. Mais il fallait que j’arrête de me voiler la face, il fallait que je regarde précisément la ou je devais regarder. C'est-à-dire Raphaël. C’était lui la cause de tout cela, lui qui me changeait lui qui était entré dans ma vie alors que je n’avais rien demandé. Un simple rendez-vous une simple réponse et voilà ou nous nous trouvions maintenant. Chez lui à se bécoter tel deux adolescents. Ce qui en soi je devais l’avouer, ne me dérangeais aucunement bien au contraire. J’adorais ce moment. J’adorais le fait d’avoir accepté sa proposition. Il était le premier à vrai dire. Hormis Maxxie, mais lui s’était une autre histoire, lui s’était le petit bonhomme qui voulait que je change de comportement sans même savoir pourquoi j’étais triste à longueur de journée … C’était plus un petit frère que j’aime envoyer chier à longueur de journée. Mais nous n’étions pas proche au point de ce faire de câlin comme la je le faisais avec Raphaël. Non, il avait su briser la glace, il avait su conquérir en quelque sorte mon cœur sans que je ne m’en aperçoive. Pourquoi ? Comment ? J’avais tellement de question à lui poser, surtout savoir pourquoi moi ? Pourquoi m’avait-il embrassé pourquoi il a accepté qu’on aille chez lui et surtout ce qui me choquait un peu… Pourquoi après m’avoir refusé il accepte que je puisse me droguer avec lui après. Après quoi ? Une relation sexuelle bien entendu. Rien que d’y penser j’en rougissais mais mieux valait que je n’y pense pas je ne voulais pas passer pour une pauvre innocente. Bien que ça soit le cas, avec les garçons…

Je passais ma langue sur mes lèvres essayant de ne pas me mettre dans mes pensées je ne voulais pas laisser Raphaël de côté loin de là. Posant toujours ma main sur son torse je tâtonnais légèrement ses muscles avec une folle envie de le mettre au lit. Je ronronnais presque sous le coup posant cette fois ci mon autre main sur ses fesses. Il était musclé de partout je m’en apercevais de plus en plus. Soufflant doucement je repensais à ce que je venais de lui dire. Qu’allait-il me répondre ? Que ressentait-il pour moi ? Je n’en savais rien et je n’avais qu’une envie c’est qu’il me dise qu’il tenait à moi qu’il ressentait lui aussi quelque chose de puissant et qu’on était maintenant lié. Mais … Lié pour combien de temps ? Une soirée ? Plusieurs jours ? Semaines, mois ? Je rêvais dans mon fort intérieur que sa soit pour longtemps…. Très longtemps. Je savais ce qu’il m’arrivait… Le syndrome de cupidon. Je grimaçais doucement à cette idée et posa ma tête sur son torse. J’aimais ce qu’il faisait de moi, ces simples caresses ou tout simplement le respect qu’il portait sur moi. En effet, j’avais pu remarquer lorsque je me suis déshabillé devant lui, qu’il n’avait pas regardé une seule seconde ma poitrine par respect pour ne pas m’intimider ou quoi que se soit. Et ça j’appréciais énormément. Quel homme ferait ça ? Pas beaucoup j’en doute énormément. Raphaël malgré son problème de drogue, que je soignerais du mieux que je peux, avait un énorme cœur et me respectait telle que j’étais. Voilà pourquoi je flanchais pour lui. Voilà pourquoi mon cœur en ce moment même battait tel un petit oiseau qui voulait prendre son envole pour la première fois. Il venait de me libérer d’une emprise horrible sans même le savoir. La musique entrainante me donnait de folle envie de sautiller et de danser comme une folle à ces côtés pour le restant de la nuit. J’étais enfin heureuse, j’avais enfin envie de sourire. Ce que je fis sans perdre de temps ! Depuis combien de temps n’avais-je pas sourie de la sorte ? Je fermais les yeux et souriais de pleine dent. Merci … Merci… J’étais heureuse !!! J’avais envie de hurler, de crier de montrer ma joie à tout le monde !! Sur la pointe des pieds je me mis à l’embrasser à nouveau avec douceur et hésitation cette fois. Je n’hésitais pas dans le sens ou j’avais peur non loin de là, j’hésitais surtout car je tremblais de désir c’est la flemme qu’il réveillait en moi qui me faisait cette effet là. Je respirais son odeur son souffle heurtant le mien. Je lâchai un râle de désir et commença du bout des doigts à titiller le bout de tissu qu’il lui restait sur le corps. Je n’avais plus aucune honte à toucher sa partie intime bien au contraire. Il me mettait tellement à l’aise.

Un sourire provocateur et en coin je plongeais mon regard dans le sien d’une façon extrêmement coquine et me mordis la lèvre inférieur. J’avais une folle envie de lui enlever son boxer. Je voulais le découvrir le voir nu comme un ver. Je voulais passer au peigne fin chaque parcelle de sa peau douce comme de la soie. Malgré qu’il soit bien maigre il était musclé. La drogue amincissait c’était connu, du moins pour ceux qui étaient renseignés. Son regard azur me scrutait tout comme moi je le faisais on parler par le regard, on se disait tellement de chose. C’était fantastique de pouvoir communiquer sans avoir besoin d’ouvrir la bouche. On vivait un moment magique que je garderais toujours enfouis en moi et j’espérais que lui aussi puisse le garder en lui. Pour toute la vie. Ce fut sa voix qui me ramena doucement à la réalité si belle qu’elle était. Je clignais doucement des yeux et le regardais droit dans les yeux. Il était si sincère je pouvais lire en lui tel un livre ouvert. Je ne bougeais plus, trop heureuse par ce que je venais d’entendre. Ces mots raisonnaient en moi tel un tambour. Mes oreilles bourdonnaient mon cœur frappait à mille tour ma cage thoracique. J’inspirais avec difficulté quand je sentis ces bas me prendre sous la taille et me portait. Il faisait ça avec tellement de facilité que j’en écarquillés les yeux. Comme si je n’étais qu’une légère plume. J’enfouissais ma tête dans le creux de son cou et entoura sa taille de mes jambes fines. Je le serrais tout contre moi heureuse de voir le salon s’éloigner de moi. Je jetais doucement un regard vers l’endroit ou il m’amenait. La pièce sombre légèrement éclairait par la lumière de l’autre pièce je pouvais voir les trait du visage de Raphaël et ses yeux azur. Cette lumière tamisé le rendait encore plus beau que ce qu’il n’était. Je n’en revenais pas. Je me mordais doucement la lèvre caressant son dos du bout de mes doigts. La pièce était petite telle une chambre à vrai dire et je ne voyais aucune décoration apparente. Je déglutissais doucement me laissant faire. C’était tellement nouveau pour moi. Je m’accrochais à lui de peur de tomber quand je rencontrai la douceur des draps du lit. Je me laissais poser dessus et me faire dominer par un homme. Bon sang c’était une première pour moi. Même avec les femmes je suis toujours dessus, je domine j’aime être au dessus avoir le contrôle de tout. Et la je me retrouvais en quelque sorte soumise à lui. Mais n’étais-ce pas normale ? C’était bien la position « normale » des humains non ?

Je caressais toujours le dos de celui-ci le laissant sur moi et replongea mon regard dans le sien, un sourire timide au coin des lèvres qui s’agrandissait en un sourire coquine et provocateur. Ses lèvres rencontrèrent rapidement les miennes. Je lui rendis un baiser fougueux et sensuel. Je voulais faire passer à travers ce geste tout ce que je ressentais pour lui à ce moment même. Ce moment dura une éternité le temps s’arrêtant pour la soirée. La musique me paraissait si lointaine. Je me laissais aller, détendu comme jamais quand tout à coup je sentis sa main sur mon bas ventre. Je me crispais légèrement et ouvris doucement les yeux pour regarder sa main sur mes boutons du jean. Je ne bougeais plus, ne respirant plus par la même occasion et attendit le moment fatidique ou il allait commencer à me déshabiller. Je passais ma langue sur mes lèvres. Je ne devais pas … Je… Je fermais les yeux et m’insulta de tout les noms pour ne pas flancher et refuser la proposition. Je soufflai un bon coup et sentis sa bouche sur mon épaules. J’en frissonnais doucement et fut surprise lorsque je sentis qu’il m’embrasser la poitrine. C’était si différent des femmes. Pourtant ça ne restait que des lèvres.. Bon sang, j’aimais trop … Je serrais mes mains sur les draps le laissant faire et sentis son visage descendre plus au sud de mon corps. J’étais plus confiante que tout à l’heure et me laissa faire sans aucun soucis. Je lâchais un souffle de plaisir et sentis mon jean descendre le long de mes jambes. Je soulevais mes fesses pour lui faciliter la tâche et souriais doucement heureuse de vivre un moment pareil. Une fois le pantalon enlevait il se repositionna sur moi pour chercher mes lèvres. Je l’embrassais avec toute la sensualité que je pouvais lui donner, j’étais complètement ailleurs. J’étais aux cieux à ce moment précis. J’en oubliais même ma timidité et encercla son dos de mes bras caressant ses jambes des miennes pour l’exciter comme il se devait. Sa main vint se poser sur ma cuisse provoquant en moi un tremblement et un désir des plus ardant. Je serais doucement mes mains sur son dos et continua de l’embrasser avec ardeur et passion. Mon souffle heurtait le sien tout aussi chaud que le mien. Ma langue dansait avec la sienne faisant de nos corps presque unit deux être complètement perdu dans le bonheur.

Son autre main se glissa dans mes cheveux se que j’appréciais plus qu’autre chose. J’inspirais doucement lui volant l’air qu’il devait respirer tellement nous étions proche. Nos corps étaient pratiquement en fusion, il ne manquait plus qu’une chose pour nous unir et ça j’en étais plus que consciente. Il serait le premier. Le seul. L’unique ? Je n’en savais rien pour l’instant mais, ce qui était sûr c’est qu’il allait prendre en quelques sortes ma virginité. Même si elle avait été volée il y a de cela dix ans. Il allait prendre quelque chose d’important en moi et c’est avec confiance et passion que je la lui donné. Je sentais ses doits toucher mon corps, je ne bougeais pas je ne réagissais pas je me donnais complètement à lui, je ne voulais qu’une chose faire l’amour avec lui. Toute la nuit, jusqu’à ce qu’on ne puisse plus, dû à l’épuisement. Je sentais mon corps en ébullition contre le sien tout aussi brulant. Je posais la tête sur l’oreiller les yeux fermés pendant que ses lèvres touchèrent la commissure des miennes. Un frisson parcouru mon corps. Son souffle caressait ma peau ce que j’appreciais. Je me laissais faire sentant sa main descendre dangereusement vers mon entre jambe. Je soufflais doucement d’excitation et d’envie je voulais savoir. Je voulais connaitre. Je sentis sa main passer sous le tissu qui me séparer de lui et la se fut l’apothéose. Mon corps se cambra sous un afflux de désir puissant. Un gémissement sorti de ma bouche prouvant l’effet qu’il venait de me faire. Ce n’était pas la première fois que je recevais ce genre de caresse loin de là, mais venant d’un homme c’était tellement différent. En général les femmes connaissent le corps de sa partenaire. Nous sommes des femmes après tout, nous savons ou caresser quoi faire, nous allons parfois droit au but. Alors qu’un homme non, même s’il connait sa femme, il ne connait pas les femmes. Raphaël avait de l’expérience je n’en doutais pas une seule seconde. Je préférais ne même pas savoir avec combien de femmes il avait couché avant moi. Mais ses caresse si intense si jouissante, me donnait l’impression de voler. J’avais chaud, tellement chaud de plaisir. Mon corps tout entier se sentait si bien, j’étais comme transporté ailleurs sous l’effet des caresses de l’apollon.

Je me mordais doucement la lèvre caressant le dos de Raphaël puis de mon autre main attrapa ses cheveux et plaqua son visage contre le mien pour lui donner un baiser qui se voulait pour la première fois sauvage. Je me relevais doucement l’embrassant comme jamais je n’avais embrassé quelqu’un. Je touchais son corps de mon autre main la faufilant comme je pouvais entre son caleçon et sa peau. Je voulais jouer avec lui, je voulais que lui aussi prenne du plaisir comme il était en train de m’en donner. Je voulais qu’on le fasse ensemble je voulais tout partager avec lui. Je ne voulais pas qu’il soit seul à donner sa part du contrat. J’inhalais l’odeur de celui-ci l’embrassant avec fougue et découvrant son corps un peu plus à chaque fois que je faisais un quelconque mouvement. Je me laissais emporter par les douces vagues de plaisir. Oubliant qu’il était un homme, que j’étais Baylee. J’étais une autre personne, j’étais celle qui devrait être la. Assise sur le lit il se retrouvait maintenant sur ses genoux, sa main ne quittant pas l’endroit ou elle c’était logé. Je ne voulais même pas qu’elle y parte. Lâchant ses cheveux je caressais son torse glissant dangereusement mes mains vers son bac et commençant à descendre celui-ci avec curiosité, envie et surtout désir. Une fois celui-ci baissé jusqu’à ses genoux je m’arrêtais de l’embrasser le regardant droit dans les yeux pendant quelques secondes. Comment pour lui demander la permission, comme pour lui dire que j’allais regarder pour la première fois à quoi ressemblaient les attribues d’un homme. J’hésitais toute fois, mais, la lueur que je vis dans son regard me donna le courage de baisser la tête. C’est alors que je vis. J’entrouvrais légèrement la bouche découvrant quelque chose de nouveau, quelque chose de fantastique quelque chose … D’énorme ! Je pris peur sur le coup. Sa n’allait jamais rentrer !! Je regardais sous tous les angles tournant la tête de tout les côté pour le regarder. Puis je me sentis honteuse de faire ça. Il devait être encore plus gêné que moi. Mes joues s’empourpraient légèrement et j’embrassais alors son torse déposant à nouveau ma main pour lui donner du plaisir. Je remontais doucement vers ses lèvres que je mordillais avec soin.

« Tu es magnifique, Raphaël » murmurais-je sur ses lèvres. Son prénom raisonnait dans ma tête comme une douce mélodie, une sorte de berceuse si je puis-dire. Je frottais mon nez contre le sien et le poussa en arrière le mettant allongé sur le lit et me positionna alors, à mon tour sur lui. Je le regardais coquinement un sourire aguicheur aux lèvres. Toute frontière était partie. J’étais totalement à l’aise. J’attrapais le caleçon qui était toujours aux genoux et l’enleva entièrement pour le jeter dans la pièce me fichant complètement de lui. J’embrassai son visage avec douceur et envie. Descendant le long de son cou pour passer sur son épaule et son tour. Je titillais légèrement son téton avec ma langue et mes dents. Mes mains appuyaient sur le matelas je descendais dangereusement vers le bas de son corps embrassant chaque parcelle de son corps avec envie. Je fus alors moi-même surprise de ce que je pouvais lui faire. Je lui donnais alors du plaisir à mon tour. L’embrassant le caressant, c’était comme pour les filles sauf que la c’était différent. Des mes mains je caressais son corps avec aisance. Je m’amusais du bout du doigt à créer chez lui des frissons caressant ses cuisses et son entre jambes pour plus de sensation. J’étais totalement envouté par lui, je ne voulais plus faire qu’un, je voulais qu’on s’éloigne de ce monde je voulais m’envoler vers le septième ciel avec lui. Partager ce doux moment avec cet homme. Seul lui et moi. Raphaël… Raphaël … Son prénom passait en boucle dans ma tête. Bizarrement, j’avais envie d’un ébat plutôt sauvage et sensuelle que doux, affectueux et lent… Comme quoi, même pour une première fois… On peut être surpris.



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Raphaël C. Anderson
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RAPHAËL — « You jump, I jump. Right ? »


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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeMar 17 Aoû - 22:51


« Sometimes I feel so happy, sometimes I feel so sad. Sometimes I feel so happy, but mostly you just make me mad. Baby, you just make me mad. Linger on, your pale blue eyes. »
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Entrer dans un rêve, ne plus comprendre le sens du mot « réalité », avoir peur que la fin de l'intense moment vécu approche plus rapidement que prévu, et ce pour une quelconque raison. Vouloir maitriser tout ce qui pouvait faire durer cet instant Remplir de sensation son coeur mort. Graver à jamais dans son esprit ce qui était en train de se passer. Et surtout, s'assurer que cette gravure ne puisse jamais s'échapper de sa mémoire. Lui réserver une place d'honneur. Voilà comment auraient pu être décrites les impressions ainsi que les envies qui avaient pris part de Raphaël. Elle l'avait enflammée. Elle avait entré son feu dans sa poitrine et lui avait ordonné de tout bruler. Elle avait incendier son corps. Elle avait embrasé son âme. De l'amour ? Non, ce n'était pas le sentiment qu'il ressentait pour elle. Cette place dans son cœur était et serait toujours réservée à une autre. Avec la jeune psychologue, c'était un sentiment extrêmement différent et semblable à la fois. Différent, parce que l'un ne pourrait jamais prendre la place de l'autre. Semblable, parce que les deux étaient aussi importants aux yeux de Raphaël. Semblable, parce qu'il ne pourrait jamais choisir entre ces deux sentiments, entre ces deux personnes. Semblable, parce qu'avec les deux, il lui suffisait de plonger le regard dans la personne en face pour la comprendre, lui parler, communiquer.

Oh Baylee ! Marcherait-elle toujours dans ses rêves, qu'il soit éveillé ou non, après cette folle soirée ? Oh Baylee ! Continuerait-elle à le faire respirer, quel que soit le jour, après cette belle nuit ? Oh Baylee ! Abandonnerait-elle son cœur souffrant la lune passée ? Oh Baylee … Oh Baylee. Elle pouvait lire en lui comme s'il n'était qu'un vulgaire livre ouvert, il le savait, il en était persuadé. Les lueurs qui brillaient fortement dans ses parfaits yeux céruléens reflétaient à la fois ses pensées et celle de son ami, devenu amant d'un soir. Ses caresses, ses lèvres, ses gestes … Tout semblaient si parfait. Non, tout était si parfait. C'est le corps parcourus de frissons qu'ils s'embrassaient, faisant passer dans leurs baisers les paroles qu'ils ne voulaient pas se dire, de peur de gâcher ce moment si magique. Jeux de mains, jeux de langues, jeux de jambes, jeux tout courts. Pourquoi devraient-ils s'arrêter un jour ? Toutes les bonnes choses ont une fin, c'est bien connu. Pourtant, Raphaël repoussa cette idée, bannis ce proverbe de son esprit. Cet instant ne devait jamais s'arrêter. Tout lui paraissait si lointain. Tout, sauf elle.

Oh Baylee ! Tu retournes son corps et son esprit, tu emprisonnes son âme et fais bondir son coeur. Tu lui procures envie, désire, tendresse et force à la fois. Mais que cherches-tu au juste ? Pourquoi t'obstines-tu à lui faire ressentir ces sentiments ? Pourquoi lui demandes-tu de s'attacher à toi avec autant de force ? Ne parts pas. Il ne s'en relèverait pas. Et tu le sais.


Ses mains, Raphaël les avait posées sur son corps. Elle le parcourait, sans aucune gène, mais toujours avec une puissante délicatesse. Habituellement, il lui fait quelques volutes de cigarette, une poignée d'alcool et quelque gramme d'une substance miraculeuse pour le faire partir dans un autre monde, pour lui donner l'impression d'être bien, de vivre dans un lieu merveilleux. En cette belle nuit étoilée, Baylee était en train de lui prouver qu'il n'en avait pas forcement besoin. La main, qui caressait sa cuisse, la longeant telle une douce plume la fit trembler. Le corps de Baylee, presque nu, pressé contre celui de Raphaël était envoutant. Les baisers que le jeune homme déposait sur sa peau douce servaient principalement à le découvrir, à l'apprécier avec plus d'ardeur encore. Et puis à la faire frissonner. Chose qui fonctionna.

Soudain, tout changea. Prenant les devants, Baylee donna à Raphaël un baiser qui se voulait … sauvage. Sans se faire prier, il prolongea son geste, se servant de la main qu'il avait dans ses cheveux pour la plaquer contre lui, tout comme elle l'avait fait quelques instants plus tôt. En quelques secondes, ils devinrent encore plus proches, respirant le même air pur, vivant l'un grâce à l'autre. Comme si leurs âmes elles-même avaient décidé de s'unir pour ne former plus qu'une seule personne, en cet instant précis. Une des main de Baylee se faufila sous le caleçon du jeune homme. Le morceau de tissu ne resta pas en place bien longtemps. La psychologue plongea son regard dans celui de Raphaël d'une façon étrange. Une comparaison disant qu'elle lui demandait une permission aurait été justement utilisée à ce moment là. Permission qu'il lui accorda, bien évidemment.

« Tu es magnifique, Raphaël » murmura-t-elle près de ses lèvres. Sa phrase tambourinait dans l'esprit du concerné. Il aurait pu tout de suite lui répondre qu'elle l'était aussi, magnifique. Il aurait surement du le faire d'ailleurs. Mais comme s'il souhaitait profiter de ses paroles, il préféra se taire un instant. « Baylee, tu es plus que magnifique. Tu me rends fou » répondit-il en fermant les yeux. Lorsqu'il les ouvrit de nouveau, un sourire aguicheur s'était perché sur ses lèvres rosées. Étant trop occupé à la reluquer complètement, Raphaël ne fit pas attention au geste qu'elle fit. En quelques secondes, il se retrouva allongé sur le lit. Sa tête butta contre le moelleux du matelas. Baylee vint se positionner sur lui. Puis elle descendit, plus bas à chaque secondes. Avec de plus en plus d'envie dès qu'elle s'approchait d'un certain point, culminant. A son tours, elle posait des baisers sur chaque parcelle de peau qu'elle avait à disposition, chaque endroit qu'elle s'appropriait. Ses mains créaient les frissons qui parcouraient tout le corps de Raphaël.

Le désir s'enfonçait lentement dans leurs deux corps. L'envie se faisait ressentir de plus en plus. Et un seul nom trottait dans la tête de Raphaël. Ce nom, il frappait dans son esprit, détruisant tout ce qui se trouvait sur son passage.
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeMer 18 Aoû - 1:46

M.U.S.I.Q.U.E
You and me, unites in a carnal pleasure
Discover I as you wish it

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Oh doux baiser sucré et salé, oh douce peau qui effleure la mienne toi qui me rend folle toi qui me donne du rêve, toi qui me fait fondre sur place. Chaude, douce, salé et moelleuse à souhait. Toi que j’ai envie de croquer, de mordre de désire. Toi en qui j’ai envie d’évacuer le plaisir ardant qui règne en moi… J’aimerais tellement te dire a quel point tu me fais frissonner à quel point tu me rends folle et excitée. Oh douce peau musclé ton contact contre la mienne me rend utopique au point de délirer. Toi qui caresse les moindres partie de mon corps toi qui me découvre en même temps que moi je le fait sur toi, oh si tu savais combien j’aimerais te dire que j’aime et que je ne veux point que tu t’arrête. Je pourrais arrêter toute activité rien que pour toi, oh douce peau qui frivole avec la mienne. Mon souffle te heurtant te provoquant la chair de poule me rend délirante, je vois bien que je te fais de l’effet je constate avec frénésie que je ne te suis pas indifférente loin de là, je peux voir en toi que je t’attire tout comme toi tu m’attires. Ma bouche contre la tienne, ta langue contre la mienne, se parlant, chantant et dansant pour faire parler nos cœurs, nos corps qui n’ont qu’une seule et même envie. Faire l’amour, se désirer se connaitre se plaire. Se chercher. Oh douce peau de Raphaël, donne moi ce que j’attends oh donne moi ce plaisir que j’attends depuis si longtemps depuis tant d’année. Tu es la seule à créer cette douce et belle folie qui urge dans ma tête. Si tu savais depuis combien d’années je t’attends, depuis le temps que je déprimais dans mon coin pensant devenir folle, pensant ne plus pouvoir vivre pleinement. Oh doux Raphaël, tu me redonnes le gout de vivre l’envie de vivre de croquer la vie à pleine dent. J’ai envie de sauter sur le lit de hurler de joie de tourner en rond jusqu’à en avoir mal à la tête et envie de vomir partout. Oh si tu savais combien mon cœur t’aime rien que pour cela… L’effervescence de son corps et du mien créait une harmonie parfaite, nos souffles tout aussi saccadé l’un que l’autre se donnait le mot pour être à l’unisson. Je ne comprenais plus rien, oh doux moment ne me donne plus de raison, ne me donne plus ma vie d’avant, laisse moi comme je suis pour pouvoir profiter pleinement de ce moment. Ce moment de pur douceur, de pure jouissance. Je ne comprenais plus rien de ce qu’il nous arrivait mais, je savais une chose. Nos corps, sans que je puisse comprendre pourquoi, se désiraient et ils ne voulaient qu’une seule et unique chose. S’unir pour une nuit, s’unir pour un long moment, s’unir encore et encore. Ils s’appelaient ils se cherchaient se découvrant comme jamais…

Ne voulant pas casser mon rêve mais aussi celui de Raphaël je continuais mes douces caresses sur son corps de bêton. Je cherchais comment faire je cherchais à m’améliorer, je savais que en lui il bouillonnait d’envie. Son souffle envieux sous mes caresses ardentes me donnait encore plus envie de continuer. J’en avais envie, je voulais franchir le cap. Dépasser mes limites, je sentais mon cœur en harmonie avec le sien, nous étions sur la même longueur d’onde. Oh si tu savais combien j’aime tes mains sur mon corps. Tu as fait fuir toute envie suicidaire, tu as chassé tous mes malheurs, enlevé toute mes réticences envers toi, envers les hommes. Mes doigts parcourant ton corps entier aimant te donner de multiples sensations au point que j’en fus jalouse. Je me braquais sur moi-même pour me relevais sur lui le regardant dans son regard bleu azur qui en disait long sur nous deux. Je lui souriais telle une petite fille frivole et innocente. Devant coquine et joueuse je m’allongeais doucement sur lui pour plaquer mes douces lèvres sur les siennes savoureuse à souhait. Mon cœur chamboulait par cette évènement me disait d’y aller doucement mais, je m’en fichais royalement. Je le désirais, je le voulais. Il était mien pour cette soirée, il était mien pour toute les autre soirées que je voulais. Je ne voulais plus le laisser, je le voulais pour moi, seule, lui cette homme qui venait de faire de moi une femme simple, normale, une femme vraie sans blessure au cœur. Même si cela ne durait que quelques heures, alors je recommencerais, alors je ferais en sorte qu’il me change. Mon corps contre le sien me rendait heureuse, je pouvais sentir son cœur battre dans son corps, je sentais ses moindres désir le corps les révélant sans aucun souci. Un baiser salé, sauvage un baiser remplit de sensation, d’émotion et de sentiment. J’inhalais doucement son odeur d’alcool qui me fit frissonner encore plus. Tremblante comme une feuille j’embrassais on cou, je prenais des initiatives comme jamais. La musique au loin n’était plus présente dans ma tête, elle était loin très loin elle n’existait plus. La lumière tamisait nous rendait encore plus fou l’un de l’autre. Je ne le voyais que légèrement ce qui accentuait mon désir au plus haut point. Mes jambes caressèrent les siennes avec douceur et volupté. Je n’en revenais pas. Mon nez frôlant le sien je le cherchais du regard, je voulais provoquer la bête qui était en lui, je voulais le réveiller faire de lui un homme sauvage. Je voulais quelque chose de puissant, quelque chose d’excitant. A contrario de ms anciens rapports, celui là se voulait vraiment passionnel et à la fois possessif. Je le voulais, je voulais faire de lui mien. Mais ce que je voulais par-dessus tout c’est qu’il fasse de moi sienne. Pourtant je ne devrais pas penser de la sorte, je devrais au contraire avoir envie de quelque chose de doux, d’avoir le dessus sur lui comme je le faisais avec les femmes. Mais rien, non rien de tout cela ne venait. Etait-ce un signe ? Surement. Sa voix douce sensuelle et suave me fit sortir de mes songes me figeant sur place. Je cherchais son regard y plongeant mes yeux cherchant une quelconque explication à ce qu’il venait de me dire.

Je n’en revenais pas, je n’avais pas pour habitude que l’on me dise cela. A vrai dire, malgré tous mes rapports, jamais, non jamais on ne m’avait dit de telle chose. Mes mains sur ses épaules je ne bougeais plus oubliant carrément de respirer. Oubliant tout le reste. Je restais la pendant plusieurs secondes sans siller. Je le rendais fou, je ne voulais même pas chercher à comprendre dans quel sens il parlait mais ce qui était sûre c’était au niveau des caresses et de mon physique. J’étais perturbé par tout cela. C’était si soudain, si nouveau. Oh doux regard que tu fais de moi une femme comblée… L’utopie à côté n’est rien comparé à ce que tu me fais subir … Plongeant ma main dans sa chevelure châtain j’attirais sa tête vers la mienne, embrassant avec frénésie et passion Raphaël. Nos corps étaient collés l’un contre l’autre. Seule le tissus de ma culotte nous séparé. Nous aurions pu nous unir dans un moment tout bonnement parfait. Mordillant sa lèvre avec sensualité je caressais son dos de mon autre main. Je touchais tout son corps d’apollon il était mien pour la nuit. Je ne voulais pas penser à autre chose. Stoppant notre doux baiser je passais ma langue sur mes lèvres et recula la tête la penchant en arrière. Je soufflais doucement essayant de reprendre mes émotions ce qui était impossible face à l’homme, qui me faisait un bien fou. Ouvrant les yeux, je regardais le plafond sombre et rigola doucement. Je basculais vers le côté sortant de sur lui et m’allongea sur le lit. Face contre lui je l’attirais doucement à moi. Nos lèvres se frôlant cherchant à s’unir mais sans succès. Je jouais la carte du désir. Je voulais le rendre fou comme il venait de le dire. J’embrassai tout son visage évitant soigneusement ce qu’il attendait. Mes lèvres contre les siennes. Son souffle chaud fit frissonner la peau de mon cou. Pendant que je mordillais le lobe de son oreille j’entrelaçais nos jambes avec délices. « Rend moi folle, continue, joue avec moi. Fait de moi tienne, autant de fois que tu veux, autant de temps que tu le souhaite. Je suis à toi… toute entière » dis-je en le provoquant.

Je ne savais pas moi-même comment j’arrivais à dire de telles choses, je n’aurais jamais cru cela capable il y a un jour seulement. Il chamboulait tout mes plans, il chamboulait ma vie entière, faisant de moi une nouvelle femme en épanouissement complet. Je n’avais que vingt deux ans, je n’étais qu’une simple jeune comparé à lui et pourtant je pensais avoir déjà fini ma vie depuis bien longtemps. Prise d’un courage fou, je me relevais doucement sortant de sur ce lit grand que je ne connaissais que depuis quelques minutes. Debout face à lui je soutenais son regard questionneur, qui ne comprenait pas pourquoi je m’éloignais de lui de la sorte. Mon corps quant à lui eu la même réaction. Il voulait retrouver le contact de sa peau, la douce chaleur qui émanait de celle-ci. Mes yeux fermaient légèrement à moitiés j’inspirais et les ouvris pour me donner un peu plus de courage. Passant mes mains sur mon ventre je m’agrippais au bout de tissus et le fit descendre doucement, sensuellement provoquant la curiosité de celui-ci et l’attente de voir l’essentiel. Doucement telle une petite diva, que je n’étais pas, je faisais glisser ma culotte le long de mes cuisses dévoilant mon intimité pour la première fois à un homme. Je déglutissais prenant sur moi pour ne pas fuir à ce moment précis. Je me sentis m’empourprer comme jamais mais je faisais abstraction du reste. Je devais le faire, je devais devenir une nouvelle Baylee. Une fois aux genoux je lâchais le bout de tissus qui tomba à ms pieds. Le poussant doucement je me retrouvais alors, moi aussi, nu comme un ver devant Raphaël. Je ne bougeais pas ne quittant pas son regard du mien. La tête haute je le laissais me regardais un demi sourire sur mes lèvres. Je n’avais pas besoin de parler pour lui intimer de me regarder. Il devait le faire, il devait voir à quoi il s’attendait, même si j’avais un très beau corps j’étais marquée à vie, j’avais des cicatrices sur le bas ventre et quelques unes sur les cuisses. La souffrance qui avait perduré en moi pendant tant d’années. Je faisais un pas me rapprochant du lit pour qu’il puisse mieux me voir. Je voulais qu’il vienne à moi, je voulais qu’il vienne me chercher qu’il fasse de moi ce dont il voulait. J’étais prête à faire tous ses moindres désirs, j’étais prête à tout pour lui absolument tout, les trucs les plus fous qu’il voulait. J’inspirais doucement en lui faisant un clin d’œil et me mordis doucement la lèvre inférieure le cherchant du regard. Je regardais son corps avec une envie nouvelle. Mes jambes tremblaient prête à me faire tomber par terre tant le désir qui pesait en moi me rendait lourde. Je posais doucement mes jambes sur le lit me mettant sur mes genoux. Les bras ballant le long de mon corps je lui offrais celui-ci sans aucune difficulté j’étais prête à vivre l’un des plus beaux moments. Du moins je l’espérais. Fermant les yeux pour plus de suspense j’attendis le moment crucial. Le moment ou il m’attraperais le corps pour m’allonger sur le lit moelleux qu’il m’offrait et qu’il unisse dans un moment de passion de désir d’envie et de sentiments que je ne comprenais pas, nos corps pour une longue nuit torride.


Spoiler:
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Raphaël C. Anderson
Raphaël C. Anderson

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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeDim 22 Aoû - 11:12

Musique
« You're my angel. Come and save me tonight. You're my angel. Come and make it all right »
When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 8228360 When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 2vs506o When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 2hzlhtt


Laisse-toi emporter sur ces terres irréelles que tu connais déjà, mais que tu n'as jamais visité avec autant d'intensité, avec autant d'envie. Laisse tes mains glisser lentement mais avec vivacité sur son corps. Laisse les parcourir chaque partie de sa peau douce et chaude qui te fais tant rêver. Laisse ton désir accru prendre possession de toi, ton corps, ton esprit. Fais la frissonner, laisse toi partir dans ce délire étonnant que provoque l'envie. Laisse ses baisers t'emporter dans cet autre monde, dans lequel tu es un maître tout puissant. Contrôle le temps comme tu sais le faire. Chaque seconde compte. Fais en sorte qu'elles ressemblent à des heures. Ce moment ne doit jamais s'arrêter. Tu le souhaites. Qu'il ne s'arrête pas. Doux rêveur impuissant face à une force qui te dépasse, toi comme les autres. Oublie le monde qui t'entoure. Plus personne ne doit exister. Ton esprit doit se fermer. Ne laisse personne y entrer. A part elle. Celle qui a les mains posées sur ton corps, celle qui te fait frissonner, qui créer cette sensation de bienêtre qui s'est soudainement installée au fond de toi-même. Rends lui ce plaisir qu'elle te procure. Ne pouvant réellement contrôler ta vie, laisse-toi sombrer rapidement dans tes envies.

Leurs doux souffles se mêlaient avec une certaine force. Ils respiraient à l'unisson, comme s'ils ne pouvaient que respirer le même air, se privant d'une partie pour l'offrir à l'autre. Ce moment ne devrait jamais se terminer. Tout deux se sentaient différents. Leurs corps s'appelaient, se désiraient plus que n'importe quoi en cet instant précis. Les caresses que Baylee offrait au corps de Raphaël le faisait entrer dans une sorte de transe, dans laquelle il maîtrisait tout. Tout, sauf son corps, qui lui hurlait qu'il la voulait, elle, Baylee Cromwell. Il criait qu'il souhaitait la sentir encore plus proche.
Soudain, cette dernière se releva. Ses yeux, symbole d'une profonde envie, fixèrent ceux de son ami. Son regard azur était illuminé par un certain désir. Et malgré le peu de lumière qui la cachait grandement, il pu la voir, cette luisance. Puis, ses lèvres vinrent se poser une nouvelle fois sur celles de Raphaël, qui répondit à ce baiser passionné et quelque peu sauvage. Le cœur d'Anderson battait rapidement dans sa poitrine, lui procurant une sensation étrange. Comme s'il allait traverser sa poitrine. Chaque seconde qui passait, chaque petit instant d'apparence insignifiant, chaque geste contrôlé, chaque sourire, chaque regard, chaque baiser échangé l'approchait un peu plus d'un moment où ses envies prendraient le dessus. Il lui avait dit : Elle le rendait totalement fou. Son corps le rendait fou, ses mains, ses gestes le rendait fou. Mais sa personne en elle-même lui procurait aussi ce sentiment. Sa façon de le regarder, de lui sourire ; sa façon de rougir d'embrassement pour prendre des initiatives quelques secondes plus tard, oubliant toute gêne … Tout l'envoutait à un point qu'il n'avait jamais pensé possible.

Baylee bascula rapidement sur le côté, puis attira Raphaël dans son changement. Elle cherchait à le provoquer. Et cela fonctionnait très bien. Ses lèvres qu'il n'arrivait pas à toucher plus d'une seconde, ses baisers sur son visages qui se déposaient partout, sauf là où il le souhaitait créèrent une sorte de sensation de perturbation, ce qui eut le don de le faire sourire. Elle voulait jouer ? Très bien.
« Rend moi folle, continue, joue avec moi. Fais de moi tienne, autant de fois que tu veux, autant de temps que tu le souhaite. Je suis à toi … toute entière. » affirma-t-elle sur en jouant la carte de la provocation. Raphaël lui adressa un regard profond, empli de pensées, qu'elle comprendrait très facilement, il le savait. N'étant pas de nature très bavarde, il ne répondit rien, préférant ne pas gâcher cet instant. De toute façon, il n'aurait pas eu le temps de répondre quoi que ce soit. Baylee se leva doucement, avec une once d'hésitation puis sortie du lit. Elle se positionna face à lui, et tenta de soutenir son regard. Raphaël, quant à lui, se releva, s'appuyant sur un coude, et tenta de comprendre sa réactions. Son regard se transforma pour lui adresser une question qui lui brulait les lèvres, mais qu'il ne prononça pourtant pas à haute voix. Que faisait-elle ? Il souhaitait sentir de nouveau sa peau contre la sienne. Soudain, il comprit. Elle passa lentement ses mains sur son ventre, puis descendit pour attraper le dernier bout de tissus qui restait collé à son corps. Une fois celui-ci au sol, elle s'empourpra totalement. Un sourire amusé se dessina très rapidement sur les lèvres de Raphaël. Son regard parcouru le corps nu de la psychologue. Les cicatrices qui couraient sur son ventre et sur ses cuisses étaient bien visibles, derniers symboles physiques d'un passé qui avait du être très douloureux. Mais sur le moment, Raphaël en fit abstraction. Stopper ce qu'ils étaient en train de vivre en cet instant précis était tout simplement impossible, impensable.

Baylee s'approcha de nouveau du lit, pour s'y mettre sur les genoux. Comment parvenait-elle à le rendre comme cela ? Comment arrivait-elle à le transformer de cette façon ? « T'as pas le droit de faire ça Baylee. » souffla-t-il, dans un murmure inaudible même pour la jeune femme. « Tu peux pas me rendre comme ça. » continua-t-il toujours pour lui même.« Tu me rends fou. » Il passa nerveusement une main dans ses cheveux bruns tout en continuant de fixer le corps nu de celle qui se trouvait face à lui. « Tu me rends fou » répéta-t-il toujours de façon inaudible.

Ne tenant plus, il l'approcha de lui avec une certaine fougue. Ses lèvres s'approchèrent dangereusement de celles de la jeune femme. Sans demander aucune autorisation, il s'en empara. Ce soir, elle serait sienne. La fougue qu'il avait mit dans ce geste était étrange, mais pourtant attendue. Ce baiser donnait l'impression qu'il la voyait pour la dernière fois, avant de sombrer dans des néants indescriptibles et si peu connus. Ils s'approchaient rapidement des portes de la chaleur partagée, qu'ils voulaient tout deux ouvrir pour entrer dans ce monde si particulier dans lequel ils pourraient tout deux régner pendant un moment. Ses lèvres s'abandonnaient aux siennes. Ils entraient tout deux dans cette phase où ils deviendraient hors de contrôle. Raphaël adopta le rythme de son amie, amante ce soir là. Corps contre corps, peau contre peau. Une main passa derrière la nuque de Baylee, permettant au jeune homme de l'approcher encore plus de lui, avec une certaine force, bien que contrôlée. Il la piégeait contre lui. Son âme voulait se mélanger à la sienne. Elles cherchaient à ne former plus qu'une. Tout comme leurs corps. Il la ramena dos au lit, prenant le contrôle. Mais malgré les apparences, il savait très bien qu'elle le contrôlait. Parce qu'elle réussissait à le remplir d'envie, de désir. Parce qu'il n'aurait jamais pu mettre un terme à ce moment. Puis, ses hanches se mirent en marche, unissant ainsi leurs deux corps comme ils le souhaitaient tout deux, s'abandonnant ainsi à leurs désirs communs.


Dernière édition par Raphaël C. Anderson le Sam 28 Aoû - 23:29, édité 1 fois
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeSam 28 Aoû - 11:51

M.U.S.I.Q.U.E
You and me, unites in a carnal pleasure
Discover I as you wish it

When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 2z50mwy When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 11rxav4 When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} 1z2d3kl When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Oti8on



Si doux et si sensuelle je pouvais voir en lui une excitation des plus profondes. J’aimais les plaisirs charnels là, je ne pouvais vraiment pas le nier, malgré le fait que j’ai puis subir des abus sexuels étant jeune …. En grandissant l’envie est venu et je n’ai pas pu faire autrement que de me découvrir, de connaitre mon corps, de voir qu’il avait des besoins, des choses que moi seule, je ne pouvais pas lui procurer … J’en étais horriblement consciente et c’était cela qui m’avait poussé à aller dans des bars dans des endroits pour trouver des femmes, des filles avec qui je pourrais coucher, sans lendemain, sans sentiments sans amour. J’y arrivais tellement bien depuis tout ce temps … J’avais l’habitude de ce genre de situation … En général je faisais ça une fois par semaine … Une accrocs ? Non pas du tout … Juste que mon corps réclame… encore et toujours ! Il parait qu’une fois qu’on y a gouté c’est pour la vie, on ne peut plus s’en passer … Comme quoi … La nature est bien faite mais, dans mon cas je ne connaissais que les filles et le faite d’avoir envie d’un garçon me perturbait au plus haut point … Depuis quand je couchais avec les hommes moi ? Jamais ça ne m’arrivait ! J’avais beau me creuser la tête essayer de comprendre pourquoi maintenant, pourquoi la et surtout pourquoi Raphaël… Oui pourquoi pas un autre ? J’avais déjà croisé des hommes tout aussi beaux que lui… Mais Raphaël était tout simplement … Indescriptible tellement je le trouvais à mon gout. Je ne pourrais utiliser aucun mot pour mesure son magnifique visage. Non, beau, magnifique, fantastique, mignon, charmant, orgasmique… Je l’espérais. J’avais envie d’y goutter, je voulais l’avoir que pour moi. Je voulais me l’approprier comme je le faisais avec une femme ! Je voulais sentir sa peau sur la mienne, je voulais l’entendre gémir au creux de mon oreille, sentir ses lèvres contre mon cou, ses mains contre mes fesses. Je voulais l’avoir en entier et l’unir à moi pour un moment de pur plaisir. Qui ne voudrait pas de toute façon ? Toutes les filles du monde pourraient le désirer ! Même les homosexuelles ! Tout à coup un sentiment me prit dans le ventre et je fronçais les sourcils en le regardant … Non ! Il était à moi ! A personne d’autre. Je me pinçais les lèvres et détourna quelques secondes le regard du sien, honteuse de penser cela. Comme s’il était mien, comme s’il y allait avoir un lendemain. C’est alors que je pris conscience que je ressentais quelque chose. Fermant les yeux je m’imaginais passer mes journées sans plus avoir de nouvelles de lui. Non c’était totalement impossible je préférais mourir sur le champ. Il faisait maintenant parti de ma vie. Oui et pour un long moment j’en étais sûre et certaine ! Je pouvais sentir le contact de sa peau sur la mienne, mais aussi son souffle s’entremêler au mien ce qui me fit frissonner encore plus.

Il était la, j’étais la, ce n’était pas pour rien. J’adorais qu’il me découvre tout en même temps que moi je puisse le découvrir ! Je me mordais la lèvre doucement tout en penchant la tête en arrière et rigola doucement. C’était tellement bon. J’essayais de ne pas penser à la suite de quand nous ne formerions plus qu’un, j’avais tellement peur, peur de ressentir comme les choses que j’avais eu lorsque j’étais gamine, peur d’avoir tellement mal que j’en crierais de souffrance. Mais en même temps j’étais persuadé d’une chose c’est que Raphaël serait doux comme un agneau il n’allait pas y allait comme un idiot, comme un bourrin ou je ne sais quoi. Non je le voyais sensuel, je le voyais attentif à mes moindres désirs et c’est ça que j’aimais chez lui. C’était une bonne personne. Je savais que quoi qu’il se passe quoi que l’on fasse et quoi qu’il arrive je pouvais avoir confiance en lui. Les yeux fermaient je pouvais rester avec lui toute la nuit que ça ne me gênerais pas. Assise sur le lit, je ne revenais toujours pas de ce que je faisais. Je déglutissais doucement essayant de comprendre pourquoi j’avais fait cela ? J’aurais très bien pu rester la ou j’étais allongée près de lui à me laisser embrasser et caresser mais, non j’avais préféré faire ça. J’hésitais encore, luttant pour ne pas partir en courant loin de lui loin de la chambre. J’étais nue ! Nue devant un garçon … J’essayais de faire abstraction à cela et soupira légèrement de façon à ce qu’il n’entende pas et le regarda toujours dans les yeux pour me donner du courage. Il avait l’air si perturbé. Pourquoi ? Lui faisais-je de l’effet au point qu’il ne puisse plus attendre ? J’en avais la forte impression. Alors que je venais tout juste de m’assoir il me détaillait de haut en bas s’arrêtant sur mon ventre. J’inspirais fortement essayant de ne pas penser à mes multiples cicatrises qui se logeaient sur mon ventre depuis toutes ces années et le regardais lui appuyé sur un coude. Il était si … Parfait ! Et le mot était faible encore … Bien trop faible … Nos regards se croisant se parlaient sans même que l’on dise quoi que se soit. Etait-ce l’alchimie qu’il y avait entre nous ? Je ne saurais dire mais, en tout cas c’était bien là, bien présent. Je pouvais sentir sur moi comme ses mains sur ma peau. Je savais très bien qu’il ne me touchait pas mais, son regard était tellement envoutant et tellement envieux envers mon corps que je me sentais touché, caressé. Il provoquait en moi une envie subite d’abuser de lui. J’avais honte de penser cela, comment une fille comme moi pouvait penser et oser abuser d’une personne ? Je soupirais d’aise quand j’entendis sa voix, un léger murmure, presque inaudible pour mes pauvres oreilles.

Je me concentrais sur lui attrapant quelques bribes de ses mots si doux et si envieux. Je n’avais pas le droit de lui faire ça ? Je devais le rendre fou alors, ce qui avait pour but de m’exciter encore plus. Je me pinçais doucement la lèvre le regardant avec passion. Alors qu’il était allongé sur le lit avec une certaine envie, il s’approcha de moi et s’empara de mes lèvres avec une fougue que je ne connaissais pas. Mon corps trembla de tout son long, mes bras encerclèrent son cou pour que je puisse me tenir. Le contact de ses lèvres sur les miennes me rendait folle. Je pouvais sentir son excitation se mêler à la mienne. Son baiser était pareil à un adieu. Je déglutissais sachant que ce n’en était pas un. Nos corps se rapprochèrent dangereusement. C’était l’heure, nous allions enfin conclure. Nos corps allaient s’unir dans une perfection totale. Je le voulais, mon corps le réclamait mais, j’avais si peur. Peur d’avoir mal, peur que sa ne passe pas… Peur de temps de chose … Je me laissais aller oubliant tout mes soucis, mon passé et me rapprocha de lui encore plus. Sa main passa derrière ma nuque me collant un peu plus contre lui. J’inhalais son odeur à plein nez frémissant à chaque caresse. La force qu’il utilisa me déstabilisa quelques secondes mais rien de plus. Il voulait que je sois sienne, comme s’il ne voulait pas que je parte… Ce que je ne ferais pas. Jamais, j’étais bien trop frivole et heureuse à ces côtés pour pouvoir avoir envie de partir loin de lui. Mon corps basculait en arrière restant tout de même collé contre celui de Raphaël. Mon dos glissa sur les draps de l’homme ma tête s’enfouissant dans le coussin moelleux de celui-ci. Nos regards se croisaient se cherchant encore et encore. Mes jambes écartaient comme jamais elles ne l’avaient été laissa passer le bassin de Raphaël. Je ne bougeais plus, ne respirant plus. J’attendais le moment fatidique ou mon corps et le sien serait unit pour une nuit … Torride et aimante. Mes mains caressaient doucement sa tête allant de temps en temps dans son dos que je griffais par le même moment. Son bassin se colla alors contre le mien et c’est à ce moment la que je sentis quelque chose entrer en moi avec une telle douceur que ça m’étonnait plus qu’autre chose. J’écarquillais légèrement les yeux et les ferma rapidement tout en me mordant la langue. Je ne pensais pas que c’était ça. Je n’aurais même jamais cru qu’on pouvait y prendre plaisir. Un souffle roque sorti de ma bouche mon corps se relâchant dû au plaisir qu’il me procurait. J’avais tout de même peur mais, elle parti petit à petit. Je serrais mes jambes contre son bassin ce qui avait pour but sans que je ne le sache, se multiplier le plaisir. J’avais chaud j’étais bien tellement bien.

J’étais au paradis il n’y avait pas d’autre mot pour décrire cela. Son corps frottant le mien me rendait folle, son souffle heurtant le mien, nos deux êtres unit voulait tout dire. Il prenait possession de moi et j’aimais ça. J’embrassais son doux visage gardant les yeux fermaient. Mes lèvres se faisaient douces et sensuelle. Mes mains le touchaient de plus en plus comme pour le découvrir plus que je ne le connaissais déjà. Mes jambes encerclèrent alors son buste s’enlaçant machinalement contre lui intensifiant le tout. Nos gémissements s’accentués surtout les miens. Je ne connaissais pas ce plaisir. Mon bassin commença doucement à bouger me rendant folle. J’étais ailleurs, je n’étais plus présente dans la vie réelle. Mon souffle hérétique caressait sa peau douce de bébé. Je plantais mes dents dans son épaule le mordant doucement mais de temps en temps plus fort lorsque celui-ci me procurait un intense désir. Je ne me reconnaissais plus. Il était si doux, si attentionné avec moi. Je ne connaissais pas cette face de Raphaël. Je savais qu’il n’était pas méchant, mais je ne le connaissais qu’en tant que patient. Nos corps ne faisaient plus qu’un. Dans un rire enfantin et passionnait je nous fis basculer de l’autre côté et le plaqua contre le matelas à mon tour. Je me mordais doucement la lèvre regardant son buste tout en le caressant. Je n’avais pas besoin de parler … Non absolument pas. J’inspirais un bon coup et continua le tout dominant alors cette fois l’homme qui était entre mes jambes. Je fermais les yeux tout en cambrant le dos sous l’effet de chaleur qui m’envahit. C’était tellement nouveau pour moi. Mes mains passant dans mes cheveux que je tirais légèrement les gouttes de sueur glissant sur la peau de mon dos je pouvais sentir la frénésie m’enlever. Raphaël était bien plus que l’homme de mes rêves… Il était mon homme à ce moment précis. Je me sentais partir loin de tout ça. Je collais alors mon buste contre le sien tout en posant mon front à l’identique. J’ouvrais alors les yeux et nous entrâmes dans une sorte de transe. Bougeant pour se donner encore plus de plaisir nos regards ne se quittaient pas accentuer le tout. Mes mains cherchèrent les siennes et une fois chose faite j’entrelaçais nos doigts prenant appuie sur lui au passage. Mon nez frôlait le sien. « Je t’aime » murmurais-je doucement. Je ne le quittais pas des yeux et mis un moment à comprendre ce que je venais de dire. Je sentis alors mes joues s’empourprer plus que nécessaire. Je voulais dire que j’adorais, que je tenais à lui et non un je t’aime. Merde, c’était la première fois que je disais cela à quelqu’un de toute ma vie. Je n’en revenais pas. Je fermais doucement la bouche ainsi que les yeux et enfouissait ma tête dans son cou pour ne plus a supporter son regard qui devait être déçu, choqué anéantit. Je venais de tout gâcher. N’étais-ce pas un simple coup d’un soir ? Tout à coup je me raidissais légèrement. Non, je voulais bien plus que cela. Je voulais d’autre moment comme cela avec lui, je voulais le revoir, sortir, m’occuper de lui et de son problème de drogue. Je voulais être présente dans sa vie, quitte à laisser la mienne de côté quelques temps. J’avais de quoi vivre avec l’héritage de mes parents… J’inhalais alors son odeur sa douce flagrance que j’aimais tant et me laissa alors aller dans les méandres du plaisir charnel avec un homme.


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Raphaël C. Anderson
Raphaël C. Anderson

RAPHAËL — « You jump, I jump. Right ? »


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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeSam 28 Aoû - 23:27


« Cause you, you´re walking on the edge. You, you chose the way of love and pain. You, don´t you see the bridge I´ve built for you, it´s just one step to start again »
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Qu'est ce que c'est, que se sentir important aux yeux d'une personne qui nous tient à cœur ? Raphaël se l'était souvent posée, cette question. Mais jusqu'à présent, personne n'avait réussi à lui fournir de réponse. Parce que personne ne l'avait regardé de cette façon. Personne n'était parvenu à lui faire ressentir ce sentiment, de puissance et de faiblesse à la fois. Se sentir fort, mais parfaitement contrôlable était assez troublant, mais ô combien agréable. Baylee l'avait totalement envouté. Et comme s'il avait été ensorcelé par ses propres sentiments, il plongeait dans un trou noir et béant. Il empruntait un chemin qui lui était inconnu. Il choisissait une voix étrangère.

Mais ces mains qui s'étaient posées sur son corps, ses lèvres qu'il avait pu sentir contre les siennes, ce souffle qui s'était échoué contre son cou, ces regards qui s'étaient plongés dans le sien, ne faisaient qu'augmenter le désir naissant en lui. Il ne pouvait pas l'ignorer. Elle, cette femme, nue face à lui. Il ne pouvait pas l'ignorer. Elle, cette personne à qui il avait lui-même interdit de lui faire ressentir toutes ces sensations ; et ce, en lui murmurant “qu'elle n'avait pas le droit de lui faire ça”, d'une façon presque inaudible. Une tornade de sentiments se déchainait au fond de lui. Mais toutes avaient été crées par une seule et même personne : Baylee.

Soudain, Raphaël s'approcha d'elle, pour lui voler un baiser empli d'une fougue à qui il n'avait pas encore fait appel en cette belle soirée. Etrangement, il eut l'impression que ce geste allait être le dernier avant qu'il plonge dans l'oubli. Ne voulant pas mettre un terme au magnifique moment qu'il passait avec Baylee, il chercha à enterrer profondément cette illusion. Ce glas qui résonnait dans sa tête ne devait plus être. Ce profond cris qui retentissait devait disparaître. Et tout se passa comme il le souhaita.
Les deux corps se rapprochèrent rapidement. Dangereusement. Raphaël l'approchait de lui, à tel point que leurs respirations semblaient ne former plus qu'une. Mais leurs corps, criaient, hurlaient qu'eux aussi, voulaient sentir cette émotion. Eux aussi voulaient s'unir, ne former plus qu'un. Pour une nuit …

Puis le moment tant attendu arriva. Deux corps qui venaient de s'unir. Deux personnes qui ne formaient plus qu'une. Deux âmes qui priaient pour qu'on les laisse s'épanouir pour qu'elles puissent se réunir, faire fusions, elles aussi. Tout deux venaient d'entrer dans cet autre monde, qui était le leur. Cet endroit dans lequel ils étaient les maîtres incontestés. Cet emplacement où ils contrôlaient tout. Absolument tout. Raphaël ne voulait rien perdre de ce moment. Aucune seconde, aucun souffle, aucun instant de plaisir, aucun geste. Rien ne devait lui échapper. Absolument rien.
Baylee les fit soudainement basculer de l'autre côté tout en émettant un rire cristallin, qui eut le don de faire sourire Raphaël, à son tour. Faible … cette fois, il l'était, pour de bon. Et ce, malgré la toute particulière attention que lui accordait la jeune femme. Mais lorsqu'elle plongeait son regard de cette façon, tout en continuant ses gestes, il voyait bien qu'il aurait fait n'importe quoi pour son bonheur. Parce qu'elle, aurait tout fait pour le sien.

« Je t'aime » murmura-t-elle, le visage près de celui de Raphaël. Dans une autre situation, il aurait surement légèrement paniqué. Il aurait comprit seulement le premier sens de ces paroles, et n'aurait pas réfléchit à ce que Baylee voulait véritablement dire. Dans une autre situation, il aurait surement été déçu. Déçu de se rendre compte, qu'une nouvelle fois, les sentiments qu'il éprouvait pour une personne n'était pas partagés de la même façon. D'ailleurs, la psychologue se rendit compte de son “erreur” Elle baissa les yeux avant d'enfouir sa tête dans le cou de son patient, devenu ami, puis amant en cette soirée. « Je tiens beaucoup à toi, moi aussi » répondit Raphaël en souriant, étant totalement incapable de lui répondre qu'il l'aimait. Et ce, parce que quelqu'un d'autre avait pris place dans son cœur. Mais cette personne, il ne préférait pas y penser en cet instant. A quoi aurait-ce servi ? A part mettre fin à ce moment qu'il partageait avec Baylee. Elle, cette femme qui ressentait les mêmes sentiments pour lui qu'il avait pour elle. En une soirée, elle avait réussit à prendre une place importante dans son esprit, et même dans son cœur. En quelques heures, elle était parvenue à entrer dans son âme. Dans ses sentiments, qui étaient tous plus blessés les uns que les autres. Elle était tombé au fond de son esprit, sans aucune lumière, et avait pourtant réussi à s'éclairer, pour se frayer un passage, devenir quelqu'un d'important aux yeux du jeune homme. Elle avait navigué sur une rivière, sur un océan, sur des eaux toujours sinueuses qui l'avait mené jusqu'à lui, jusqu'à la place qu'elle occupait maintenant au fond de lui.

Avant cette soirée, Raphaël n'était qu'un être rempli de rêves. Maintenant, il savait que certains d'entre eux pouvaient se réaliser. Suffisait-il d'y croire ? Encore et toujours, jusqu'à la fin ? Peut-être bien. Suffisait-il d'attendre que le destin les mène ? Il aurait eu tendance à dire que non. Pourtant, tout lui été tombé dessus. Il ne s'était jamais battu pour vivre ce qu'il vivait aujourd'hui. En cette soirée, elle avait pris son corps, elle avait pris son cœur, elle avait pris son âme. Elle avait pris tout ce qu'il avait à offrir. Et il lui avait donné avec grand plaisir.
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeLun 30 Aoû - 21:49

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Chaleur, plaisir, caresses, désir, sensualité tout ça mélangeaient faisait de moi quelqu’un d’autre. Quelqu’un que je ne connaissais pas. Mais j’adorais ce côté de ma personnalité comme si on venait de me changer, appuyer sur un bouton que je ne connaissais ni d’Adam ni d’Eve et que par magie je changeais. J’étais réellement conscient de ce que ça voulait dire je ne pouvais pas décemment le nier, malheureusement. Je ne pouvais pas me lever le lendemain et faire comme si rien ne c’était passé. Comment le pourrais-je ? Je ne pouvais pas non plus lui parler comme si nous n’avions jamais couché ensemble… Et puis ce que je ressentais en ce moment présent pour lui était tellement puissant que l’oublier ou bien même l’ignorer était au dessus de mes forces. Je ne pourrais plus vivre sans lui parler, le voir, sentir sa chaleur contre la mienne. Son sourire, son regard perçant qui me transperce a part entière. Non jamais, absolument jamais, je ne pourrais jamais l’oublier. Raphaël, oh doux Raphaël, si beau et si intense que tu sois … Si tu savais combien je t’apprécie, combien je suis heureuse d’avoir croisé ta route, ton chemin. On dit que les âmes perdues se croisent est-ce le cas pour nous ? Désespérés comme jamais, le destin à voulu nous réunir pour que l’on puisse se connaitre, faire un bout de chemin ensemble, que ça soit en amitié, en amour ou tout ce que tu voudras. Je pourrais prendre par amour. Même si ça doit être ennemi. Ce qui voudrait dire que j’ai encore une fois la poisse et que la vie m’en veux, ne voulant pas que je sois heureuse ne serait-ce que quelques jours … J’inhalais pleine bouche l’odeur sucré qui pouvait émaner de l’homme qui je faisais l’amour. Fermant alors les yeux je me concentrais pour ne pas faire une quelconque bêtise. Je ne voulais en aucun cas gâcher ce doux moment qui était si intense. Ses mains contre mon corps me faisaient trembler de part et d’autre. Je faisais de même contre le sien pour qu’il puisse ressentir les mêmes sensations que moi. Sa voix retentit alors dans mon oreille.

Je me mordis alors la lèvre inférieure. Je n’arrêtais pas mes mouvements pour autant et me mis alors à embrasser son cou tout en remontant vers sa bouche si fine que je voulais m’approprier encore une fois. Ce qui fut chose faite. Je profitais de ces lèvres rendant un baiser des plus sensuels et désirant. Je le provoquais un tout petit peu aimant ce moment. Mon souffle contre le sien, ils se mélangeaient tel deux amant. Je ne préférais pas répondre à ce qu’il venait de dire, ne voulant pas me déconcentrer. Le plaisir montait de plus en plus, chose que je ne connaissais pas réellement. Etait-ce un orgasme ? Surement, mais, de la sorte je n’en connaissais pas. Mon souffle devenait de plus en plus irrégulier et erratique je sentais la chaleur remplir mon corps. Je me relevais doucement posant mes mains sur le torse de Raphaël les yeux fermaient sans le regarder je penchais alors la tête en arrière me laissant complètement aller à ce plaisir ardant qui était tout nouveau pour moi. Je serrais alors mes poings contre son torse le griffant au passage, des frissons envahir alors mon être. Un gémissement sorti de ma bouche sans que je puisse le contrôler. « Oh » dis-je alors surprise de ce que ce plaisir me procurait. C’était si nouveau… Si… Il n’y avait pas d’autre mot pour décrire ce que je vivais à ce moment précis. Je me laissais porter par les vagues de plaisir qui me submergeait, je nageais en plein bonheur, je n’étais plus sur terre mais sur le paradis, dans un monde utopique, le vrai le mien. Je n’en revenais pas. Je ne voulais pas que ce monde s’en aille je voulais y rester, pour toujours, pour l’éternité.

Plus je bougeais et plus ça s’intensifié, je ne comprenais plus rien, n’étais-je pas à mon apothéose ? Oh douce vie quel bonheur que tu viens de m’offrir … Je me laissais alors tomber sur Raphaël avec douceur et mordis son épaule avec douceur pour ne pas lui faire de mal. J’attrapais les draps de mes petites mains et les serra fortement m’empêchant d’hurler tant le plaisir était pratiquement invivable. J’étais carrément essoufflé sous l’effet de ce que je vivais. Je fis alors des mouvements plus doux et moins prononcé. C’était tellement envoutant et tellement différent… Une fois le plaisir fini je me sentais comme vidée de toute énergie, comme si on m’avait enlevé mon âme à part entière. Je soufflais plus rapidement que d’habitude, essoufflé par l’effort et l’énergie que cela me demandait. Mon regard plongeait dans celui de Raphaël je l’embrassais à nouveau et me fit tourner sur le côté sortant de sur lui. Mes mains sur son torse je le caressais tout entier découvrant une seconde fois son corps d’apollon. Un sourire aux lèvres je mordillais alors sa peau et le tira vers moi. Le positionnant sur moi nous unissions à nouveau nos deux corps dans une harmonie parfaite. Mon corps se cambrant je criais légèrement de plaisir et fourragea alors ses cheveux sous l’effet. J’étais au paradis. Avec lui, il m’avait transporté si loin de la terre. Je n'en revenais pas. Un sourire sur mes lèvres une chaleur contre mon corps, son corps contre le mien, unit pour une soirée parfaite je ne pouvais plus l'oublier je ne pouvais plus le mettre de côté. Il était moi, il était mien.

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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeMer 1 Sep - 16:39

Musique
« There's the moon asking to stay. Long enough for the clouds to fly me away. Though it's my time coming, I'm not afraid, afraid to die. My fading voice sings of love, but she cries to the clicking of time, of time. Wait in the fire... »
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Simple … Tout était si simple. Victimes d'un plaisant tourbillon empli de plaisir, ils étaient bien tout les deux. Ils semblaient être devenus deux personnes différentes, mais se sentaient heureux. Certains disent que certaines âmes sont liées entre elles. Depuis toujours. Elles ne se connaissent pas forcement. Elles ne se ressemblent pas forcement. Mais au fond, sont fait pour s'unir. Ces mêmes personnes prétendent que le temps n'est pas important, que ces âmes se trouveront, quoi qu'il arrive, et ce, même si l'appel qui les uni doit traverser des millénaires. Finalement, tout ceci était peut-être vrai. Après tout, rien n'avait prévu ce qui allait arriver à Raphaël lorsque son chemin croiserait celui de Baylee. Et pourtant, ils étaient là, ensemble, ce soir là. Unis, pour une nuit. Unis, pour une vie. Unis pour une éternité. Que personne d'autre ne pourrait traverser. Que personne d'autre ne pourrait comprendre. Que personne d'autre ne pourrait voir. Que personne ne pourrait briser.

Cette sensation de délice, qui envahissait Raphaël était tout simplement grandiose. Les lèvres qu'il sentit se poser contre les siennes semblaient encore plus douce que précédemment. Cette caresse sensuelle était divine. Tout était parfait. Tout était divin. Leurs souffles se mélangeaient, souhaitaient eux aussi ne former plus qu'un. Le plaisir montait en flèche dans le corps de Raphaël. Tout comme la délicieuse chaleur qui planait au fond de lui. Son souffle se faisait de plus en plus court. Comment avait-elle fait, pour l'envouter de cette façon ? Pour passait derrière le masque qu'il s'était forgé ? Pour l'apercevoir, marchant au loin, avant de le rejoindre ?

Elle se relevait, posait ses mains sur le corps de son amant, fermait les yeux, penchait sa tête en arrière. Elle se laissait emporter dans le doux vent du plaisir. Un mot sortait de sa bouche. Ce « Oh », qui n'avait pas vraiment sa place ici, mais qui pourtant, se fondait plutôt bien au milieu de la scène. Raphaël se sentait aussi partir dans ce monde parfait, dans ce paradis dont seuls Baylee et lui avaient la clef en cet instant. Mais c'était comme s'il lui en fallait plus. Il s'emparait d'elle, avec une fougue plaisante et douce à la fois.

Elle était déjà la souveraine de son esprit. Elle l'emmenait dans un enfer paradisiaque. Elle se montrait d'une horrible beauté. Envoutante. Un démon au corps humain. Mais un démon qu'il voulait sentir contre lui. Qu'il voulait garder près de lui. Oh Baylee. Il continuait à chercher le moment précis, où elle s'abandonnerait totalement entre ses bras. Ses reins prescrivaient une session complète d'emportements agiles, jusqu'à ce qu'il se sente à son tour dériver le plus loin possible, jusqu'à ce qu'il entre totalement dans le monde qu'ils contrôlaient tout les deux. Avant de revenir à la réalité.

Baylee se laissa retomber sur le corps de Raphaël. Elle plongea son regard dans les yeux de ce dernier, qui manqua de se perdre dans cet océan de beauté qui lui tendait les bras. Ils s'embrassèrent de nouveau. « Baylee … » murmura-t-il doucement. Il aurait eu tant d'autres choses à dire, tant d'autres mots à prononcer, mais il lui paraissait plus simple de se taire. Il suffirait de toute façon à la jeune femme de le regarder, de plonger son regard dans le sien pour comprendre ce qu'il aurait pu lui avouer. De plus, parler n'aurait servi à rien. A rien d'autre que gâcher. Gâcher ce moment, qui ne pouvait l'être. Qu'ils ne pourraient pas oublier. Aussi bien l'un que l'autre. Ces âmes se trouveront, quoi qu'il arrive, et ce, même si l'appel qui les uni doit traverser des millénaires

Elle posa ses mains sur son torse, visitant de nouveau son corps, avec certainement plus d'assurance que la première fois. Puis Baylee tira Raphaël vers elle, dans le but de s'unir une seconde fois à lui. Parce qu'enfin, ils étaient bien. Parce qu'enfin, ils comprenaient ce qu'était, une personne importante. Parce qu'enfin, ils se voyaient sans aucunes contraintes. Parce qu'enfin, les masques étaient tombés. Parce qu'enfin, ils avaient compris qu'ils n'étaient pas seuls, chacun de leur côté. Mais qu'ils pouvaient compter, l'un sur l'autre.

Jamais. Il ne la laisserait jamais partir. Jamais. Il ne la laisserait jamais sortir de sa vie. Jamais. Il ne la laisserait jamais s'en aller. Jamais. Il ne la laisserait jamais le quitter.
Leurs corps étaient unis, pour la seconde fois. Parce qu'on prend les mêmes et on recommence. Mais quoi qu'il arrive, leurs âmes, elles, le seraient pour toujours …

J'attends dans le feu. Et elle pleure sur mon épaule, marchant vers les lumières brillantes dans la peine. Et la pluie tombe et je crois que mon heure est venue. Cela me rappelle la douleur que je pourrai quitter, laisser derrière moi*


* Traduction d'une partie des paroles de la chanson.
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Baylee I. Cromwell
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeJeu 2 Sep - 21:48

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Comment faire ? Comment agir quand on fait quelque chose de totalement nouveau ? Il ne faudrait pas que je m’améliore ? Que je tâte le terrain plusieurs fois pour savoir quoi faire ? Quoi dire comment réagir. Il ne m’était pas aisé de faire quoi que se soit pendant ce moment, bien même le plaisir que je ressentais j’étais tout de même consciente que quelque chose changeait en moi. Important, flagrant, les ondes de jouissance qui émanait de mon corps ne demandaient qu’à s’exprimer. Elles voulaient prendre possession de mon corps se l’approprier sans que je puisse faire grand-chose, juste que je dise oui, juste que je me laisse faire. Même si les apparences sont trompeuses je savais qu’au fond de moi j’allais forcément souffrir de ce pur moment de folie. J’en étais horriblement consciente. Je n’étais pas faite pour être heureuse et c’était ça le pire dans toute ma pauvre vie. Les yeux fermés j’essayais de compenser d’oublier tout ce qu’il y avait dans ma tête à ce moment la. Mais comment faire ? Comment oublier ? Il faut croire que même lorsqu’on vit un pur moment de plaisir l’horreur et la peur s’empare de vous. Raphaël avait beau être la, présent me faire l’amour je n’arrivais plus à combattre ce mal être. J’étouffais, bizarrement prise dans un gouffre sans fin. J’inhalais doucement pour ne plus souffrir caressant le corps si parfait de l’apollon se trouvant sur moi. Je ne voulais pas gâcher ce moment si fantastique, fabuleux… La plaisir à son apogée m’avait anéantit, épuisé. C’était si différent de tout ce que j’avais pu connaitre … J’essayais de me changer les idées de penser à un futur proche qui pourrait changer toute ma vie. Un sourire aux lèvres je me laissais alors emportait par les secondes vagues de plaisir qui submergeaient mon corps tout entier. Je sentais Raphaël sur moi son corps frôler le mien, ses mains caresser mon corps, ses yeux m’observaient, je le sentais partout ou j’étais. Le son de sa voix me vint alors dans les oreilles. Un frisson parcouru tout mon corps pendant que je le mordais une énième fois. Le prénom sortant de sa bouche me rendait folle.

C’était si nouveau si… Je soufflais doucement bougeant en même temps que lui sentant le désir une seconde fois chez lui. Je ne pourrais dire depuis combien de temps nous étions en train de faire cela, surement des minutes, des heures ! La chaleur augmentait dans la pièce, nous rendant moite. La musique s’était arrêtée depuis surement un bon moment mais, je n’avais pas vraiment fait attention à celle-ci. Inspirant doucement je tournais sur moi-même faisant tomber Raph sur le côté. Un sourire sur mes lèvres je l’embrassais doucement me mettant à moitié sur lui. Ma main sur son torse que je caressais doucement j’étais épanoui et plus que bien. J’espérais de tout cœur ne pas en souffrir le lendemain… « Tu étais parfait, sublime. » murmurais-je entre deux baiser en plongeant mon regard dans le sien. « Raph… » Hoquetais-je doucement sous l’effet de plaisir. Je passais ma main dans mes cheveux les mettant en arrière. Mon front, se posant sur le sien je fermais alors les yeux et souffla doucement. Nos corps bouillonnaient sur place sous la chaleur ardente que nous venions de produire. Je perdais la notion du temps, la allongée à moitié sur lui, les yeux fermés je m’endormais presque. J’ouvrais alors ceux-ci pour résister à l’envie de dormir. « Je reviens » Dis-je en l’embrassant furtivement sur la bouche en lui faisant un clin d’œil. Je me levais rapidement et m’étira faisant craquer mes os. Nue comme un ver, sans prendre la peine de me couvrir, j’allais dans le salon et attrapa le sachet de drogue et un paquet de clope au passage. Les deux verres et la bouteille dans la main je venais dans la chambre et me jeta sur le lit. Je ne me reconnaissais pas mais, c’était tellement bon… Assise à côté de lui je posais le tout à ces côtés et remplit les deux verres d’alcool. « A notre moment unique en soi » dis-je sans le quitter du regard.

Je bus alors le verre cul sec et le posa sur la table de chevet une fois vide. Je regardais alors le sachet de poudre blanche, je savais ce que c’était, il ne fallait pas être idiote mais, vouloir se droguer était, je l’avoue, de la pure folie. Mais je voulais tester, savoir, sentir ce que cela faisait, pourquoi certains se sentait le besoin d’en avoir constamment. Mais surtout avant toute chose je voulais aider Raphaël dans sa quête, je voulais qu’il essaie d’arrêter la drogue, je ne comptais pas le priver du jour au lendemain comme faisait tout ses instituts complètement débile… non il fallait y aller progressivement. Je me rappelais lorsque j’étais jeune, ma grand-mère, pour que mon grand père cesse de fumer elle lui diminuait le nombre de cigarette par jour et diminué par semaine. De dix il passait à neuf et ainsi de suite… Une belle chose, une belle preuve d’amour, d’amitié de tout ce que vous voulez… J’inspirais doucement et fit tourner le paquet de clope entre mes mains en regardant le bel apollon devant moi. « On se lance ? » Murmurais-je en le regardant avec intensité et sentiment inconnu pour moi.

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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeMer 8 Sep - 21:56


« I have my freedom, but I don't have much time. Faith has been broken tears must be cried. Let's do some living after we die. »
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Merveilleux. Raphaël ne parvenait pas à trouver d'autres mots qui étaient assez forts pour traduire ce moment, cet instant, qu'il vivait avec Baylee. Fou, elle le rendait totalement fou. Splendide, seul ce mot pouvait la décrire. De nombreuses sensations se battaient pour se développer au plus profond du jeune homme, dont l'âme n'attendait qu'à les recevoir. Chaque partie de son corps hurlait, qu'elle voulait elle-aussi ressentir ce plaisir si monstrueux et magnifique à la fois. Monstrueux … parce qu'il le ferait souffrir, plus tard. Il le savait. Parce qu'elle était là, avec lui, en ce moment. Mais serait-elle présente plus tard ? Serait-elle près de lui lorsqu'il aurait besoin de sa présence ? Il avait promis de ne pas l'abandonner, mais ferait-elle de même ?

Soudain, il fut pris de remords. Comment pouvait-il oser penser des choses pareilles, alors que Baylee avait toujours été si sincère avec lui ? Comment pouvait-il oser avoir des pensées telles que celles là, alors qu'elle lui avait demandé d'une voix tremblante, qu'il ne la laisse pas seule. “Tu es le premier garçon avec qui je danse, avec qui je partage ce genre de moment. Promet moi … promet moi de ne pas m'abandonner. J'ai besoin de toi pour avancer, on n'a pas besoin de parler pour se comprendre et … j'aime.“ lui avait-elle dit, quelques heures plus tôt. Et même si ces longues heures semblaient remonter à des jours, Raphaël se souvenait parfaitement des mots qu'elle lui avait adressés.

Oubliant toutes ses pensées, Raphaël fut de nouveau submergé par le plaisir, qui ne pouvait être qu'à son apogée. Tout était si différent, à présent. Tout serait si différent, à présent. En une soirée, ils avaient tout deux appris non pas à se connaître réellement, mais à se sentir. Ils n'avaient pas besoin de se parler pour communiquer. Ils n'avaient pas besoin d'ouvrir la bouche pour s'entendre, pour comprendre les sentiments de l'autre. Et c'était si agréable, de pouvoir enfin connaître ce plaisir là. Être en harmonie avec quelqu'un …

« Tu étais parfait, sublime »
murmura Baylee, en continuant d'embrasser son ami et amant en cette soirée. Son regard couleur océan se plongea dans celui de Raphaël. Ses iris rivés dans ceux de la jeune femme, il ne pouvait que l'écouter, que la comprendre. « Raph … » reprit-elle doucement. Le concerné en eut des frissons. Cette façon, qu'elle avait de prononcer son prénom en cet instant précis lui donnait une impression d'extrême importance. Une nouvelle fois, il entrait dans ce monde, où il était le seul maître. Cet endroit, où il contrôlait absolument tout. Le temps, en particulier … Raphaël faisait en sorte de l'empêcher de leur jouer un mauvais tours, de leur couler être les doigts, pour faire en sorte que ce moment ce termine. Le jeune homme le contrôlait, pour que justement, cet instant n'ai jamais de fin. L'histoire ne pouvait pas se terminer. Le jeu ne pouvait pas s'arrêter. Les dés ne pouvaient pas être jetés. Rien ne pouvait les stopper. Parce qu'ils étaient ensemble. Et heureux, ensemble.

« Je reviens » dit-elle subitement, en lui faisant en clin d'œil amusé. Raphaël s'appuya de nouveau sur un coude, en attendant que la jeune femme revienne. Il la vit arriver quelques minutes plus tard, munie de deux verres, d'une bouteille, d'un paquet de clopes. Un sourire se dessina sur ses lèvres, illuminant son visage. Cependant, son sourire s'effaça quelque peu lorsqu'il aperçu le sachet de drogue qu'elle tenait aussi entre les doigts. Il lui avait dit, que si elle souhaitait, il lui accorderait sa demande. Néanmoins, il avait sincèrement espéré que le temps fasse changer son avis. Apparemment, ce n'était pas le cas.

Ne souhaitant pas gâcher la soirée qu'ils passaient ensemble, il garda ses commentaires pour lui même, puis invita Baylee à venir s'asseoir à côté de lui, ce qu'elle fit sans se faire prier. Elle remplit les deux verres d'alcool, puis regarda Raphaël avec insistance. Les yeux dans les yeux, elle prit de nouveau la parole. « A notre moment, unique en soi ». Raphaël laissa son visage s'illuminer d'un tendre sourire. « A notre moment, unique en soi » répéta-t-il machinalement, avec beaucoup de sincérité. Parce que cette phrase, d'apparence inoffensive traduisait en réalité beaucoup de choses. Tout comme elle, Raphaël avala d'une traite le contenu de son verre.

« On se lance ? »
demanda-t-elle en faisant tourner le paquet de clope entre les mains. Bien évidement, elle ne parlait pas de cigarettes. Raphaël attrapa machinalement le fameux sachet de poudre. Son regard se posa dessus, mais il ne savait vraiment que faire. D'un côté, il n'attendait qu'une chose : faire ce qu'elle lui avait demandé. Lui faire découvrir, ce qu'il aimait nommer « son monde », « son univers ». Mais, d'un autre côté, il ne savait pas vraiment s'il ne devait pas plutôt lui dire non. « Tu es certaine de ce que tu veux ? » questionna-t-il en la regardant des les yeux.
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MessageSujet: Re: When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT}   When the smoke is going down ◊ PV BAYLEE {HOT} Icon_minitimeVen 10 Sep - 19:25

M.U.S.I.Q.U.E
You and me, unites in a carnal pleasure
Discover I as you wish it

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Un souffle, un murmure, une caresse tout était si parfait. Le paradis, j’étais dans un état euphorique, j’étais en pleine Utopie. C’était irréel, oui c’était ça, je n’étais pas dans la vie j’étais dans un rêve je dormais et j’allais bientôt me réveiller pour découvrir qu’en fait je suis dans mon lit, seule, comme d’habitude. Frustration et colère m’envahiraient. Je soufflais alors contre sa peau chaude, sentant sa douce fragrance contre moi, la chaleur qui émanait de son corps me rendait folle. Je pouvais sentir glisser sur moi son corps mince et fluet me procurant un pur et délice plaisir. Dieu que c’était bon. Si délicieux, je voulais mordre, je voulais croquer son arôme son corps sa jouissance. J’aimais le contact que nous avions en ce moment même, le plaisir charnel, l’odeur qui en émanait. Les cris, les soupires les regards, surtout ses yeux. D’un bleu d’azur qui me regardait alors que je n’étais vraiment pas jolie. Comment le lui faire comprendre ? Comment lui dire qu’il y avait bien plus mignonne que moi ? Je ne comprenais pas cette façon qu’il avait de me regarder. Mais dans un autre sens j’adorais, je me sentais désiré, je me sentais aimé. Et le pire c’est que j’adorais ça, c’était plus que cruelle mais mon cœur tambourinait ma cage thoracique il me disait de continuer, il me disait vas y Bay’ continue ce plaisir qui te tentait tant depuis tant d’année… Je ne pouvais qui répondre je ne pouvais en aucun cas refuser un tel moment. De toute façon mon corps était en total alchimie avec le sien, ils se désiraient ils se cherchaient ils se voulaient, on ne pouvait plus rien faire. De toute façon à quoi résister à l’appel du plaisir charnel ? Moi je n’aimais pas résister c’était trop horrible. Je savais que ce que nous faisions allez répercuter pour plus tard nos relations. J’en étais consciente. J’inhalais doucement un peu plus son odeur tout en caressant son corps.

Je l’aimais, je l’appréciais. Raphaël était quelqu’un de bien. Alors que je servais deux verres pour que nous buvions à notre santé je le regardais, ou plutôt l’analysait. Il était si… Beau, joli, magnifique, je ne pourrais dire vraiment ce que je ressentais quand je le voyais de la sorte mais je savais pertinemment qu’il me faisait quelques choses au cœur. Je ne saurais pas le décrire réellement mais bon c’était ainsi. Je bus alors cul sec mon verre en le regardant parler. Je posais celui-ci par terre et me laissa tomber doucement sur lui nichant ma tête dans le creux de son cou lui faisant plusieurs baisers. Je mordillais par la même occasion sa peau si douce et délicate. « Hum, Raph’ tu vas me rendre folle à force es-tu au courant ? » Dis-je dans un murmure à la limite de l’inaudible. Je reculais doucement regardant alors le sachet blanc. Je n’avais jamais vu de sachet en vrai c’était le premier. Un simple petit sachet de drogue. Je voulais le faire je m’en sentais capable je voulais essayer, tant pis pour les conséquences mais je voulais a tout prix savoir ce que cela faisait, beaucoup de scientifique avaient testé pour voir, pour comprendre pourquoi certains en sont accrocs. Je me mordais doucement la lèvre et détourna mon regard vers Raphaël lorsqu’il me demanda si j’étais sûre de vouloir essayer. Je lâchais le sachet le posant sur le lit et caressa sa joue sans le quitter du regard. J’avais l’impression de lui parler de lui dire plein de chose mais en fait je ne lui disais rien seuls nos regards parler entre eux. On se comprenait sans rien ce dire. C’était si magique si intense. Il se passait vraiment un truc, est ce que sa durerait ? Nous reverrions nous après cette soirée fabuleuse ? Le destin, si il y en avait un, nous le dirais dans quelques jours … Je regardais attentivement sa bouche bouger à l’écoute du son de sa voix si douce. « Pourquoi pas. Une fois dans ma vie, ça ne peut pas me tuer et puis je te fais confiance tu sais » dis-je doucement en attrapant à nouveau le sachet blanc de cette poudre si … Si dangereuse. On était pourtant tous conscient de ce qu’elle pouvait faire et pourtant beaucoup la testait, beaucoup la sniffait ou se piquait avec. J’inspirais doucement et le lui tendit doucement attendant qu’il le prenne dans ses mains. Je le regardais droit dans les yeux sans siller un seul instant. Je fondais même sur place. Je passais ma main dans mes cheveux et les attacha rapidement pour ne pas être gênée par ceux la.


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